Depuis l'annonce de la mort du prince Philip, les hommages se multiplient. Sophie de Wessex, l'épouse du prince Edward, a rendu visite à la reine Elizabeth II et n'a pas pu retenir ses larmes.
Une question indiscrète de Michel Drucker a fait rougir le chanteur Vianney sur le plateau de Vivement Dimanche, sur France 2. Invité à parler de sa femme Catherine Robert, la star a tenté d'esquiver la question face au présentateur, déterminé.
COME BACK - La cheffe des urgences pédiatriques du CHU de Toulouse appelle à un retour des gestes barrières pour éviter de démultiplier les épidémies
Sur les réseaux sociaux chinois, une vidéo d’une pancarte H&M en train d’être démontée dans la ville de Chengdu fait le buzz. Nike, H&M, ou encore Uniqlo et d’autres marques étrangères se retrouvent dans le viseur des autorités chinoises. En cause : le coton issu du Xinjiang, que plusieurs multinationales du prêt-à-porter ont choisi de boycotter, en raison du travail forcé des Ouïghours qui sévirait dans les champs de cette région de l’ouest de la Chine. Des centaines de milliers de membres de cette communauté musulmane y sont enfermés dans des camps dits de “rééducation”. La Chine nie le travail forcé La réaction de la Chine a été radicale : du jour au lendemain, les produits vendus par ces marques ont disparu des plateformes d’e-commerce. Des appels au boycott ont été relayés sur les réseaux sociaux et par des stars chinoises. La porte-parole du ministère des Affaires étrangères n’a pas hésité, dans une conférence de presse, à rappeler le travail des esclaves noirs dans les champs de coton au début du XXe siècle aux États-Unis. Elle a nié le travail forcé dont le pays est accusé. “Les Chinois n’autoriseront plus les étrangers à profiter des largesses de la Chine tout en la critiquant”, a lancé Hua Chunying. Ces marques se retrouvent coincées entre un marché en pleine expansion et le désir d’éthique de leurs clients occidentaux.
Parolière de nombreux titres de Calogero, Marie Bastide bouillonne de projets. Ce vendredi 9 avril, son chéri a annoncé une bonne nouvelle sur Instagram.
Ce dimanche 11 avril, M Pokora a enchanté sa communauté de fans en publiant plusieurs photos et vidéos avec sa femme Christina Milian sur son compte Instagram. L’occasion d’afficher sa fierté pour celle qui vient d’accomplir un vrai tour de force !
La reine Elizabeth II partageait son époux avec Penny Brabourne, la deuxième femme de la vie du prince Philip. La comtesse de Mountbatten pleure, tout en discrétion, la mort de son confident.
Dur à cuire et cœur tendre, Lino Ventura, que l'on retrouve ce soir sur C8 dans Touchez pas au grisbi, s'est battu toute sa vie : dans la rue, sur un ring et pour sa fille Linda, avec l'association Perce-Neige. Portrait intime.
Les nièces de la défunte princesse de Galles ont grandi loin des regards indiscrets, avec leur mère, en Afrique du Sud. À présent, Lady Amelia et Lady Eliza Spencer sortent de l'ombre.
