"Elle s'est cassée les deux jambes" : Claire Nadeau victime d'un accident, elle loupe le festival de l'Alpe d'Huez
"Elle s'est cassée les deux jambes" : Claire Nadeau victime d'un accident, elle loupe le festival de l'Alpe d'Huez
"Elle s'est cassée les deux jambes" : Claire Nadeau victime d'un accident, elle loupe le festival de l'Alpe d'Huez
A peine une semaine après avoir acheté son Porsche Cayenne, ce conducteur se le fait retirer. Et ce n'est pas vraiment par hasard.
L'homme s’est finalement rendu de lui-même trois jours après et a été condamné à 12 mois de prison ferme.
Julius Kivimäki, 25 ans, était recherché depuis deux ans en Finlande pour le piratage de plusieurs centres de psychothérapie. Il a été interpellé à Courbevoie en région parisienne par la brigade anticriminalité.
Sihem, 18 ans, a été retrouvé morte le 2 février dernier dans le Gard. Son meurtrier présumé, Mahfoud Hansali, est un profil bien connu des autorités.
Le 27 avril 2021, le cadavre d'Emmanuelle Badibanga est retrouvé dans la salle de bain de sa chambre d'hôtel. Elle était en vacances aux Seychelles avec son petit ami, Thomas D., un artiste niçois. A-t-elle été tuée par celui-ci ? Arrêté et jugé, il connaitra son sort jeudi 14 avril 2022.
états-UNIS - Le gouverneur du Missouri et la Cour suprême ont a rejeté une demande de clémence, malgré les doutes soulevés par l’association Innocence Project
Accusés d'avoir tué le jeune Fernando Baez Sosa en 2020 à la sortie d'une boîte de nuit de la côte argentine, cinq des huit joueurs ont écopé de la prison à perpétuité. Les trois autres inculpés ont été condamnés à 15 ans de prison. Ce meurtre avait suscité une vive émotion dans le pays.
Le 4 février, des passagers ont assisté au moment terrifiant où le moteur de leur avion a pris feu au moment du décollage à l'aéroport international de Phuket, en Thaïlande.
La police lyonnaise a arrêté deux hommes suspectés d'avoir passé à tabac un homme de 54 ans retrouvé mort dans un appartement, des violences filmées et diffusées sur le réseau social TikTok, a-t-on appris mardi auprès du parquet de Lyon.Dans la nuit de samedi à dimanche, l'enquête a permis de localiser un appartement situé dans le centre de Lyon, "susceptible d'être le lieu de commission des faits", comme l'écrit le parquet.
"Toute la nuit, on a vu l'horreur": un incendie, a priori d'origine accidentelle, a détruit une famille, tuant sept enfants de deux à 14 ans et leur mère, dans la nuit de dimanche à lundi dans une maison du village champenois de Charly-sur-Marne (Aisne). Seul le père a survécu.Ce drame est le plus meurtrier impliquant des enfants depuis un incendie en 2013 à Saint-Quentin (Aisne), qui avait fait cinq victimes de deux à neuf ans.Les enfants décédés lundi, cinq filles et deux garçons, et leur mère sont morts asphyxiés. "Les corps n'étaient pas calcinés", a déclaré à l'AFP le procureur de Soissons, Julien Morino-Ros."C'est a priori un sèche-linge qui a pris feu au rez-de-chaussée", a-t-il précisé.Quatre des enfants étaient issus d'une première union de la mère, a précisé la gendarmerie.Le père de cette famille recomposée, âgé de 40 ans, est gravement brûlé. Il a été extrait de l'habitation, située dans la commune viticole de 2.600 habitants, puis hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger, selon le procureur.Il a été sauvé par un voisin, sapeur-pompier, avant l'arrivée de ses collègues, selon la préfecture de l'Aisne et le parquet.A la mi-journée, des habitants étaient rassemblés, les larmes aux yeux, devant la maison, façade noircie et volets calcinées, dans une rue étroite du centre de la bourgade, a constaté un journaliste de l'AFP.- "Complètement retournée" -"J’ai vu surtout de la fumée, beaucoup de fumée", a témoigné pour l'AFP une voisine, Evelyne Renaud. "Pauvres gamins !"Revenant de l'école toute proche, deux mères sont en larmes. L'une affirme que son fils était dans la classe de CM2 d'une des petites victimes et que le directeur "avait les larmes aux yeux". "Je suis complètement retournée", témoigne Nadine (elle ne veut pas donner son nom), une grand-mère qui côtoyait la mère décédée à la sortie de l'école. "J'aimais beaucoup cette famille."Selon le récit du procureur à l'AFP, le père a tenté d'intervenir au rez-de-chaussée, où se trouvait le sèche-linge, demandant à sa famille de se mettre à l'abri au deuxième étage, un comble aménagé.Un piège qui s'est finalement refermé sur les victimes: tandis que la fumée noire envahissait l'escalier, les pompiers peinaient à intervenir du fait de la configuration des lieux.Les volets électriques de l’habitation étaient aussi bloqués, le courant étant coupé, a relevé le procureur.Appelés à 0H49, selon la préfecture, les pompiers ont déployé d'importants moyens, avec 80 soldats du feu et deux grandes échelles, parvenant à éteindre l'incendie en début de matinée. Deux tracteurs ont été mobilisés pour évacuer les déblais.