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Pourquoi le voyage d'Anne Hidalgo à Tahiti déclenche l'ire de l'opposition

Ameer Alhalbi/Getty Images

Un déplacement à l’autre bout du monde qui a du mal à passer. Ce déplacement est à mettre au crédit d’Anne Hidalgo, la maire de Paris. Selon les informations du Parisien, l’édile s’est envolée le 15 octobre pour la Nouvelle-Calédonie, avec en point d’orgue une visite du cimetière des Communards sur l’île des Pins puisqu’il est financé par la mairie de Paris. Une cérémonie d’hommage y avait lieu, un endroit symbolique pour la maire de Paris qui avait d’ailleurs inauguré en 2021 une allée à Montmartre («île des Pins») rappellent nos confrères, en hommage à la déportation de milliers d’insurgés, dont Louise Michel.

En Nouvelle-Calédonie, l’édile a ensuite rencontré des élus avec sa délégation, composée de six personnes : son directeur et chef de cabinet, ses adjoints Pierre Rabadan (chargé des sports) et Jacques Martial (Outre-mer) ainsi que le délégué général de l’Outre-mer, Pierre Thomas. La délégation devait ensuite prendre l’avion pour se rendre en Polynésie. L’objectif affiché était clair : découvrir les infrastructures pour les Jeux olympiques où doivent se dérouler les épreuves de surf. Puis, selon Le Parisien, l’édile a poursuivi son voyage de manière privée, en rendant visite à sa fille qui vient de s’installer sur une île à 45 minutes de Tahiti. «Anne Hidalgo a prolongé son déplacement par un segment privé, le temps des vacances scolaires», confirme un proche à nos confrères.

Un voyage qui a déclenché l’ire de l’opposition, tous partis confondus. Interrogé, un élu de la (...)

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