Yahoo Actualités Pourquoi John Textor remercie les réseaux sociaux après le sacre de Botafogo en Copa Libertadores
Il a beau être occupé à gérer une multitude de clubs en même temps, en plus de ses autres activités professionnelles, John Textor n'en reste pas moins un homme connecté. Assez actif sur les réseaux sociaux, l'homme d'affaires américain, patron de l'OL et du club brésilien de Botafogo via Eagle Football, y a visiblement fait de belles découvertes.
Quelques jours après le sacre historique de Botafogo en Copa Libertadores (un succès qui lui permettra de disputer la Coupe du monde des clubs 2025), Textor a ainsi fait une petite confidence sur Instagram: c'est grâce à Twitter (devenu X) qu'il a découvert Thiago Almada, le milieu offensif du club carioca devenu un acteur majeur de son titre continental.
"Voilà pourquoi j'essaye toujours de rester accessible"
Le 20 janvier dernier, sur le réseau social, un supporter de Botafogo avait ainsi interpellé Textor au sujet d'un "bon joueur nommé Thiago Almada", qui jouait pour Atlanta United en MLS et serait "un super renfort pour Botafogo en vue de la Libertadores". "Je vais regarder ça, merci", avait répondu dans la foulée John Textor.
Six mois plus tard, le joueur de 23 ans signait du côté de Rio pour 19,5 millions d'euros. Avec la réussite que l'on connaît: un titre en Libertadores, où il a joué les sept matchs pour lesquels il était qualifié (6 titularisations) et marqué deux fois, face à Sao Paulo en quart de finale retour, et Penarol en demi-finale retour. "Voilà pourquoi j'essaye toujours de rester accessible", commente aujourd'hui Textor. "J'ai été choisi sur Linkedin pour prendre Botafogo, et j'ai découvert Thiago Almada sur Twitter."
Un Thiago Almada qui devait initialement rejoindre l'OL en janvier 2025, à la fin de la saison sud-américaine. Un projet toujours d'actualité? "Je ne sais pas si je serai encore à Botafogo l’an prochain", a indiqué l'Argentin mardi soir au média Blender. "J’ai très envie de jouer en Europe. Quand je suis arrivé ici, j’ai convenu d’un accord pour aller là-bas plus tard. Pour l’instant, j’ai un accord avec Lyon, qui appartient au même propriétaire que Botafogo, avec qui j’ai discuté." Mais on le sait, avec John Textor, tout va très vite...
