Metz : c'est pas moi, c'est lui

À Saint-Symphorien, il est coutume de chanter que la Lorraine est grenat. Lundi, elle a glissé de quelques codes couleurs sur le nuancier Pantone, pour s'orner de rouge. Tout en perdant par la même occasion le sens des nuances. Pas besoin d'être daltonien pour comprendre qu'une contestation faisant suite à un carton jaune, qu'un crampon calé sur l'épaule d'un adversaire ou qu'un tacle les deux pieds décollés attrapant un genou puisse être synonyme d'exclusion. Les règles étaient sur la table et pouvoir compter sur la VAR en Ligue 2 n'aurait pas empêché les retours prématurés au vestiaire de Kiki Kouyaté, Alexandre Oukidja et Danley Jean-Jacques. Trois déraillements qui ont, par la force des choses et à huit Messins contre onze Guingampais pendant plus d'une demi-heure, conduit à une déroute 3-6 alors que le FC Metz menait confortablement 3-1 à la…

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