Une saleuse vêtue d'un pull de Noël tricoté à la main va sillonner le Royaume-Uni pour les fêtes
L'une des sableuses chargées de dégager les routes à Noël apportera un peu de gaieté en déglaçant les routes pendant les fêtes de fin d'année.
L'une des sableuses chargées de dégager les routes à Noël apportera un peu de gaieté en déglaçant les routes pendant les fêtes de fin d'année.
Le 16 janvier, l'humoriste Christine Berrou et 4 autres victimes présumées de l'humoriste Yassine Belattar ont été auditionnées...
Un tribunal iranien a condamné en appel le rappeur iranien Amir Tataloo à la peine capitale, après avoir été reconnu coupable de « blasphème », a rapporté dimanche 19 janvier un média local. « La Cour suprême a accepté le recours du procureur » contre une précédente peine de cinq ans d'emprisonnement, et « cette fois-ci l'accusé a été condamné à mort pour insulte au prophète » Mahomet, a rapporté le journal réformiste Etemad sur son site.Le jugement n'est pas définitif et peut faire l'objet d'un
Une joggeuse a été poignardée samedi 11 janvier dans un parc de la commune de Vergèze, dans le Gard. Un homme de 25 a reconnu les faits en garde à vue, il a été mis en examen et écroué.
drame - Dans la nuit de jeudi à vendredi, l’appartement d’une famille vivant à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, a été la cible d’un incendie criminel. La mère de famille a succombé à ses blessures tandis que les enfants sont sérieusement brûlés
Violences - La victime, une femme de 44 ans, qui pratiquait la course à pied le samedi 11 janvier en fin de matinée dans un parc de santé de Vergèze, dans le Gard, avait été frappée, par-derrière, de plusieurs coups de couteau
Un homme a été reconnu coupable, ce samedi 18 janvier, du viol et du meurtre d'une médecin, survenu en août 2024, à Calcutta, en Inde. Le crime avait indigné le pays et donné lieu à de grandes manifestations.
Un enfant de cinq ans, grièvement brûlé vendredi dans un incendie criminel qui a coûté la vie à sa mère à Miramas (Bouches-du-Rhône), est décédé à son tour de ses blessures dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris auprès du procureur d'Aix-en-Provence.La mère de famille, âgée de 41 ans, était morte de ses blessures samedi à l'hôpital.
À Los Angeles, les incendies commencent peu à peu à être maîtrisés. Mais pour les sinistrés, reprendre le fil de leur vie relève du défi. C’est particulièrement vrai dans le quartier d’Altadena, situé sur les hauteurs de la ville, ravagé par le « Eaton Fire ». Contrairement à Pacific Palisades, Altadena est un quartier modeste, mais chargé d’histoire. C’était le premier quartier afro-américain historique de Los Angeles. Notre envoyé spécial à Los Angeles, Achim Lippold, a rencontré Fred Daniels,
peine de mort - Le chanteur est notamment accusé d'« encourager la jeune génération à la prostitution » et de « faire de la propagande contre » la République islamique
K-pitole - Mécontents de la décision du tribunal, des partisans du président Yoon Suk Yeol, suspendu de ses fonctions après son arrestation, ont forcé l’entrée dans le bâtiment et attaqué les véhicules des enquêteurs
Quand les flammes se sont dangereusement rapprochées de la maison de Serena Null, au nord de Los Angeles, son chat Domino s'est enfui malgré tous ses efforts pour l'attraper.Serena Null a alors pensé qu'elle ne reverrait jamais le félin noir et blanc aux yeux verts perçants.
Depuis qu’elle a témoigné dans « Sept à Huit » pour mettre en garde contre les brouteurs, la décoratrice d’intérieur est devenue la risée du Web.
TEMOIGNAGE - L’usurpation d'identité est un délit qui laisse des dégâts colossaux derrière les victimes. Outre les soucis financiers et judiciaires, il y a également la détresse psychologique causée par ce «double». Romain Argentieri, victime d’un tel vol de son identité, raconte son combat à «Capital».