Riz parfumé et viandes grillées, aubergines savoureuses, douceurs à l’eau de rose… La gastronomie iranienne est connue pour être variée et saine. Loin d’être figée, elle évolue cependant avec la société. Ainsi, depuis la Révolution de 1979, l’instruction puis l’émancipation des femmes, le développement des réseaux sociaux et les difficultés économiques sont venus bouleverser les habitudes alimentaires des Iraniens. Elle est loin l’époque où les femmes iraniennes se retrouvaient devant chez elles pour nettoyer et trier les herbes nécessaires à la préparation d’un bon ghormeh sabzi, une sauce à la base de viande et aux herbes. « Depuis une dizaine d’années, on trouve des produits déjà prêts sur le marché », affirme Sareh, 37 ans, jeune maman. Aubergines déjà rôties, haricots prêts à être utilisés… Les enseignes l’ont compris, les Iraniennes passent moins de temps aux fourneaux. « Disons qu’on nous facilite la tâche grâce à ces produits », poursuit Sareh.Sam Tavassoli dirige le restaurant iranien Mazeh, à Paris. Diplômé de la célèbre école de cuisine Ferrandi de la capitale, il a été initialement formé à la cuisine française avant de découvrir la complexité de la cuisine iranienne en rejoignant l’entreprise familiale en 2004, à l’âge de 25 ans. Selon lui, c’est indéniable : pour cuisiner un plat iranien, il faut prendre le temps. « La cuisine iranienne est très fine. C’est une explosion de saveurs », explique-t-il. Or, depuis la Révolution de 1979, le mode de vie des Iraniens a changé. Les difficultés économiques et l’instruction des femmes a propulsé ces dernières sur le marché du travail, ce qui a eu une incidence dans les assiettes. « Notre façon de manger a beaucoup évolué depuis environ vingt ans », constate Mona, 35 ans, étudiante en psychologie à Téhéran. Pizza à réchauffer au four, nuggets à cuisiner à la poêle… Depuis une vingtaine d’années, dans les centres commerciaux iraniens, les plats préparés à destination des plus pressés sont en effet légion. Selon Reyaneh, 29 ans, les jeunes apprécient également de plus en plus de manger dehors, « soit parce qu’ils travaillent, soit parce qu’ils n’ont juste pas envie de préparer à manger », explique la jeune traductrice téhéranaise.Différence générationnelleL’arrivée d’internet a également modifié certaines habitudes. Les services de livraisons en ligne, tels que Snappfood (l’équivalent de Deliveroo), surtout utilisés par les jeunes générations d’Iraniens, connaissent un fort succès ces trois dernières années. « Les gens qui travaillent dans les fast-food sont des jeunes. Alors que dans les restaurants traditionnels, ce sont des personnes âgées qui ne savent pas utiliser ces nouvelles technologies », analyse Ahmad, 35 ans. Mona, pour sa part, continue pour l’instant d’aller chercher son repas directement chez le restaurateur : « Comme ils sont encore très récents, les services de livraison ne sont pas encore au point. Je lis beaucoup de commentaires négatifs : des repas qui arrivent froids ou le temps d’attente pour avoir un opérateur… Je crois que la plateforme prend trop de commandes dans le seul but de faire des bénéfices et sans penser aux clients », regrette la jeune femme.Avec la généralisation d’internet, certaines mamans tentent de nouvelles recettes. « Certains repas qu’on faisait très souvent avant, comme le abgoosht ou le koufteh, ne font plus autant partie de nos habitudes alimentaires. Ce sont des recettes qu’on va surtout retrouver chez nos grand-mères », analyse Reyhaneh.Dans son restaurant à Paris, Sam Tavassoli accueille souvent des familles iraniennes. Il observe aussi cette différence générationnelle dans la diaspora. « Quand on a nos grandes tablées familiales, les plus anciens prennent toujours un chelo kabab [plat composé de riz cuit à la vapeur et de l'une des nombreuses variétés de kabab iranien] et les plus jeunes un ghormeh sabzi [ragoût d'herbes], et, souvent, on entend le père dire : "Mais pourquoi vous mangez ça ! Ici, il