Alors que le cas Taha Bouhafs a divisé la gauche lors des législatives, un nouveau rebondissement vient étayer l’affaire dans lequel est empêtré l’ancien candidat LFI et journaliste militant. Visé par plusieurs accusations de violences sexistes et sexuelles, Taha Bouhafs avait annoncé son retrait du parti d’opposition, le 10 mai 2022.

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Seulement, selon des révélations de l’Express survenues vendredi, une des deux accusatrices du journaliste a retiré son témoignage. Un retrait qu’elle aurait effectué « parce qu’elle a compris que son témoignage n’avait pas lieu d’être », indique une source anonyme.

La défense du journaliste réagit à cette révélation

À la suite de cette révélation, les avocats de Taha Bouhafs se sont empressés d’adresser un communiqué de presse confirmant l’information. La défense de l’ancien candidat LFI indique prendre acte du retrait de ce témoignage et appelle à ce que « l’acharnement cesse et que notre client qui a 25 ans et qui ne fait l’objet d’aucune poursuite judiciaire puisse reprendre une vie à peu près normale ».

Un acharnement que Taha Bouhafs avait lui-même dénoncé alors que l’affaire éclatait en pleine campagne des législatives, en mai 2022. Candidat dans le Rhône, le journaliste avait évoqué « le racisme » de la droite et d’une partie du gauche déclenché par ces accusations de violences sexuelles. La France insoumise avait ...

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