Pays-Bas: un hologramme peut-il aider à résoudre un meurtre ?
La police d'Amsterdam tente d'élucider une affaire de meurtre vieille de 15 ans à l'aide d'un hologramme de la victime.
La police d'Amsterdam tente d'élucider une affaire de meurtre vieille de 15 ans à l'aide d'un hologramme de la victime.
Une joggeuse a été poignardée samedi 11 janvier dans un parc de la commune de Vergèze, dans le Gard. Un homme de 25 a reconnu les faits en garde à vue, il a été mis en examen et écroué.
drame - Dans la nuit de jeudi à vendredi, l’appartement d’une famille vivant à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, a été la cible d’un incendie criminel. La mère de famille a succombé à ses blessures tandis que les enfants sont sérieusement brûlés
Féminicide - En Inde, les violences contre les femmes sont très courantes, mais de plus en plus dénoncées
Violences - La victime, une femme de 44 ans, qui pratiquait la course à pied le samedi 11 janvier en fin de matinée dans un parc de santé de Vergèze, dans le Gard, avait été frappée, par-derrière, de plusieurs coups de couteau
Un tribunal iranien a condamné en appel le rappeur iranien Amir Tataloo à la peine capitale, après avoir été reconnu coupable de « blasphème », a rapporté dimanche 19 janvier un média local. « La Cour suprême a accepté le recours du procureur » contre une précédente peine de cinq ans d'emprisonnement, et « cette fois-ci l'accusé a été condamné à mort pour insulte au prophète » Mahomet, a rapporté le journal réformiste Etemad sur son site.Le jugement n'est pas définitif et peut faire l'objet d'un
Selon Sky News, vendredi 17 janvier 2025, le principal suspect dans la disparition de Maddie McCann, pourrait être libéré en septembre 2025. Faute de preuves suffisantes pour l'inculper, il pourrait éviter de retourner en prison.
Selon Sky News, vendredi 17 janvier 2025, le principal suspect dans la disparition de Maddie McCann, pourrait être libéré en septembre 2025. Faute de preuves suffisantes pour l'inculper, il pourrait éviter de retourner en prison.
Un enfant de cinq ans, grièvement brûlé vendredi dans un incendie criminel qui a coûté la vie à sa mère à Miramas (Bouches-du-Rhône), est décédé à son tour de ses blessures dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris auprès du procureur d'Aix-en-Provence.La mère de famille, âgée de 41 ans, était morte de ses blessures samedi à l'hôpital.
Un assaillant armé d'un couteau a blessé un homme dans le centre de Tel-Aviv. Il a ensuite été neutralisé par "un civil armé".
Condamné après avoir provoqué un très grave accident de la route, Pierre Palmade a été incarcéré dans la prison de Bordeaux-Gradignan. Mais selon certaines confidences anonymes, les gardiens craindraient le pire pour l'ex-humoriste.
Quand les flammes se sont dangereusement rapprochées de la maison de Serena Null, au nord de Los Angeles, son chat Domino s'est enfui malgré tous ses efforts pour l'attraper.Serena Null a alors pensé qu'elle ne reverrait jamais le félin noir et blanc aux yeux verts perçants.
Tous les membres des forces de sécurité ont pris la fuite ou ont été mis à pied lors de la chute de Bachar al-Assad. Quelque 1,2 million de fonctionnaires des ministères de l’Intérieur et de la Défense ont cessé de travailler. Pour les remplacer et sécuriser Damas, Hayat Tahrir al-Cham ne peut compter que sur ses combattants et quelques milliers de volontaires venus du nord de la Syrie. Des effectifs minimes alors même que certains cherchent à profiter du vide sécuritaire. Reportage dans un commissariat de Damas.
Ana Maria a dû payer pour entrer au Mexique illégalement avec ses trois filles, et ne pas être kidnappée par des criminels impitoyables qui ont fait de la crise migratoire un marché à plusieurs milliards de dollars.Les cartels de la drogue les plus violents sont en embuscade sur ce marché criminel de la traite des migrants.