faut manger des kababs !" », sourit-il.Le restaurant, un espace de vie et de libertéReza Javanmardi, 63 ans, vit à Téhéran. Il se souvient qu’avant la Révolution, il allait très peu au restaurant. « Les repas étaient traditionnellement préparés par les mères, les tantes ou les grand-mères, tout était frais et fait maison. On mangeait du riz que deux fois par semaine et, lors de certaines occasions, on achetait des kababs chez le kababi du coin. Mais tout a changé après la Révolution. Aujourd’hui, si tu demandes à un jeune de trente ans ce qu’il mange, il va te dire : "Spaghettis, tagliatelles, lasagnes et pizza". La viande et les herbes sont conservées dans le congélateur pendant un mois et les femmes ne font plus la cuisine comme avant », constate le vieil homme, un brin nostalgique.Aujourd’hui, beaucoup d’Iraniens affirment qu’aller au restaurant est la seule chose qu’ils puissent faire librement. Ainsi, ces dernières années, les cafés et restaurants poussent comme des champignons, notamment à Téhéran. Fête d’anniversaire, café en amoureux, pause cigarette… Derrière les façades grises des immeubles se cache souvent un petit havre de paix pour la jeunesse avide de liberté. Sam Tavassoli se rend régulièrement en Iran, il constate aussi cette évolution. « Il y a une dizaine d’années, en Iran, les cuisiniers n’étaient pas bien vus, il n’y avait pas de créativité. […] Aujourd’hui, en revanche, grâce aux réseaux sociaux, il y a du respect pour ce métier et chaque année, il y a de nouveaux restaurants avec de nouveaux concepts », se réjouit le restaurateur.Une mode occidentale« Dans la rue principale près de chez nous, il y a plein de chaînes de fast-food… », décrit Mona. « C’est une mode qui vient de l’Occident. Nous avons l’équivalent de KFC, de Five Guys, de McDonald’s… avec des logos différents qui ressemblent cependant aux originaux », affirme Ahmad. En effet, en 2015, juste après la signature de l’accord nucléaire, un Mash Donald, avec le même « M » jaune, typique de la marque américaine, a par exemple vu le jour à Téhéran. L’établissement rejoint ainsi le Kabooky Fried chicken (KFC) et Pizza Hat (Pizza Hut). Un pied de nez au régime religieux qui cherche depuis plus de quarante ans à limiter l’influence étrangère.Au même titre que la consommation de cigarettes et l’abus d’alcool, l’évolution des habitudes alimentaires iraniennes pourrait ainsi traduire certaines frustrations de la jeunesse et illustre leur aspiration à un mode de vie occidental. Sur les réseaux sociaux, on trouve ainsi régulièrement des vidéos de restaurateurs qui préparent des sandwiches gigantesques mêlant parfois ingrédients traditionnels et junk-food. Pour Mona, la malbouffe iranienne est de plus en plus bonne. « Il y a beaucoup de nouveaux ingrédients. Maintenant, dans les sandwiches, on peut trouver du fromage cheddar, il y a également du pesto… », explique-t-elle avec passion. Ahmad confirme : « Quand j’étais plus jeune, on mettait juste de la charcuterie, une tomate et un cornichon dans le sandwich. Il n’y avait pas autant de variétés de sauces et de pains qu’aujourd’hui », se souvient-il.Néanmoins, l’inflation provoquée notamment par les sanctions économiques oblige les Iraniens à se restreindre de plus en plus. Ces dernières années, de nombreuses familles ne peuvent plus se permettre de manger dehors, une situation exacerbée par la crise sanitaire. « Peut-être que dans quelques années, aller au restaurant ne sera le privilège que d’une partie de la population… », regrette Mona.
Daniel Lévi a ouvert les portes de son domicile pour évoquer son mariage avec Sandrine en pleine bataille contre le cancer du colon. Une épreuve difficile, pour le chanteur qui a dévoilé son combat dans l'émission 50 Minute Inside sur TF1.
Le prince Philip devait fêter ses 100 ans en juin, un anniversaire qui ne l'enchantait pas vraiment. Le duc d'Édimbourg souhaitait que ce soit un jour discret où son seul projet soit de se rendre à l'église.
