TÉMOIGNAGE. "Mes collègues refusent de prononcer mon prénom, le surnom qu'ils utilisent me met hors de moi"
Jelena, originaire d'Europe de l'Est, a commencé un nouveau travail il y a un an, explique The Mirror. Dès les premières semaines, elle a remarqué que ses collègues anglophones avaient du mal à prononcer correctement son prénom. Plutôt que de persévérer dans l'apprentissage, ils ont rapidement opté pour un diminutif plus facile à dire. Si au début Jelena n'a pas réagi, pensant que ce surnom serait temporaire, elle a vite déchanté. Le surnom en question n'a rien à voir avec son prénom d'origine. Il a simplement été choisi pour sa facilité de prononciation, mais il résonne pour Jelena comme une marque de déni de son identité. Chaque fois qu'elle l'entend, elle ressent un malaise profond, allant jusqu'à crisper son visage lorsqu'un collègue l'appelle ainsi.
Le dilemme du surnom imposé
Face à cette situation, Jelena s'est retrouvée dans une impasse. Doit-elle exprimer son mécontentement après un an de silence ? Cette question la hante depuis plusieurs mois. Elle craint d'être perçue comme "difficile" ou "exigeante", surtout après une année entière d'utilisation de ce surnom. Pourtant, elle sent de plus en plus que cette situation n'est plus tenable pour elle. Elle a bien tenté, à plusieurs reprises, d'apprendre à ses collègues la prononciation correcte de son prénom. Bien que certains fassent l'effort de l'appeler par son vrai nom, ils retombent systématiquement dans leurs anciennes habitudes, utilisant le surnom dès que l'occasion se (...)
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