Dix jours après le début des incendies qui continuent de sévir à Los Angeles, des policiers à cheval et des agents accompagnés de chiens inspectent vendredi les zones sinistrées à la recherche de victimes, dans les bâtiments calcinés et jusque dans certaines zones escarpées.Des dizaines de personnes sont toujours portées disparues et au moins 27 sont décédées à cause des incendies à Altadena, au nord de Los Angeles, et dans le quartier huppé de Pacific Palisades, dans l'ouest de la ville.Ils ont détruit plus de 16.000 hectares, une superficie presque aussi grande que la capitale Washington, et entraîné l'évacuation de dizaines de milliers de personnes.Chez certains évacués, la frustration grimpe face aux autorités qui les empêchent de rentrer chez eux -même si leurs maisons ont échappé aux flammes- à cause de dangers invisibles comme de potentiels glissements de terrain ou le risque de pollution par des substances toxiques.Nina Madok, qui a perdu sa maison à Pacific Palisades, a déclaré à l'AFP qu'une réunion d'information organisée jeudi soir pour les évacués n'avait "servi à rien". "Nous avons besoin de responsables locaux qui répondent à nos questions maintenant... pas ces charlatans", a-t-elle tranché.Les autorités ont déclaré jeudi qu'il faudrait au moins une semaine avant que les personnes évacuées puissent rentrer chez elles. - "Chaque centimètre carré" -Des équipes accompagnées de chiens renifleurs poursuivent leurs recherches minutieuses à Altadena, où au moins 5.718 bâtiments ont été détruits, faisant du "Eaton Fire" le 2e incendie le plus destructeur de l’histoire de la Californie selon les pompiers de l'Etat."Nous examinons chaque bâtiment un à un et fouillons chaque centimètre carré pour essayer de trouver quelqu'un", a souligné Dan Paige, qui aide à coordonner les opérations de recherche dans la ville.L'incendie de Pacific Palisades, quartier situé entre Malibu et Santa Monica, a détruit au moins 2.869 bâtiments.Au-dessus de Malibu, des agents de police arpentent à cheval les collines broussailleuses et escarpées.Tous les secteurs sinistrés doivent être ratissés avant de pouvoir rouvrir au public, même quand aucune information spécifique ne laisse supposer une présence humaine.- Pompiers applaudis -Alors que des milliers de pompiers poursuivent leurs efforts pour éteindre les flammes, les pancartes les remerciant fleurissent dans tout Los Angeles, jusqu'à l'extérieur du studio où l'animateur et humoriste Jimmy Kimmel enregistre une célèbre émission télévisée.Une vidéo postée par TMZ a montré des pompiers en uniforme applaudis et acclamés par les clients d'un restaurant à Calabasas, près de Malibu, après un repas offert, selon ce site d'information people, par l'établissement et la clientèle.Ces louanges adressées aux soldats du feu contrastent avec les attaques frontales du président élu Donald Trump contre Gavin Newsom, le gouverneur démocrate de Californie, sur la gestion des incendies par les autorités locales.Donald Trump, qui retourne lundi à la Maison Blanche, l'a menacé de suspendre les aides fédérales à son Etat s'il ne se pliait pas à ces exigences politiques.Considéré comme l'un des grands espoirs du parti démocrate, Gavin Newsom est l'une des cibles de prédilection du milliardaire, qui attaque à travers lui les idées progressistes, dont la Californie est un creuset.Les incendies ont donné lieu à des pillages de propriétés évacuées par leurs habitants. Des dizaines de personnes ont été arrêtées et neuf d'entre elles inculpées pour ce type de vol.L'ancienne championne américaine de tennis Pam Shriver, qui avait fui les flammes de Pacific Palisades, s'est fait voler 16 trophées de tournois du Grand Chelem, tous gagnés en double. Ils se trouvaient dans sa voiture, dérobée sur le parking de l'hôtel où elle avait trouvé refuge."Aux gens qui font ça, (je dis) les gars, on doit se serrer les coudes", a-t-elle lancé à la télévision locale KTLA. "Ce n'est pas le moment de causer encore plus de stress et d'inquiétude aux gens."hg/vla-es/bpe/cyb
Dans la ville de Reading, qui abrite la plus grande communauté latino de Pennsylvanie, Donald Trump a réalisé une percée notable lors de la dernière présidentielle. Pour ses soutiens hispaniques, les attaques répétés du président élu contre les immigrés d’Amérique latine ne pèsent pas lourd face à la promesse de défendre les valeurs traditionnelles et les petites entreprises. Nichée parmi les hautes maisons familiales d’une rue résidentielle, l’église Betania passerait presque inaperçue entre ce
Depuis qu’elle a témoigné dans « Sept à Huit » pour mettre en garde contre les brouteurs, la décoratrice d’intérieur est devenue la risée du Web.