Les deux accusés, âgés de 52 et 40 ans, de nationalité roumaine, sont accusés "d'arrestation, enlèvement ou détention arbitraire suivi de mort" et seront jugés jusqu'à ce jeudi 23 janvier par la Cour d'assises de Meurthe-et-Moselle.
Dans la ville de Reading, qui abrite la plus grande communauté latino de Pennsylvanie, Donald Trump a réalisé une percée notable lors de la dernière présidentielle. Pour ses soutiens hispaniques, les attaques répétés du président élu contre les immigrés d’Amérique latine ne pèsent pas lourd face à la promesse de défendre les valeurs traditionnelles et les petites entreprises. Nichée parmi les hautes maisons familiales d’une rue résidentielle, l’église Betania passerait presque inaperçue entre ce
Plus d'une trentaine de personnes ont été blessées, dont plusieurs gravement, dans un accident de télésiège samedi dans une station de ski des Pyrénées dans le nord-est de l'Espagne, près de la frontière française, ont indiqué les autorités locales. Des investigations ont été lancés et la station a pu rouvrir dimanche. En Espagne, la station de ski d'Astún, dans les Pyrénées, a rouvert dimanche 19 janvier au lendemain d'un accident de télésiège qui a fait 30 blessés, dont deux toujours hospitali
Le rockeur sud-coréen Choi Jin-ho, 150.000 abonnés sur sa chaîne YouTube RockTV, se filme en direct dimanche pendant l'assaut sans précédent d'un tribunal de Séoul qui vient de prolonger la détention du président suspendu Yook Suk Yeol.Il tourne inlassablament son livestream durant sept heures, entouré de centaines d'autres sympathisants en colère du dirigeant coréen suspendu de ses fonctions et arrêté mercredi pour sa tentative avortée d'imposer la loi martiale.Sa vidéo montre des scènes de chaos: des pro-Yoon en furie pénètrant dans le tribunal en détruisant au passage portes et fenêtres avec des extincteurs, avant de gravir les escaliers du bâtiment."Pourquoi tout le monde n'est pas là? Allez venez tous!", lance un manifestant que l'on peut entendre dans cette vidéo, toujours disponible sur Youtube.A l'annonce vers 03H00 locales (18H00 GMT samedi) de sa décision de maintenir M. Yoon en détention pendant 20 jours, le Tribunal du district ouest de la capitale déclenche la colère des dizaines de milliers de manifestants rassemblés devant ses portes dès samedi.Des journalistes de l'AFP voient alors des centaines de policiers se précipiter dans le tribunal pour en déloger des pro-Yoon en furie, la police rapportant des dizaines d'arrestations au cours de cet "incident intolérable, illégal et violent".- Youtubers d'extrême droite-La police annonce ensuite une enquête sur l'implication des Youtubers affiliés à l'extrême droite dans la prise d'assaut du tribunal, mais les manifestants ne semblent nullement décontenancés. La détention du président "signifie la chute de l'Etat de droit en Corée du Sud", lance Cho Min-shik, un ouvrier du bâtiment de 32 ans. Le manifestant montre fièrement son poignet blessé après avoir cassé une vitre et s'être introduit dans le tribunal avec d'autres manifestants. Depuis son centre de détention, le président suspendu transmet régulièrement des lettres de remerciements et d'encouragements à ses soutiens inconditionnels qui comptent aussi des prêtres évangéliques.Son équipe juridique martèle dans le même temps que son arrestation est illégale.Devant le tribunal, épicentre de la colère, la police décide de déployer 1.400 agents pour contenir les manifestations, qui, selon des experts, sont "sans précédent" en Corée du Sud.L'équipe juridique de M. Yoon accuse, elle, dans un communiqué le tribunal et la police pour ces incidents.La décision de la cour de prolonger la période de détention du président signifie que "des citoyens enragés continuent les manifestations, et il en resulte de malheureux incidents violents"."Les accusations se multiplient selon lesquelles la police, qui était indulgente à l'égard des manifestations illégales des syndicats, provoque et réprime désormais violemment les manifestations pacifiques des citoyens", martèle l'équipe juridique du président suspendu.