Publicité

Shocking ! Kate et William accusés de mettre la sécurité du prince George en danger

Royauté

Scandale en Nouvelle-Zélande. Alors que le prince William et Kate Middleton, accompagnés de leur petit prince George, sont arrivés ce matin dans le pays pour un "royal tour" de 11 jours, le couple royal britannique est l'objet de vives critiques de la part de parents néo-zélandais. En cause : le siège auto qu'ils ont choisi pour leur bébé de huit mois.

Pour transporter leur petit George en toute sécurité à bord du véhicule officiel, Kate et William ont opté pour un siège auto qui fait face à la route, comme l'explique le quotidien anglais The Mirror. Problème : ce genre de siège est fortement déconseillé aux enfants de moins de deux ans, et est même interdit en Europe pour les nourrissons jusqu'à 15 mois. A cet âge-là, il est en effet vivement recommandé de disposer bébé dans un siège qui fait dos à la route. Mais si la prévention routière néo-zélandaise préconise également ce système de siège auto, il n'est pas obligatoire dans le pays.

De nombreux parents indignés ont pris d'assaut la page Facebook du constructeur du siège incriminé, Plunket. Devant l'ampleur de la polémique, la marque a décidé ce week-end de réagir et a posté un message sur sa page Facebook. "Si Plunket recommande bien que les enfants de moins de deux ans soient placés dans des sièges auto faisant dos à la route, ceci n'est pas imposé par la loi", rappelle la marque. Et d'ajouter : "Notre but est de travailler main dans la main avec les parents pour les aider à prendre la décision la plus informée possible". Mais alors, Kate Middleton et le prince William seraient-ils mal informés ?

Retrouvez cet article sur CloserMag.fr

L'acteur américain Mickey Rooney est mort
Kate Middleton : des Maori priés de se rhabiller pour ne pas l'embarrasser
Grossesse de rêve ou petite mine ? Les stars en bavent aussi !
Cressida Bonas et le prince Harry fiancés ? "Ce n’est qu’une question de temps"
Céline Dion obligée de baisser le prix de son manoir à cause de la crise immobilière