Rituel - A Anapa, plage touchée par la marée noire, la baignade rituelle s’est déroulée sous haute surveillance
La justice sud-coréenne a prolongé dimanche la détention du président Yoon Suk-yeol, suspendu de ses fonctions après son arrestation pour avoir tenté d'imposer la loi martiale, provoquant l'irruption de manifestants en colère dans le tribunal. Yoon Suk-yeol reste en détention. La justice a prolongé, samedi 18 janvier, la détention du président coréen après son arrestation pour avoir tenté d'imposer la loi martiale. En colère, des manifestants ont fait irruption dans le tribunal, brisant des vitr
Le rockeur sud-coréen Choi Jin-ho, 150.000 abonnés sur sa chaîne YouTube RockTV, se filme en direct dimanche pendant l'assaut sans précédent d'un tribunal de Séoul qui vient de prolonger la détention du président suspendu Yook Suk Yeol.Il tourne inlassablament son livestream durant sept heures, entouré de centaines d'autres sympathisants en colère du dirigeant coréen suspendu de ses fonctions et arrêté mercredi pour sa tentative avortée d'imposer la loi martiale.Sa vidéo montre des scènes de chaos: des pro-Yoon en furie pénètrant dans le tribunal en détruisant au passage portes et fenêtres avec des extincteurs, avant de gravir les escaliers du bâtiment."Pourquoi tout le monde n'est pas là? Allez venez tous!", lance un manifestant que l'on peut entendre dans cette vidéo, toujours disponible sur Youtube.A l'annonce vers 03H00 locales (18H00 GMT samedi) de sa décision de maintenir M. Yoon en détention pendant 20 jours, le Tribunal du district ouest de la capitale déclenche la colère des dizaines de milliers de manifestants rassemblés devant ses portes dès samedi.Des journalistes de l'AFP voient alors des centaines de policiers se précipiter dans le tribunal pour en déloger des pro-Yoon en furie, la police rapportant des dizaines d'arrestations au cours de cet "incident intolérable, illégal et violent".- Youtubers d'extrême droite-La police annonce ensuite une enquête sur l'implication des Youtubers affiliés à l'extrême droite dans la prise d'assaut du tribunal, mais les manifestants ne semblent nullement décontenancés. La détention du président "signifie la chute de l'Etat de droit en Corée du Sud", lance Cho Min-shik, un ouvrier du bâtiment de 32 ans. Le manifestant montre fièrement son poignet blessé après avoir cassé une vitre et s'être introduit dans le tribunal avec d'autres manifestants. Depuis son centre de détention, le président suspendu transmet régulièrement des lettres de remerciements et d'encouragements à ses soutiens inconditionnels qui comptent aussi des prêtres évangéliques.Son équipe juridique martèle dans le même temps que son arrestation est illégale.Devant le tribunal, épicentre de la colère, la police décide de déployer 1.400 agents pour contenir les manifestations, qui, selon des experts, sont "sans précédent" en Corée du Sud.L'équipe juridique de M. Yoon accuse, elle, dans un communiqué le tribunal et la police pour ces incidents.La décision de la cour de prolonger la période de détention du président signifie que "des citoyens enragés continuent les manifestations, et il en resulte de malheureux incidents violents"."Les accusations se multiplient selon lesquelles la police, qui était indulgente à l'égard des manifestations illégales des syndicats, provoque et réprime désormais violemment les manifestations pacifiques des citoyens", martèle l'équipe juridique du président suspendu.- Théories du complot-Yoon Suk Yeol a été arrêté le 15 janvier après un assaut du Bureau d'enquête sur la corruption (CIO) et de policiers sur sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l'Etat en exercice.Mais le président, sous le coup de plusieurs enquêtes dont une pour "rébellion" et accusé d'avoir fait vaciller la démocratie en déclarant par surprise la loi martiale, refuse de reculer. Celui qui reste techniquement à la tête de l'Etat bien que suspendu en attendant la décision de la Cour, a promis de "se battre jusqu'au bout".De nombreux soutiens de Yoon interviewés par l'AFP ont répété des théories du complot, affirmant notamment que les élections parlementaires en Corée du Sud l'année dernière, gagnées par l'opposition, ont été truquées, une thèse défendue par M. Yoon.- "Stop the steal" -Les partisans de M. Yoon brandissent fréquemment des drapeaux américains et adoptent la rhétorique "Stop the steal" associée au président élu américain Donald Trump, dont les partisans ont pris d'assaut le Capitole de Washington pour tenter d'annuler sa défaite électorale de 2020.Ces rhétoriques reflètent la désinformation sur les fraudes électorales, qui a longtemps circulé parmi les conspirationnistes d'extrême droite en Corée du Sud. Emportés par un sentiment nationaliste et farouchement anti-communiste, leurs charges au vitriol visent des politiciens libéraux, qu'ils accusent d'être des agents nord-coréens complotant avec Pyongyang pour déstabiliser la démocratie sud-coréenne."Yoon doit revenir au pouvoir pour se débarrasser de tous les communistes du pays", lance Mme Lim, qui compte 5.000 adeptes sur sa chaîne YouTube et se décrit comme une chrétienne évangélique.kjk-hj/ceb/mtp/alh-sba/fio
10 jours après le début des incendies autour de Los Angeles, la perspective d'un retour au domicile pour les personnes évacuées est encore lointaine. Il faut encore compter "au moins une semaine", selon les autorités.