Ligue des champions: le Stade Brestois a déjà gagné une très belle somme grâce à son parcours européen

Le Stade Brestois fait le plein en Ligue des champions. Avec un quatrième succès mardi soir contre le PSV Eindhoven (1-0), le club finistérien a passé un nouveau cap. En mars dernier, l'UEFA avait annoncé le montant des primes de résultat pour chaque rencontre de phase de poules: 700.000 euros en cas de match nul et 2.1 millions d'euros par victoire. En six journées de phase de ligue, les Bretons ont donc récupéré plus de 9 millions d'euros de gains grâce à ses performances. Une jolie somme qui pourra être améliorée contre le Shakhtar (le 22 janvier) et le Real Madrid (le 29 janvier).

Actuellement septième alors qu'il ne reste que deux journées de Ligue des champions, les hommes d'Eric Roy peuvent également espérer de grosses entrées d'argent en fonction de leur classement, à l'issue de la fin de la phase de ligue. Presque déjà assuré de terminer barragiste - à moins d'une énorme déconvenue - le Stade Brestois pourrait s'assurer un million d'euros en cas de qualification en barrages (à condition d'être classé entre la 9e et 16e place). Encore mieux, si le club finistérien termine dans les huit premiers, synonyme de qualification en huitièmes de finale, il empocherait une prime initiale de deux millions d'euros. De belles sommes auxquelles il faut également ajouter une part de 275.000 euros par place gagnée. Brest étant septième, la part s’élève, pour l'heure, à près de 8 millions d'euros.

Grâce à sa troisième place décrochée en Ligue 1 la saison dernière, le Stade Brestois avait déjà empoché 18.62 millions d'euros. Si l'on ajoute les 9.1 millions d'euros de gain grâce aux quatre victoires et au match nul, les Bretons ont d'ores et déjà remporté plus de 27 millions d'euros.

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Mais les primes de classement, supplées à une (potentielle) qualification en phase à élimination directe, où 11 millions d'euros sont attribués aux huitièmes de finaliste, feraient grimper la somme à plus de 40 millions d'euros. Une entrée d'argent non négligeable, surtout pour les clubs français qui ont souffert de la baisse des droits TV.

Article original publié sur RMC Sport