- Théories du complot-Yoon Suk Yeol a été arrêté le 15 janvier après un assaut du Bureau d'enquête sur la corruption (CIO) et de policiers sur sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l'Etat en exercice.Mais le président, sous le coup de plusieurs enquêtes dont une pour "rébellion" et accusé d'avoir fait vaciller la démocratie en déclarant par surprise la loi martiale, refuse de reculer. Celui qui reste techniquement à la tête de l'Etat bien que suspendu en attendant la décision de la Cour, a promis de "se battre jusqu'au bout".De nombreux soutiens de Yoon interviewés par l'AFP ont répété des théories du complot, affirmant notamment que les élections parlementaires en Corée du Sud l'année dernière, gagnées par l'opposition, ont été truquées, une thèse défendue par M. Yoon.- "Stop the steal" -Les partisans de M. Yoon brandissent fréquemment des drapeaux américains et adoptent la rhétorique "Stop the steal" associée au président élu américain Donald Trump, dont les partisans ont pris d'assaut le Capitole de Washington pour tenter d'annuler sa défaite électorale de 2020.Ces rhétoriques reflètent la désinformation sur les fraudes électorales, qui a longtemps circulé parmi les conspirationnistes d'extrême droite en Corée du Sud. Emportés par un sentiment nationaliste et farouchement anti-communiste, leurs charges au vitriol visent des politiciens libéraux, qu'ils accusent d'être des agents nord-coréens complotant avec Pyongyang pour déstabiliser la démocratie sud-coréenne."Yoon doit revenir au pouvoir pour se débarrasser de tous les communistes du pays", lance Mme Lim, qui compte 5.000 adeptes sur sa chaîne YouTube et se décrit comme une chrétienne évangélique.kjk-hj/ceb/mtp/alh-sba/fio
Le nouveau dirigeant syrien Ahmed al-Charaa a reçu le procureur de la Cour pénale internationale, Karim Khan, vendredi, à Damas, a indiqué l'agence de presse officielle Sana. Cette rencontre avait pour but d'examiner comment soutenir les efforts des nouvelles autorités en vue de rendre des comptes sur les crimes présumés commis dans le pays sous le règne du clan Assad. Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, a été reçu, vendredi 17 janvier, par le nouveau dirigeant syrie
Le président sud-coréen suspendu Yoon Suk Yeol a comparu samedi à l'audience sur la demande de prolongation de sa détention, a indiqué le tribunal de Séoul où se déroulent les débats, après son arrestation pour sa tentative avortée d'imposer la loi martiale.Yoon s'est exprimé pendant 40 minutes devant le tribunal, a rapporté de son côté l'agence de presse Yonhap, son avocat ayant déclaré auparavant à l'AFP que le dirigeant espérait "restaurer son honneur" devant les juges. Le tribunal doit désormais décider s'il doit libérer Yoon, ce qui semble peu probable selon des analystes, ou bien prolonger sa détention d'une vingtaine de jours. Sa décision est attendue tard samedi ou tôt dimanche.A l'extérieur du tribunal, des journalistes de l'AFP ont vu des foules de partisans de Yoon agitant des drapeaux et brandissant des pancartes où était écrit "libérez le président". Il y avait environ 12.000 sympathisants, selon la police citée par Yonhap.Le dirigeant conservateur était arrivé au tribunal en provenance du centre de détention où il a été placé mercredi à la suite de son arrestation à bord d'un fourgon bleu du ministère de la Justice, ont constaté des journalistes de l'AFP.Plusieurs de ses partisans ont alors tenté d'encercler le véhicule à son arrivée. De