Sexualité : les femmes les plus actives auraient une partie du cerveau plus développée que les autres
C'est un fait avéré, le sexe permet de se maintenir en bonne santé, en cela qu'il contribue à diminuer le niveau de stress, d'améliorer le sommeil ou encore de prévenir certaines maladies cardiaques. Mais durant l'acte sexuel, celui qui tire toutes les ficelles, c'est le cerveau ! Le véritable organe sexuel n'est pas non plus insensible aux plaisirs de la chair. Pour la première fois, des chercheurs allemands ont localisé la zone du cortex cérébral dévolue à la sensibilité génitale de la femme.
Non, vous n'êtes pas dans un épisode de la série Masters of Sex, mais bien au cœur d'une étude très sérieuse publiée dans le Journal of Neuroscience. Les scientifiques Andrea J. J. Knop, Stephanie Spengler, Carsten Bogler et Carina Forste en autres, se sont intéressés aux répercussions du coït sur le cerveau de vingt femmes, et plus précisément, la réponse neuronale à une stimulation tactile du clitoris. Après chaque série de stimulations, les participantes devaient indiquer l’intensité de la sensation agréable ou de l’excitation sexuelle sur une échelle visuelle. Les résultats des scans IRMf (Imagerie par Résonance Magnétique Fonctionnelle), ont révélé une corrélation claire entre la fréquence de l’activité sexuelle et l’épaisseur du cortex somatosensoriel qui permet de percevoir les stimulations génitales.
Comme l'explique le Journal des Femmes, "le cortex somatosensoriel est la région du cerveau à laquelle sont transmises les informations que reçoit le corps par le biais de ses cinq (...)
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