Sean Combs, Kamala Harris, Corée du Nord et attaque de requin : les informations de la nuit
Le rappeur Sean « Diddy » Combs maintenu en détention. Au lendemain de son arrestation à New York, le rappeur américain Sean Combs a plaidé “non coupable”, mardi, des chefs d’accusation “d’extorsion” et de “trafic sexuel”, écrit USA Today. La juge du tribunal de Manhattan a refusé de lui accorder la liberté sous caution et l’artiste a été maintenu en détention dans l’attente de son procès. “Selon l’acte d’accusation de 14 pages”, Sean Combs – alias Puff Daddy – a transformé son “empire commercial à multiples facettes” en une “entreprise criminelle” se livrant aux “enlèvements”, aux “violences physiques”, au “trafic sexuel” et au “travail forcé”, précise le quotidien américain. S’il est reconnu coupable, le rappeur risque la prison à vie.
États-Unis : Harris appelle Trump après sa deuxième tentative d’assassinat présumée. Kamala Harris a appelé Donald Trump, mardi, “pour une conversation rapide après la deuxième tentative d’assassinat” présumée à l’encontre du candidat républicain, rapporte The Hill. La vice-présidente américaine et candidate démocrate à la présidentielle de novembre a assuré à Donald Trump qu’elle était “heureuse qu’il soit sain et sauf”, selon un responsable de la Maison Blanche, qui a qualifié l’échange de “cordial et bref”. L’ancien président se trouvait dimanche sur le parcours de son club de golf en Floride quand les agents du Secret Service ont “ouvert le feu sur un homme armé” se trouvant à proximité. Le républicain a depuis mis en cause le président Joe Biden et Kamala Harris, “assurant que leur rhétorique avait inspiré la violence contre lui”, ajoute le site.
La Corée du Nord tire plusieurs missiles balistiques. Pyongyang a tiré tôt mercredi “au moins deux missiles balistiques” à courte portée, “dernière démonstration de force en moins d’une semaine, après la publication des premières images de l’une de ses installations d’enrichissement d’uranium et le tir de plusieurs missiles à courte portée”, observe The Japan Times. Le ministère japonais de la Défense a précisé que plusieurs missiles s’étaient écrasés en mer, “dans des eaux situées à l’extérieur de la zone économique exclusive du Japon”, ajoute le site. Les tirs ont également été confirmés par la Corée du Sud. Le 12 septembre, Pyngyang avait déjà tiré plusieurs missiles balistiques de courte portée en direction de la mer – son premier essai d’armement majeur depuis début juillet.