Alors que C8 envisage de faire peau neuve et de revoir la grille de ses programmes, la place de Cyril Hanouna semble être gravée dans le marbre. D’après le JDD, ce dimanche 11 avril, la chaîne ne compte pas se séparer du présentateur de « Touche pas à mon poste ! »
L’Inde connaît ces jours-ci une deuxième vague très violente de contaminations au Covid-19. Le pays a enregistré vendredi 9 avril plus de 125 000 cas, soit son record absolu depuis le début de la pandémie. Pour y faire face, les autorités ont accéléré la vaccination de la population. Mais cela a une conséquence : le pays ne peut plus exporter les vaccins nécessaires dans des dizaines d’autres pays. Avec notre correspondant à New Delhi, Sébastien Farcis L’Inde accélère sa campagne de vaccination pour essayer de résorber la flambée de contaminations au Covid-19. Quatre millions de personnes recoivent chaque jour jour une dose d’un des deux vaccins produits dans le pays : celui d’Oxford/AstraZeneca ou celui du laboratoire indien Bharat Biotech, nommé Covacin.Du coup, l’Inde, qui est le deuxième producteur de vaccins anti-Covid du monde, arrête quasiment toutes les exportations. Jusqu’à présent, 64 millions de doses ont été envoyées, principalement en Afrique, en Asie du Sud et au Brésil. Un quart d’entre elles sont aussi parties en faveur des pays les plus pauvres, à travers le programme Covax. Cette forte réduction inquiète les Nations unies, car l’Inde est un pilier de ce mécanisme.Reprise des exportations espérée en juinEaswaram Subramanian, responsable des chaines d’approvisionnement dans la cabinet Deloitte, parle d’une reprise à moyen terme : « Des expansions en cours dans les usines et il y a des stocks disponibles. En considérant le rythme des vaccinations, je pense que les exportations pourront reprendre au mois de juin. »La pression monte toutefois sur le producteur du vaccin d’AstraZeneca : ce laboratoire a rappelé à l’entreprise son obligation légale d’exporter une partie des vaccins qu’elle produit en Inde. Avec plus de 167 000 morts depuis le début de la pandémie, l'Inde est le quatrième pays le plus endeuillé du monde.
The Wings of Songs dépeint un Xinjiang idyllique, où vivent en harmonie ethnies et communautés diverses. Un tableau très éloigné de la réalité de la répression chinoise subie par la minorité musulmane ouïgoure dans cette région.
Dans un communiqué publié vendredi 9 avril sur le site de la Fédération algérienne de football (FAF), le sélectionneur Djamel Belmadi a fait part de son mécontentement en ce qui concerne l’ambiance qui secoue actuellement la FAF alors que se présentent les élections du nouveau président le 15 avril prochain. « Le sélectionneur national, M. Djamel BELMADI a tenu à apporter des précisions qu’il juge plus qu’importantes au sujet du déroulement du dernier stage de la date FIFA (22 au 30 mars 2021) au cours duquel l’équipe nationale avait affronté la Zambie (le 25 à Lusaka) et le Botswana (le 29 à Blida). A ce propos, M. BELMADI estime que ce stage s’est déroulé dans des conditions chaotiques ne lui permettant pas d’être dans des positions et dans des dispositions à même de mener à bien ses missions d’entraîneur. Cela a même perturbé sérieusement les joueurs, ce qui est inadmissible à l’échelle d’une sélection. Tout ce marasme vécu et cette ambiance pesante, en rapport avec les prochaines élections de la Fédération algérienne de football, inquiètent fortement le sélectionneur national qui ne veut pas être mêlé à d’autres considérations en dehors de ses prérogatives, de son cadre professionnel et de ses engagements avec l’équipe nationale.M. Belmadi ne veut en aucun cas être le soutien de qui que ce soit, ni voir son nom lié ou utilisé dans le cadre d’un quelconque programme voire pour des desseins populistes, estimant qu’il s’était engagé avec la première sélection du pays uniquement pour des objectifs sportifs bien précis. Cette situation l’inquiète au plus haut point et risque de compromettre sérieusement l’avenir des Verts lors des prochaines échéances », peut-on lire dans le communiqué. Kheireddine Zetchi président de la FAF depuis mars 2017 ne se présentera pas à sa propre succession.
L'île de Saint-Vincent était couverte de cendres samedi, et l'air saturé de soufre. L'épais nuage de cendres pourrait se déplacer jusqu'à l'île voisine de la Barbade.
ASSISES - La compagne de Badre Faki, dont le corps avait été retrouvé calciné sous un pont en 2015, a justifié son geste par une vie de violences conjugales
Dimanche 11 avril, sur Instagram, Alizé Lim a officialisé sa relation avec Tony Parker auprès de sa communauté en partageant un adorable cliché. De quoi faire fondre ses abonnés.
Dans cet entretien accordé au magazine TV Grandes Chaines, la chanteuse et coach de The Voice sur TF1 met les choses au clair et rectifie la vérité quant à sa perte de poids.