Publicité

Tony Parker: «On nous a toujours appris à être des machines»

Basketteur, businessman, champion sur et en dehors des terrains, Tony Parker lance en exclusivité sur Spotify un podcast dans lequel il interviewe des personnalités sur leur carrière passée ou présente. Nous l'avons rencontré à Paris.

Paris Match. Pourquoi vous être-vous lancé dans l’aventure des podcast?
Tony Parker. J’ai fait pendant dix ans de la radio sur RMC, j’avais ma propre émission et j’avais pris beaucoup de plaisir à l’animer. Quand Spotifiy est venu me voir avec l'idée de faire un podcast, je savais qu’en France ce n’était pas aussi développé qu’aux Etats-Unis, notamment dans le sport. Je me suis dit pourquoi pas? J'aime bien passer des messages, aider la nouvelle génération. En plus, le podcast, ça reste dans le temps parce que tu peux l'écouter quand tu veux. Je voulais faire quelque chose de différent, de nouveau en France. Je trouvais ça sympa de pouvoir interviewer mes amis pour commencer. De pouvoir discuter longtemps avec eux. Un podcast, c'est plus intime que la télévision où tu as plein de caméras, plein de lumières, plein de gens. Pour celui avec Thierry Henry, nous n’étions que tous les deux et nous avons parlé pendant plus de deux heures. Et donc tu peux vraiment entrer en profondeur dans les discussions. J’ai pris beaucoup de plaisir à le faire. Que ce soit Thierry Henry, Teddy Riner ou Vitaa, ils m’ont tous surpris. Ils m'ont dit des trucs que je ne pensais pas qu’ils me diraient. Ce qui m’a motivé aussi, c’est de pouvoir inspirer la nouvelle génération.

S’adresser à la nouvelle génération, c’est quelque chose qui vous tient à coeur?
Pour mon après-carrière sportive, c'est un peu ma motivation. Je trouve que c'est important de redonner ce que l’on a reçu et donc c'est ma façon à moi de redonner à mon pays. Je cherche à m’adresser aux nouvelles générations à travers les clubs de basket, mes académies, de créer des plateformes et des opportunités pour que les jeunes réussissent leur vie. Ça me motive beaucoup. J’ai eu la(...)


Lire la suite sur Paris Match