PSG-Manchester City: embrassades, cris de joie… l’énorme émotion d’Al-Khelaïfi dans le vestiaire en félicitant les Parisiens
Le boss est aux anges. Et il l’a fait savoir à tout le monde. Après la victoire renversante du PSG face à Manchester City, mercredi lors de l’avant-dernière journée de la Ligue des champions (4-2), Nasser Al-Khelaïfi a laissé éclater sa joie dans les travées du Parc des Princes. Posté à l’entrée du vestiaire, le président du club de la capitale, vêtu d’un costume sombre, a chaudement félicité ses troupes, en prenant le temps de les enlacer un par un. Le PSG a partagé cette séquence chargée d’émotion sur ses réseaux.
Ousmane Dembélé, auteur d’une entrée tonitruante à la pause, a eu droit à un bisou sur le front. Al-Khelaïfi a offert une franche accolade à son entraîneur Luis Enrique, qui affichait un visage radieux, avant de remercier tour à tour Lucas Hernandez, Fabian Ruiz, Gianluigi Donnarumma ou Warren Zaïre-Emery. Joao Neves, élu homme du match et buteur d’une tête plongeante, a eu droit à un petit mot en plus. Malgré son temps de jeu en chute libre et les rumeurs sur son possible départ, Marco Asensio semblait lui aussi très heureux.
Hakimi et Marquinhos congratulés
Nasser Al-Khelaïfi, la mâchoire serrée et les yeux brillants, a serré particulièrement fort Achraf Hakimi, qui s’est jeté dans ses bras en criant "Hé le prési". Mais c’est sans doute le capitaine Marquinhos, au club depuis plus de onze ans, qui a eu droit au câlin le plus appuyé. "Président", a hurlé le défenseur brésilien en saluant son patron de longue date. "Ça c’est l’équipe, ça c’est l’équipe", ont lancé certains joueurs dans le vestiaire en célébrant leur victoire spectaculaire.
Avec ce succès de prestige, acquis grâce à des buts d'Ousmane Dembélé, Bradley Barcola, Joao Neves et Gonçalo Ramos, Paris s’est offert un bol d’oxygène dans la course aux barrages de la C1. Désormais 22es du classement et virtuellement qualifiés, les Parisiens ont leur destin en main avant de clore le premier tour mercredi prochain sur la pelouse de Stuttgart (21h). Un bon résultat leur permettra de poursuivre leur aventure européenne, après un démarrage raté. Mais un scénario catastrophe peut encore les éjecter de la compétition dans le money time.