- "Accueillir la parole" -"On était sur place dans la même rue, toute la nuit on a vu l’horreur", a témoigné Sylvie Corré, l'épouse du propriétaire de la maison, jointe au téléphone par l'AFP. Les Corré employaient le père --"un excellent employé"-- dans leur petite exploitation viticole de champagne. La mère, la quarantaine, s'occupait des enfants. La famille, originaire du Nord, s'était installée il y a quatre ans, a détaillé Mme Corré. "La maison était tout à fait aux normes. Forcément, il va y avoir une expertise. On se prépare à tout", a ajouté Mme Corré."A ce stade, il n'y a pas d'éléments reliant l'incendie à un problème d'insalubrité" du domicile, "un bâti un peu ancien", selon le procureur."Des cellules d'écoute ont été mises en place pour accueillir la parole des enfants et des professeurs" dans les écoles maternelle, élémentaire et le collège où étaient scolarisées les victimes, a indiqué sur place Catherine Albaric-Delpech, directrice académique. "C'est peu de choses par rapport au drame."L’incendie a endommagé une habitation voisine, nécessitant le relogement de deux personnes. Le drame a lieu le jour-même où débute le procès aux assises de l'incendiaire présumée d'un immeuble de la rue Erlanger, à Paris, qui avait fait dix morts et 47 blessés en 2019.Le dernier drame similaire remonte à la nuit du 15 au 16 décembre, avec la mort de dix personnes dont quatre enfants dans un incendie à Vaulx-en-Velin, près de Lyon.cor-fan-eva-zap/cab/tes
Jeudi 2 février 2023, Edgardo Greco, un mafieux italien, a été arrêté à Saint-Etienne. L'homme qui vivait sous une fausse identité était recherché depuis 16 ans et était devenu pizzaïolo en France.
Le tribunal correctionnel de Fontainebleau a condamné un homme ayant harcelé son ex-femme sur les réseaux sociaux ou par email, la poussant jusqu'au suicide.
Recherche active - A Bruxelles, un garage souterrain était utilisé pour une vente de montres de luxe d’occasion. C'est là que deux personnes « auraient été violentées puis séquestrées ». La police recherche les assaillants
Un séisme de magnitude 7,8 a frappé lundi le sud de la Turquie et la Syrie voisine, faisant des centaines de morts dans les deux pays et de très importants dégâts selon de premiers bilans en constante évolution.Au moins 284 personnes ont été tuées en Turquie et plus de 2.000 blessées, dans sept différentes provinces, d'après les premières données de l'agence gouvernementale de gestion des catastrophes (Afad) qui dénombre près de 1.800 immeubles effondrés.En Syrie, 237 personnes ont perdu la vie, selon les autorités et des dizaines d'autres dans les zones rebelles.Plus de 600 personnes ont été blessées, ont indiqué les mêmes sources."Ma soeur et ses trois enfants sont sous les décombres. Aussi son mari, son beau-père et sa belle-mère. Sept membres de notre famille sont sous les débris", a raconté à l'AFP Muhittin Orakci qui attendait les opérations de secours devant un immeuble effondré à Diyarbakir, dans le sud-est du pays."Sa soeur est toujours sous les débris", a indiqué une femme en montrant une autre victime qui pleure à Diyarbakir.Le bilan risque d'évoluer rapidement compte tenu du nombre d'immeubles effondrés dans les villes touchées, comme à Adana, Gaziantep, Sanliurfa, Diayarbakir notamment.A Iskenderun et Adiyaman, ce sont les hôpitaux publics qui ont cédé sous l'effet du séisme, survenu en pleine nuit à 4H17 locales (1H17 GMT), selon l'institut sismologique américain USGS, à une profondeur d'environ 17,9 kilomètres. L'épicentre se situe dans le district de Pazarcik, dans la province de Kahramanmaras (sud-est), à 60 km environ à vol d'oiseau de la frontière syrienne.Ce séisme est le plus important en Turquie depuis le tremblement de terre du 17 août 1999, qui avait causé la mort de 17.000 personnes, dont un millier à Istanbul.