La terre meurt de soif : le cri d'alerte des paysans français
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SC 7498 ACANOVAS 202205 ret
DAVID BUISSON, 31 ans, éleveur à Laveyron (Drôme). Fin mai et déjà plus d’herbe à brouter : il doit donner du foin à ses vaches montbéliardes.
Alvaro Canovas/Paris Match - 2/6
SC 7612 ACANOVAS 202205
AURÉLIEN MOURIER, 42 ans, éleveur à Préaux (Ardèche). Cette rivière lui a longtemps permis d’abreuver ses vaches. Faute d’eau, et donc de fourrage, il a dû réduire son troupeau.
Alvaro Canovas/Paris Match - 3/6
SC 7252 ACANOVAS 202205
PIERRE-LOUIS DANIAU, 31 ans, cultivateur à Saint-Ciers-sur-Bonnieure (Charente). Dans ses mains, deux qualités d’épis de blé : les premiers (à g.) ont été arrosés, contrairement aux autres. Quinze jours après la photo, la grêle a détruit en partie son champ.
Alvaro Canovas/Paris Match - 4/6
SC 7119 ACANOVAS 202205
JEAN-LOUIS LEFAUCHEUX, 49 ans, éleveur à Sully-sur-Loire (Loiret). Il irrigue ses cultures grâce à une pompe branchée sur la Loire. Mais en cas de restriction, le fleuve doit en priorité rafraîchir les centrales nucléaires.
Alvaro Canovas/Paris Match - 5/6
SC 7470 ACANOVAS 202205
GUILLAUME CHAMOULEAU, 41 ans, cultivateur, à Cellefrouin (Charente). Devant un bassin de rétention qu’il partage avec d’autres agriculteurs. Sans cet apport d’eau, aujourd’hui, il ne s’en sortirait pas.
Alvaro Canovas/Paris Match - 6/6
SC 7409 ACANOVAS 202205
En Charente, le maïs de Guillaume Chamouleau ne pousse plus.
Alvaro Canovas/Paris Match