France-Israël: le préfet de police de Paris détaille le dispositif de sécurité renforcé

Comme annoncé par RMC Sport, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez, invité sur BFMTV ce dimanche, a confirmé les 4000 personnes engagées dans le large dispositif de sécurité autour du match de Ligue des nations entre la France et Israël prévu jeudi 14 novembre au Stade de France.

"On aura en tout 4000 personnes sur le dispositif." Comme annoncé par RMC Sport, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez a confirmé ce dimanche sur BFMTV un très large dispositif pour assurer la sécurité du match de Ligue des nations entre la France et Israël prévu jeudi 14 novembre au Stade de France.

Environ 4000 policiers et gendarmes seront impliqués sur toute l'agglomération (2500 autour du stade, 1500 dans Paris et les transports), des chiffres qui pourraient encore évoluer en début de semaine.

"On travaille dans le cadre de ce que la loi nous permet. Ce qu’on peut faire et ce qu’on va faire, c’est qu’il y aura un double contrôle, un périmètre de sécurité antiterroriste autour du stade. On aura en tout 4000 personnes sur le dispositif", confirme Laurent Nuñez, évoquant donc le dispositif dans son sens le plus complet, sur l'ensemble de la région parisienne.

Et d'ajouter: "Il y aura aussi 1600 agents de sécurité (des stadiers, NDLR) engagés par la FFF, là où en moyenne c’est 1200 ou 1300 pour les matchs de la France dans un stade à guichets fermés. Pour les spectateurs, il y aura un dispositif de sécurité autour du stade avec un double contrôle: au niveau de l’entrée du périmètre de protection, puis à l’entrée du stade. Avec à chaque fois contrôle d’identité, fouille, palpation."

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"Il n’y a aucun échec", promet l'ancien secrétaire d'État. "Ce match doit se jouer dans des conditions normales, sans jauge. La FFF a constaté que l’engouement n’était manifestement pas au rendez-vous (20.000 spectateurs sont attendus, NDLR). Donc l’organisateur a gelé un certain nombre de places, qui n’ont pas été mises en vente. Ça arrive pour d’autres matchs, comme France-Japon en rugby."

Article original publié sur RMC Sport