Stellantis au cœur d'une nouvelle affaire concernant un problème de sécurité ?
Sur la scène médiatique, les temps sont pour le moins compliqués pour Stellantis, en particulier pour Citroën qui fait face à un rappel massif de ses C3 et DS3 suite à l'affaire des airbags défectueux Takata.
Au total, 530 000 véhicules sont concernés à tarvers le monde, dont environ 240 000 rien qu'en France. À l'heure où nous écrivons ces lignes, le groupe a déjà réparé environ 20 % des modèles concernés, et la campagne de rappel pourrait se terminer d'ici la fin de l'année dans l'Hexagone à ce rythme.
Un problème électronique ?
Mais une nouvelle affaire pourrait rattraper Stellantis, et notamment ses marques américaines. En effet, selon l'agence de presse Reuters, le groupe fait actuellement l'object d'une enquête de l’Administration nationale américaine de la sécurité routière (NHTSA) concernant pas moins de 150 000 véhicules. Cette enquête est la conséquence de 80 plaintes de clients reçues par l'administration concernant des pick-ups RAM 1500 de 2022 et des SUV Jeep Wagoneer de 2022.
Pour le moment, les informations techniques restent assez opaques, puisque l'objet des plaintes fait état d'un moteur qui se coupe brutalement lors d'une évolution à basse vitesse du véhicule. La voiture passerait alors en mode stationnement et actionnerait le freinage d'urgence. Ensuite, un voyant d'avertissement de dysfonctionnement avec le symbole de défaut de batterie apparaîtrait sur le tableau de bord.
Un autre rappel en cours pour Stellantis aux USA
Rappelons que Stellantis fait déjà l'objet Lire la suite sur Autoplus