Sport sur ordonnance : la HAS veut faciliter sa prescription
Douleurs, fatigue chronique, effets secondaires de certains traitements... n'incitent pas à poursuivre ou débuter une activité physique. Et moins on bouge, plus le moindre mouvement devient difficile. Les médecins parlent de "déconditionnement à l'effort". Et pourtant les bénéfices physiques et psychologiques de l'activité physique pendant les traitements sont indiscutables.
"Dans les maladies chroniques, maladies cardiovasculaires et respiratoires, diabètes, obésité, arthroses, etc., l'activité physique est une thérapeutique à part entière - seule ou en association avec d'autres traitements médicamenteux ou non médicamenteux" souligne la Haute autorité de santé (HAS) dans un communiqué. "Plus largement, les bénéfices de l'activité physique sur l'état de santé, la condition physique, le maintien de l'autonomie chez les personnes âgées ainsi que sur la qualité de vie des populations à tous les âges de la vie sont avérés" insiste la HAS.
Pourtant, les médecins qui songent à ajouter l'activité physique à leurs prescriptions sont encore trop rares. C'est pourquoi la HAS vient de publier un guide sur la consultation et sur les modalités de prescription du sport, selon l'état de santé du patient, sa condition physique et sa motivation à modifier ses habitudes. Ce nouveau guide "aborde toutes les étapes du repérage du patient inactif à risque pour l'activité physique, à la prescription (activité physique ordinaire, programmes d'APA...), la (...)
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