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Essai - Rolls‑Royce Ghost Black Badge : "diamant noir" au pays de l'or blanc

Essai - Rolls‑Royce Ghost Black Badge : "diamant noir" au pays de l'or blanc
LAURENT VILLARON / SPORT AUTO

Une Rolls-Royce dans Sport Auto ? Oui, et c’est loin d’être une première. José Rosinski ouvre le bal en 1969, au volant d’une Silver Shadow qui fait contrepoids avec les Alfasud et 2002 Ti gravées sur les ronds de serviettes de l’époque.

Avant de remettre le couvert, des années plus tard, au volant d’une Silver Spirit pour confronter la réalité au fantasme que cette marque représente dans l’imaginaire collectif. Démystifier tout d’abord, puis se demander ce qu’apporte le joyau anglais par rapport aux limousines dernier cri, moins rares mais souvent plus sophistiquées.

La question est plus que jamais d’actualité, à l’heure de la surenchère technologique du très haut de gamme. Qu’il ne s’agisse pas des mêmes clientèles, soit. Mais leurs quêtes de confort absolu et de raffinement se rejoignent quelque part.

L’interrogation demeure donc légitime : face à une Maybach S 680 longue comme un jour sans pain ou une BMW i7 M60 avec un écran du Futuroscope et l’acoustique de l’Olympia… que reste-t-il aux Rolls-Royce ?

Pour apporter des éléments de réponse, vous vous doutez bien qu’on ne pouvait pas se contenter du tour de pâté de maisons en levant les pouces comme des influenceurs. Non, il fallait un véritable essai marathon.

Depuis la godasse de plomb sur autoroute pour jauger la sécurité active, jusqu’au lever de pied dans les descentes de col pour tenter de repasser sous la barre des 20 l/100 km.

Un parcours au dénivelé à la hauteur des capacités hors norme de la Ghost Black Badge : Nice - Val-d’Isère, aller-retour, via San Remo, la vallée d’Aoste, Turin, le tunnel du Fréjus, etc. Une...Lire la suite sur Sport Auto