Il n’y a « pas d’autre » solution que Lucie Castets, martèlent Tondelier, Bompard et Roussel

Lucie Castets, le 25 juillet 2024.  - Credit:Apaydin Alain / Apaydin Alain/ABACA
Lucie Castets, le 25 juillet 2024. - Credit:Apaydin Alain / Apaydin Alain/ABACA

L'ambiance s'annonce tendue. Avant qu'Emmanuel Macron ne reçoive les dirigeants et les présidents de groupe du Nouveau Front populaire (NFP) ce vendredi 23 août, Marine Tondelier, Manuel Bompard et Fabien Roussel dénoncent l'attentisme du chef de l'État.

« Comment on appelle en politique un président de la République qui ne nomme pas un Premier ministre d'une coalition arrivée en tête ? En Amérique latine, on appelle ça un putsch, un coup d'État, un coup de force démocratique. On en est là aujourd'hui », a déclaré le secrétaire national du Parti communiste à TF1.

À l'instar des autres composantes du NFP, Fabien Roussel reproche à Emmanuel Macron de ne pas nommer Lucie Castets, la candidate de la coalition des gauches, à Matignon. Le dirigeant communiste a affirmé que lors de leur rencontre avec Emmanuel Macron, la délégation du NFP allait « solennellement » lui demander « d'entendre cette colère qui gronde dans le pays » et d'opérer des changements. « Si le président de la République ne le fait pas, je pense que nous allons vers une crise grave, sociale, climatique mais aussi démocratique », estime-t-il.

"Comment on appelle un président de la République qui ne nomme pas un Premier ministre d'une coalition arrivée en tête ? En Amérique latine on appelle ça un putsch, un coup d'État", Fabien Roussel, secrétaire national du PCF#BonjourLaMatinaleTF1 pic.twitter.com/2QcdwVd7xy

— TF1Info (@TF1Info) August 23, 2024

Le candidat à la dernière élection présidentie [...] Lire la suite