Sexo + 50 ans : la fessée sans tabou !

Oui et non. Si la fessée met en scène une relation de domination et de soumission, elle peut tout à fait être donnée comme un geste très ponctuel, sans rôle attribué. Il s’agit le plus souvent d’un jeu qui s’intègre dans la sexualité du couple sans que les choses aillent plus loin.

Lorsque l’excitation est forte, la limite entre la douleur et le plaisir est ténue. Pour celui qui la reçoit, la fessée stimule une zone érogène. Elle provoque un afflux de sang au niveau de l’anus, mais aussi du ventre, du clitoris ou du pénis, par un jeu de vibrations. Pour celui qui la donne, la fessée est également une pratique stimulante, qui consiste à placer l’autre dans une position infantile de "vilaine fille" ou de "vilain garçon" : c’est une source classique de fantasmes.

Il faut d’abord parler avec votre partenaire. Assurez-vous que vous vous comprenez bien sur ce qu'une fessée douce veut dire. Est-ce qu’une petite tape suffit ? Ou plusieurs petites claques ? Peut-il aller un peu plus fort s’il voit que vous appréciez la stimulation ? La fessée peut difficilement constituer un préliminaire, à moins d’avoir un très bon niveau d’excitation. Cette dernière rend moins sensible à la douleur et c’est une condition indispensable pour ressentir du plaisir à une stimulation inhabituelle. La fessée peut aussi être alternée avec des caresses sexuelles ou sur les fesses. La position de la levrette, lorsque la femme est à quatre pattes et l’homme debout derrière elle, semble la plus simple pour cette (...)

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