Elle tape son nom dans Google et s'effondre devant les résultats
L'essor de l'intelligence artificielle a facilité la propagation des abus sexuels basés sur l'image. Ceci a entraîné une "épidémie" d'images intimes non consensuelles, manipulées et diffusées en ligne. Noelle Martin est une survivante du deepfake porn. Elle raconte comment elle a découvert que des photos d'elle retouchées étaient partagées en ligne sans son consentement.
Quand elle avait 18 ans, Noelle Martin a tapé son nom sur Google par simple curiosité, pour découvrir des photos d'elle qu'elle n'avait jamais vues auparavant. Des images apparemment inoffensives, tirées de ses réseaux sociaux, mais qui avaient été trafiquées pour la montrer dans des scènes sexuelles explicites avec des stars du porno. Pour elle, c'était "complètement horribles, déshumanisants et dégradants'', selon le site news.com.au. Il y a 10 ans de cela, il n'y avait pas encore de nom pour ce crime. Mais depuis, on le connaît sous le nom de "deepfake porn''. Cette pratique se répand de plus en plus avec les avancées de l'intelligence artificielle. En effet, au cours de la dernière décennie, des criminels ont utilisé cette technologie pour manipuler et diffuser en ligne des photos intimes non consenties, causant un traumatisme indescriptible aux victimes.
En effectuant une recherche de son nom sur Google, elle découvre le pire
Noelle Martin, qui est maintenant âgée de 28 ans, est devenue une défenseure déterminée de la cause. Elle a d'ailleurs contribué avec succès à (...)
Lire la suite sur Closermag.fr
Meurtre de Leslie et Kevin : le père de la jeune femme face aux détails sordides, "mon réconfort c'était…"
Déclaré mort pendant 28 minutes, il raconte ce qu'il a vu de l'autre côté
Elle préfère l'amour en ligne et prétend avoir 7 000 petits amis virtuels
TEMOIGNAGE. “Ma tante a été tuée par son conjoint, je me bats pour récupérer ses triplés placés dans des foyers différents”
TÉMOIGNAGE Je suis en couple avec une mère célibataire mais je le regrette