nombreux soutiens sont rassemblés devant les portes du tribunal depuis vendredi pour faire pression en faveur de leur leader. - "patriotisme passionné" -Vendredi, Yoon a envoyé une lettre par l'intermédiaire de ses avocats pour remercier ses partisans, qui comptent des chrétiens évangéliques et des YouTubeurs de droite, pour leurs manifestations, soulignant leur "patriotisme passionné".Plusieurs manifestants ont scandé "Nous vous aimons, président Yoon Suk Yeol" ainsi que "la destitution n'est pas valide !". Ils ont ensuite défilé en agitant des drapeaux sud-coréens et américains et occupé les axes principaux devant le tribunal.Le parti de Yoon est généralement favorable à l'alliance de sécurité américaine avec la Corée du Sud et rejette tout engagement avec la Corée du Nord, dotée de l'arme nucléaire. "La probabilité que le tribunal approuve l'arrestation est très élevée, et conscient de cela, Yoon a appelé à une mobilisation maximale parmi ses partisans de la ligne dure", a déclaré à l'AFP Chae Jin-won, du Humanitas College de l'université Kyung Hee. "Les manifestations d'aujourd'hui, selon lui, constituent une sorte d'adieu entre Yoon et sa base de soutien extrême". - Possible prolongation de 20 jours - Une décision du tribunal approuvant le maintien en détention de Yoon donnerait aux procureurs le temps d'officialiser un acte d'accusation pour insurrection, une accusation pour laquelle il pourrait être emprisonné à vie ou exécuté s'il est reconnu coupable.Une telle accusation signifierait également que Yoon serait probablement détenu pendant toute la durée de son procès. Une fois que "le mandat d'arrêt sera émis cette fois, (Yoon) ne pourra probablement pas rentrer chez lui pendant une période prolongée", a déclaré à l'AFP l'analyste politique Park Sang-byung.L'absence de prolongation de sa détention entraînerait au contraire sa remise en liberté.Yoon est accusé d'avoir déstabilisé le pays en déclarant par surprise la loi martiale le 3 décembre, un coup de force toutefois vite contrecarré par les députés, au sein d'un Parlement cerné par des soldats.Il avait justifié l'instauration de la loi martiale comme une mesure destinée à protéger la Corée du Sud des "forces communistes nord-coréennes" et à "éliminer les éléments hostiles à l'Etat".Il a été arrêté mercredi à l'issue d'un assaut de six heures par des enquêteurs anticorruption et des policiers sur sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef d'Etat en exercice.Yoon a déclaré mercredi qu'il avait accepté de quitter son complexe pour éviter "une effusion de sang", mais qu'il n'acceptait pas la légalité de l'enquête. Les autorités pouvaient retenir M. Yoon pendant 48 heures en vertu du mandat d'arrêt au moment de leur opération d'arrestation. Une prolongation a été sollicitée vendredi afin de le maintenir en détention plus longtemps.L'Assemblée nationale a adopté le 14 décembre une motion de destitution contre lui, provoquant sa suspension. Il reste toutefois officiellement le président, seule la Cour constitutionnelle ayant le pouvoir de lui retirer son titre.Dans cette procédure parallèle aux enquêtes en cours, la juridiction a jusqu'à la mi-juin pour le démettre définitivement, ou décider de le rétablir dans ses fonctions. cdl-jfx-tmt/jnd/alh-sba/fio
Les avocats serbes ont collectivement décidé de se mettre en grève pour une durée de sept jours, en soutien au mouvement étudiant et populaire anticorruption, né de la volonté de justice après l'accident de la gare de Novi Sad le 1er novembre, qui avait fait 15 morts. Depuis deux mois et demi, la Serbie est en ébullition et les manifestations sont de plus en plus orientées contre le pouvoir populiste du président Aleksandar Vučić, considéré comme responsable de la situation dégradée dans le pays