- Intempéries -Les intempéries qui frappent cette région montagneuse paralysent les principaux aéroports autour de Diyarbakir et Malatya, où il continue de neiger très fortement, laissant les rescapés hagards, en pyjama dehors dans le froid."Nous entendons des voix ici et là-bas. Nous pensons que peut-être 200 personnes se trouvent sous les décombres", a déclaré un secouriste dépêché devant un immeuble détruit de Diyarbakir, selon des images diffusées sur la chaîne NTV.Face à cette désolation, partout les habitants se mobilisent et tentent de dégager les ruines à mains nues, utilisant des seaux pour évacuer les débris.Plus au sud, toujours selon NTV, la citadelle byzantine de Gaziantep, érigée au 6e siècle, s'est partiellement effondrée.Les secouristes turcs et la défense civile ainsi que les pompiers syriens sont à l'oeuvre pour tenter d'extraire d'éventuelles victimes des décombres, selon les médias locaux.Sur Twitter, des internautes turcs partageaient l'identité et la localisation de personnes prises au piège sous les décombres dans plusieurs villes du sud-est du pays.50 répliques ont été enregistrées en Turquie, selon l'Afad.Le maire de la ville d'Adana, Zeydan Karalar, a déclaré que deux immeubles de 17 étages et 14 étages avaient été détruits, selon la chaîne TRT.13 personnes ont été tuées dans la province d'Adiyaman, a annoncé le vice président Fuat Oktay faisant état d'une centaine de bâtiments effondrés.Au moins 47 personnes ont été tuées et 550 autres blessées dans la province de Malatya, selon l'AFAD.A Gaziantep, 80 personnes ont péri et 600 personnes ont été blessés. 581 bâtiments se sont effondrés dans la province.Les gazoducs alimentant la région ont aussi été touchés et les provinces de Hatay, Kahramanmaras et Gaziantep sont privés de gaz a affirmé l'organisme public Botas. Les secousses, ressenties dans tout le sud-est du pays, ont également été ressenties au Liban et à Chypre, selon des correspondants de l'AFP, ainsi qu'au Kurdistan iraquien dans le nord du pays à Erbil et Douk, mais aucune victime n'a été signalée.- Appel à l'aide internationale -"Toutes nos équipes sont en alerte. Nous avons émis une alarme de niveau quatre. C'est un appel y compris à l'aide internationale", a indiqué le ministre turc de l'Intérieur Süleyman Soylu sur la chaîne Haberturk."Nos équipes sont en état d'alerte pour secourir les survivants", ont aussi affirmé les Casques Blancs syrien, des secouristes engagés dans les zones rebelles en Syrie, sur Twitter.L'Azerbaïdjan, pays frère de la Turquie, a annoncé l'envoi immédiat de 370 secouristes, selon l'agence officielle turque Anadolu.Les Etats-Unis, la France, l'Italie, Israël se sont dits prêts à faire de même. Le gouverneur de la province de Gaziantep a appelé les habitants à se rassembler dehors malgré le froid, tandis que le chef du Diyanet, l'organisme public turc chargé d'encadrer le culte, a appelé les Turcs dans le besoin à trouver refuge dans les mosquées.La Turquie est située sur l'une des zones sismiques les plus actives du monde.Fin novembre, un tremblement de terre de magnitude 6,1 a frappé le nord-ouest de la Turquie, faisant une cinquantaine de blessés et des dégâts limités, selon les services de secours turcs.En janvier 2020, un séisme de magnitude 6,7 a frappé les provinces d'Elazig et de Malatya (Est), faisant plus de 40 morts. En octobre de la même année, un tremblement de terre de magnitude 7 en mer Égée avait fait 114 morts et plus de 1.000 blessés en Turquie.bg-burs-ach/ib
Les parents de Richelle Abalos étaient parmi les dix victimes de l'incendie ayant embrasé un immeuble de la rue Erlanger, à Paris, le 5 février 2019. Alors que le procès de l'incendiaire présumée s'ouvre ce lundi devant la cour d'assises de Paris, elle confie ses attentes à BFMTV.
La députée écologiste appelle à ce que la parole des femmes "soit respectée" et "entendue au sein des partis".
OHIO - Les fumées dégagées peuvent potentiellement être « mortelles » si « inhalées »
Antoine Vermorel-Marques, député Les Républicains de la Loire, a affirmé avoir reçu un message menaçant à la veille des débats dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale sur la réforme des retraites.
Procès - Dans la nuit du 27 au 28 octobre 2018, Kévin Ribal, 23 ans, était tué. Un Niçois de 30 ans et deux complices présumés sont jugés cette semaine pour meurtre
Drame - Le père, grièvement brûlé, a pu être extrait de la maison et a été transféré à l’hôpital