TEMOIGNAGE. "J'ai fait un test ADN par curiosité… et j'ai retrouvé mon père biologique !"

Effets spéciaux, musique à suspens, image de la terre qui tourne... "Dans quelques minutes, vous allez tout savoir", annonce le site myhéritage.fr, qui commercialise des kits ADN, interdits en France, mais de plus en plus pratiqués. Quand Morgan Spengler découvre le verdict, elle est d'autant plus excitée qu'elle ignore de quelle origine est son père, et même qui il est. "Dans les souvenirs lointains de ma mère, qui avait 18 ans lors de cette passion de jeunesse, Claude Etell était plus ou moins Danois. Mais je savais bien que je ne risquais pas de le retrouver."

Pourtant, si le test définit le pourcentage des différentes origines, il permet aussi de se relier à ceux qui ont des gènes communs... à condition qu'ils figurent dans la base de données. Aucune chance pour Morgan ! Elle est née en 1974 et son père biologique était "bien plus âgé" que sa mère. Un monsieur d'un certain âge ne s'amuse pas à faire un test ADN pour se trouver de lointains cousins et encore moins une fille dont il ignore l'existence.

"J'ai hurlé, j'ai pleuré, j'ai ri, mon mari a mis 5 minutes à comprendre ce que je disais !"

Peu importe pour Morgan, aujourd'hui quadra, mariée, et maman de Mia, 11 ans, et Marcelle, 4 ans. Avant la trentaine, lorsqu'elle avait appris que son père d'état civil n'était pas son père biologique, elle avait cherché partout "Claude Ettel, un pianiste de jazz". Puis elle était passée à autre chose. La jeune femme s'amuse donc des résultats : elle (...)

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