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Suicide assisté‚ euthanasie : quelles différences ?

Shutterstock / Andrey Burmakin

Depuis plus de 20 ans‚ des évolutions législatives ont contribué au renforcement de l'autonomie et de la solidarité autour de la fin de vie. La Loi du 9 juin 1999 permet à toute personne malade de pouvoir bénéficier de soins palliatifs. La Loi du 4 mars 2022 reconnaît le droit au refus du traitement. La Loi du 22 avril 2005 interdit l'obstination déraisonnable. Enfin‚ la Loi du 2 février 2016, dite loi Claeys-Leonetti‚ a créé un droit à la sédation profonde et continue jusqu'au décès pour une personne souffrant d'une affection grave et incurable, dont le pronostic vital est engagé à court terme et subissant une souffrance réfractaire aux traitements. « Il s'agit d'une aide à mourir sans utilisation de produit létal » précise Alain Claeys, un des rapporteurs de l'avis 139 du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) « Questions éthiques relatives aux situations de fin de vie : autonomie et solidarité » et co-auteur de la Loi actuelle.

Les Lois de 2005 et 2016 ont donné également la possibilité d'écrire des directives anticipées pour sa fin de vie ou de désigner une personne de confiance qui peut exprimer ces volontés si la personne en fin de vie est dans l'impossibilité de le faire. « Toutes ces Lois ont amélioré la qualité de la prise en charge de la personne en fin de vie », souligne Alain Claeys. Cependant‚ tous les Français n'ont pas accès aux soins palliatifs et (...)

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