Tesla : promise par Elon Musk dès 2025 en France, la conduite autonome sera-t-elle possible ?

S’installer derrière le volant, indiquer une destination et laisser la voiture faire le reste. C’est l’expérience promise par Tesla avec sa célèbre option Full Self-Driving Supervised (FSD), ou conduite entièrement autonome supervisée. Pour l’instant, ce service n’est disponible qu’aux États-Unis et au Canada mais l’entreprise américaine espère le déployer prochainement en Europe. Jeudi 5 septembre, elle a annoncé qu’elle visait un lancement sur le Vieux Continent au premier trimestre de 2025. Avec une condition non négligeable : obtenir les approbations réglementaires.

N’allez pas vous imaginer à bord d’une Tesla les mains derrière la tête. Certes, sur les réseaux sociaux, beaucoup d’automobilistes s’amusent à tester les capacités du FSD sans tenir le volant. Mais les consignes du constructeur sont claires : «Vous devez garder les mains sur le volant lorsque le FSD est activé», peut-on lire dans le guide du Model Y. Et ce, même si le FSD gère un très grand nombre de manœuvres : suivre un itinéraire, réguler la vitesse du véhicule, changer de voie, s’arrêter aux feux rouges et aux panneaux stop, ainsi que faire attention aux piétons, aux cyclistes et aux véhicules sur la route.

«Lorsque nous démontrons que quelque chose est suffisamment sûr ou nettement plus sûr que l'homme, nous constatons que les régulateurs sont favorables au déploiement de cette technologie», déclarait Elon Musk en juillet 2024, confiant d’obtenir le feu vert européen. À noter qu’une option «capacité de conduite (...)

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