Spontanéité et gaieté au dîner de la Tsedaka

Dimanche 1er décembre, au Pavillon Gabriel, Michel Drucker accueillait ses amis du showbiz pour une vente aux enchères de bienfaisance.

Certaines soirées de gala sont plus compassées que d’autres. Les femmes en robe noire, les hommes en pingouin, il faut au moins trois coupes de champagne pour dérider l’assistance. La soirée des parrains de la Tsedaka, ça n’est pas cela du tout ! Tsedaka –pour aumône, ou justice, en hébreu– ne veut pas dire gravité. Au contraire, c’est gai, spontané, chaleureux.

Il faut noter qu’il y avait parmi les convives de quoi mettre l’ambiance. De Ary Abittan, très drôle et furieusement athlétique, au tandem Olivier Nakache et Eric Toledano (les cinéastes de Hors Normes, Intouchable…), Caroline Vigneaux, Pascal Elbé, Michel Boujenah, Franck Dubosc, Alexandre Arcady, Karine Lemarchand, Dominique Farrugia, l’hyperactif metteur en scène Steve Suissa (il a trois pièces en route à Paris et en France avec Thierry Lhermitte, Laspalès, Huster, etc, tourne un film pour Netflix et anime « A l’Origine », une émission sur le judaïsme sur France 2, sans parler de son école de théâtre francophone en Israël, ouf !), Ghislaine Arabian, très sympathique et juvénile chef cuisinière patronne des Petites Sorcières à Paris et ex-juge de Top Chef, Patrick Bruel venu faire un coucou entre deux concerts…

Certains sont montés sur scène pour encourager les enchères menées de main de maître par la pétulante animatrice et journaliste Sandrine Sebbane aux côtés de Drucker. Lequel Drucker rappelait dans un clin d’œil que « j’ai changé de vie, maintenant, je suis sur scène moi aussi ! » C’est vrai qu’il rempile dans un nouveau one-man-show où il raconte ses souvenirs. Il est allé plus loin, évoquant son père Abraham « qui a tout fait pour sauver ce qu’il a pu au camp de Drancy ». Sur son enfance : « Notre père avait tellement peur que ça recommence(...)


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