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Du sport pour être en forme… au lit !

Val Thoermer/shutterstock.com
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Le sport, c’est bon pour tout. Y compris pour gagner le septième ciel ! Voilà un argument supplémentaire pour chausser les baskets. Un conseil, privilégiez les disciplines d’endurance comme la marche, la course ou la natation. Avec modération.

« L’inactivité physique est un facteur reconnu de difficulté sexuelle », explique le Dr Françis Collier, dans la Lettre du gynécologue. « Au-delà de 40 ans, les hommes ont moins de troubles de l’érection s’ils pratiquent régulièrement une activité physique ou un sport ». Sans compter que « la fréquence de ces dysfonctions érectiles est (aussi) corrélée au tour de taille ».

Il cite également une étude polonaise selon laquelle la pratique régulière d’une activité physique serait liée à une « sexualité plus gratifiante chez les femmes en péri-ménopause ». Autrement dit entre 45 et 55 ans. Le sport améliorerait donc bien la qualité de la vie sexuelle. Un résultat finalement sans surprise étant donné qu’il contribue « à une meilleure santé, un renforcement cardiovasculaire, à une réduction du stress ou une meilleure capacité de relaxation ».

Courir…

Les disciplines d’endurance contribueront à ce « renforcement cardiovasculaire ». Misez par exemple sur le running, idéal pour évacuer le stress et… booster le niveau de testostérone, une hormone qui intervient dans le désir sexuel. Et pourquoi ne pas courir avec votre moitié ? Une étude a même montré que 75% des hommes et 68% des femmes sont convaincus que leurs sorties communes sur le bitume favorisent leur vie sexuelle.

Ce n’est pas tout. Avec le sport, vous faîtes le plein de confiance. Et cela se voit ! Un autre travail publié en 2004 a montré que les sportives et les sportifs, remontés à bloc, se sentaient bien plus désirables que les inactifs.

… mais pas trop

Finalement, la seule limite du sport en la matière peut apparaître lorsque la pratique devient intensive. Jusqu’au surentraînement qui, au-delà de la fatigue, entraîne une chute du taux de testostérone. Un dernier point : modération également au niveau du temps passé sur la selle de vélo. Monsieur, une pratique de plus de 3 heures par semaine augmenterait légèrement (4% ?) le risque de dysfonction érectile.