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Jules Koundé, fashion victime

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Ce mardi soir en Grèce (2-2), Jules Koundé s'est pris un petit pont qui a engendré un but adverse. Mais, à ce poste de latéral qui n'est pas le sien, il a aussi apporté pas mal de belles choses.

Tout allait bien jusqu’à la 61e minute. Jusqu’à cette heure de jeu, ce mardi soir au stade Agiá Sofiá d’Athènes, Jules Koundé n’avait pas eu grand-chose à faire derrière, ou n’a en tout cas pas beaucoup été inquiété. Alors il s’est exprimé dans son couloir droit. Pendant le match, on l’a vu dédoubler, centrer (5 fois) souvent avec précision, être conquérant balle au pied, proposer des solutions en permanence, combiner avec Ousmane Dembélé, Antoine Griezmann ou Youssouf Fofana, varier ses services avec intelligence, ouvrir des fenêtres de tir à ses partenaires (3 fois). Alors bien sûr, il y a un « mais ».

Après la pause, on a senti de plus en plus de courants d’air dans le dos du Barcelonais. Et lorsqu’Andréas Bouchalákis, de son pied gauche, a ouvert le jeu à destination de l’excentré Dimítris Giannoúlis, piston de cette équipe grecque et obscur latéral gauche de Championship (à Norwich City) dans la vie de tous les jours, Koundé n’a pas vu le danger. Alors qu’il pensait claquer la porte sur son vis-à-vis, ce dernier a glissé juste à temps le ballon entre les jambes de Koundé, et c’était trop tard. Au bout, Lucas Hernández a été pris de vertiges, Adrien Rabiot a traîné la patte, et Fótis Ioannídis a allumé un Brice Samba décidément pas verni. Autre statistique à mettre à l’actif de Koundé : il n’a pas fait de faute face aux Hellènes. Mais il aurait peut-être dû, en tout cas lors de cette 61e minute.…

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