Technologie. Les codes QR entrent dans les habitudes, mais suscitent des inquiétudes

La pandémie marquera-t-elle l’avènement mondial des codes QR, ces pictogrammes lus comme des codes-barres par les caméras de nos appareils portables ? Alors que la pandémie incite à réduire au maximum les contacts, la technologie vit peut-être son heure de gloire. Mais la presse internationale s’interroge sur sa fiabilité.

Vous en avez déjà vu, mais depuis quand les utilisez-vous ? Les codes QR, ces pictogrammes qui fonctionnent comme des codes-barres à scanner avec la caméra des appareils portables, connaîtraient enfin leur avènement en raison de la crise sanitaire.

Les deux tiers de la population chinoise les utilisaient déjà en 2017, selon le South China Morning Post, mais les codes QR (QR pour “quick response”, ou “réponse rapide”) n’avaient jamais véritablement trouvé leur public en dehors de l’Asie. Née en 1994 dans des laboratoires japonais, la technologie a longtemps été jugée inutile. Elle connaît pourtant un pic d’utilisation depuis le déclenchement de la pandémie du coronavirus, constate le site américain Quartz :

Après une décennie de moqueries et de rejet, les codes QR – ces petits carrés noirs et blancs que l’on scanne avec son téléphone pour afficher un site web – connaissent enfin leur heure de gloire.

“La clé pour un retour sûr aux affaires”

Dans cette étrange période où l’on ne doit plus toucher à rien, les codes QR offrent un service opportun pour lire un menu de restaurant ou effectuer un paiement sans contact. À partir du 19 octobre, ils serviront aussi aux noctambules russes pour s’enregistrer à l’entrée des bars et boîtes de nuit,

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