Impôts, immigration, retraite… Michel Barnier clarifie sa ligne politique
Au boulot ! Après avoir dévoilé son gouvernement samedi, Michel Barnier l'a reconnu lors du 20 heures de France 2 dimanche 22 septembre : « La situation est très grave avec 3 000 milliards de dette » et sa mission s'annonce « difficile ». Il regrette notamment les partis qui ont appelé à la censure « avant même qu'[il n'ait] ouvert la bouche ».
« Ce n'est pas une cohabitation », assure le Premier ministre. « Parce que le socle parlementaire qui va accompagner le gouvernement est constitué pour beaucoup de sénateurs et de députés qui ont soutenu ou accompagné le président de la République depuis sept ans et, en même temps, il n'y a pas de majorité à l'Assemblée nationale. » Il estime donc avoir « essayé de faire avec [ses] amis des Républicains pour créer le socle le plus important de l'Assemblée nationale ». Selon lui, « tous les membres du gouvernement ont accepté la culture du compromis […] pour servir les gens ».
Les avancées sociales seront intégralement préservées
Après les inquiétudes exprimées par une partie de la population, et en premier lieu Gabriel Attal, sur la garantie des avancées sociales comme les droits LGBT ou la PMA, Michel Barnier assure n'avoir « aucune ambiguïté » sur le sujet. « En tant que Premier ministre, je serai un rempart pour préserver l'ensemble de ces droits acquis pour les hommes et les femmes, en termes de liberté et de progrès social ».
Pas d'augmentation d'impôts généralisée
Face à une situation budgétaire inquiétante, Michel [...] Lire la suite