Les taxes sur les voitures électriques chinoises mettent ce constructeur européen "en danger"

Arrivée sur le marché en 2018, Cupra a réussi en quelques années à devenir une véritable locomotive pour le groupe Volkswagen, d'abord en donnant un nouveau look plus sportif à la gamme Seat, en appliquant son propre logo, puis avec ses propres modèles.

La marque a été mise sur orbite avec le Formentor, tandis que la Born, un modèle 100 % électrique, et la Leon en version thermique et hybride rechargeables épaulent aussi le SUV au catalogue.

Une production en Chine qui pose problème à l'Europe

Mais aujourd’hui, de gros nuages noirs ​​commencent à se profiler à l’horizon, notamment avec les taxes imposées par la Commission européenne sur les voitures électriques produites en Chine. Mais en quoi cela concerne Cupra, membre du groupe Volkswagen, et marque européenne ? C'est bien simple, le nouveau SUV électrique de Cupra, le Tavascan, est produit en Chine, au sein de l'usine Volkswagen d'Anhui exploitée par une coentreprise avec le groupe chinois JAC Automobile.
Un problème qui semble prendre de l'ampleur pour le constructeur espagnol qui, comme le rapporte Reuters, a lancé un nouvel appel à l'Europe par l'intermédiaire de son patron, Wayne Griffiths.
Le passeport chinois du Tavascan est précisément le problème : les taxes décidées par la Commission affectent toutes les voitures électriques produites en Chine, sans tenir compte de la marque à laquelle elles appartiennent : "Nous ne sommes pas une marque chinoise essayant d'envahir le marché européen. Nos voitures ne sont pas destinées au grand public. Elles ne sont...Lire la suite sur Autoplus