Essai - Aston Martin DB12 Volante : le nec plus ultra des Super Tourer décapotables ?

Sans faire offense à Aston Martin, s’il est de notoriété publique que la firme ailée produit quelques-unes des plus belles carrosseries de la planète, le ramage ne s’est pas toujours rapporté au plumage. Jusqu’à récemment encore, et il suffit pour s’en convaincre d’écouter les quolibets que les pilotes de Formule 1 (à l’exception de Lance Stroll et Fernando Alonso) ont assénés à l’égard de la safety car (une Vantage).
La compétition automobile, Gaydon a justement envie de capitaliser dessus. Et ça fonctionne. Les trois quarts des Vantage vendues l’année dernière étaient des F1 Edition. 9 DBX sur 10 commercialisés sont des 707. « L’époque où les Aston n’étaient que de belles autos est révolue, appuie Dan Connell, le nouveau responsable de la communication. Nous allons créer un lien plus fort avec nos clients. Leur prouver que nous sommes à l’écoute de leurs requêtes pour leur faire vivre une expérience unique. »
Joli discours, un peu cucul la praline, mais qui démontre un changement radical de politique chez Aston, comme Laurent Chevalier vous l’a déjà relaté. « Nous avons un ADN de compétiteurs, et la performance coule dans nos veines », poursuit l’Anglais. La Vantage est censée répondre à cette attente forte d’une clientèle en mal de sensations, et la petite britannique est, sur le papier, enfin lotie pour contrer l’indéboulonnable 911.
Mais la séance de sport, c’est Laurent qui s’y est collé, lors de l’essai de la Vantage. Pour moi, c’est plutôt « stand and relax »… Comme toute déclinaison cabriolet, la DB12 Volante a droit à son armada de renforts. Il y en a au niveau du berceau moteur, sur l’essieu arrière, à l’avant… bref, un peu partout, et Aston...Lire la suite sur Sport Auto