Dans une tribune publiée sur le site complotiste FranceSoir, le chanteur appelle l'armée à renverser le chef de l'État.
Pour la HAS, la hausse des contaminations et l'arrivée des variants "appellent à une accélération de la vaccination pour faire face au risque de flambée de l'épidémie dans les prochaines semaines".
Un bouton rouge installé dans le bureau de la présidence permettait à Donald Trump de se faire livrer sa boisson préférée en urgence.
En 2004, Jonathan Coulom était enlevé dans un centre de vacances en Loire-Atlantique. Son corps a été retrouvé dans un étang quelques semaines plus tard. La piste d’un tueur en série allemand est évoquée. Le suspect sera extradé vers la France.
Quoi de neuf sur la planète Instagram ? Certains se sont remémoré leur enfance ou ont dévoilé les adorables bouilles de leurs bambins, d'autres n'avaient pas froid aux yeux ni ailleurs... Allez, on vous montre tout ce qu'il ne fallait pas louper sur les comptes de nos people préférés ces derniers jours !
Ce samedi 23 janvier, Shy'm a posté une nouvelle photo d'elle enceinte, suscitant l'émoi de ses fans !
Vous ne savez-va pas comment se termine Columbo ? TV Breizh rediffuse l'ultime épisode des enquêtes du mythique lieutenant. Retour sur le final d'une série culte qui a marqué plusieurs générations.
Cinq mois après la naissance de son deuxième enfant, un petit garçon prénommé Farrell né de ses amours avec le footballeur M'Baye Niang, l'ex-candidate de Secret Story Emilie Fiorelli a dévoilé le visage du bébé pour la première fois sur Instagram.
GASTRONOMIE - Alexandre Mazzia, seul chef à obtenir une troisième étoile au Guide Michelin 2021, revient sur les anecdotes de cette consécration pour « 20 Minutes »
Vendredi 23 janvier sur Instagram, Kylie Jenner a dévoilé un cliché sur lequel elle pose vêtue d’un bikini aux côtés de sa meilleure amie Anastasia Karanikolaou, également vêtue d’une tenue parfaitement échancrée. Sauf que les internautes n’ont pu s’empêcher de se moquer d’elles…
EPIDEMIE - Le Bordelais Laurent Chu, conseiller commercial dans le monde du vin, revient sur son hospitalisation, le 23 janvier 2020 à Bordeaux, alors qu'il venait d'effectuer un déplacement professionnel à Wuhan en Chine
Grace de Capitani n’a pas fini de régler ses comptes avec son ex-mari Philippe Bellon. Ce vendredi 22 janvier dans les colonnes de France Dimanche, l’actrice l'a accusé de l'avoir épousée pour des raisons financières.
Alors qu’elle fait partie des personnes à risque, Régine, 91 ans, a décidé de ne pas se faire vacciner. Elle explique pourquoi dans une interview accordée à "France Dimanche". Non Stop People vous donne plus de précisions.
Ce samedi 23 janvier, Sophie Davant et sa fille Valentine se sont amusées à répondre à une interview “Qui de nous deux ?” Sauf que l’animatrice a, d’entrée de jeu, été vexée par une réponse de sa fille !
Les États-Unis prévoient d'attribuer à Donald et Melania Trump plusieurs avantages en nature, qu'ils percevront à vie, après que le couple a quitté la Maison Blanche pour rejoindre la Floride, ce mercredi 20 janvier.
Couple emblématique des années 60, Jacques Dutronc et Françoise Hardy, qui a fêté ce dimanche 17 janvier ces 77 ans, ont traversé une épreuve : une fausse couche, quelques années après la naissance de leur fils Thomas Dutronc.
GUERRE D'ALGERIE - Le comité national de liaison de harkis regrette que l’historien se soit « abstenu de tout débat »
Après "Intouchables" Éric Toledano et Olivier Nakache récidive avec une comédie aux petits oignons inspirée de leur vie, à voir ce soir sur Canal+.
Une pépite de comédie en hommage à Jean-Pierre Bacri, un classique avec Fernandel et Bourvil, une ode culte et passionnée au monde sous-marin... Notre sélection de films à ne pas manquer à la télé ce dimanche 24 janvier.
Des manifestations ont eu lieu en Tunisie, samedi, pour protester contre la répression policière mais aussi pour réclamer une meilleure politique sociale alors que la pandémie de coronavirus fait basculer de nombreuses familles dans la pauvreté. Le couvre-feu entre 20 h et 5 h, et l'interdiction de fêtes et de rassemblements, en vigueur depuis octobre, ont été prolongés jusqu'à mi-février. Des centaines de Tunisiens ont manifesté, samedi 23 janvier à Tunis et dans d'autres villes du pays, pour protester contre la répression policière et réclamer une meilleure politique sociale, après plusieurs nuits de troubles marquées par des violences et des centaines d'arrestations.Ces manifestations interviennent alors que la pandémie de Covid-19 a fait basculer de nombreuses familles dans la pauvreté et qu'elle menace le système hospitalier, avec notamment plus de 400 malades en réanimation.La Tunisie avait recensé jeudi soir plus de 6 000 décès – avec un record quotidien ce jour-là de 103 décès – et 193 273 cas de contamination.Le couvre-feu entre 20 h et 5 h, et l'interdiction de fêtes et de rassemblements, qui sont en vigueur depuis octobre, ont été prolongés samedi jusqu'au 14 février.Cela n'a pas empêché une centaine de personnes de défiler à Gafsa samedi, comme à Sfax la veille, pour réclamer la libération de jeunes arrêtés lors de heurts entre protestataires et policiers cette semaine."Il faut écouter les jeunes, pas envoyer des policiers par milliers""Sous les pavés, la colère" ou encore "ni police, ni islamistes, le peuple veut la révolution", ont scandé plusieurs centaines de protestataires à Tunis.Un manifestant a été blessé lors de brefs incidents sur l'avenue Bourguiba, principale artère de la capitale, sous très haute surveillance policière, a constaté l'AFP."La jeunesse vit au jour le jour, on n'a plus d'espoir, ni pour travailler, ni pour faire des études et ils nous traitent de fauteurs de troubles", déplore Amine, diplômé en mécanique de l'aviation et employé d'un centre d'appel français pour 300 euros mensuels."Il faut écouter les jeunes, pas envoyer des policiers par milliers. Mais tout le système est corrompu, quelques familles et leurs partisans se partagent la gestion des richesses tunisiennes", estime-t-il.Abus lors d'arrestations et gardes à vueAu cours de heurts entre protestataires jetant des pierres et la police répliquant avec des gaz lacrymogènes, plus de 700 personnes selon la police – au moins un millier, selon des ONG – ont été arrêtées en quatre soirées.Sur le même sujet : immersion en images au coeur des émeutes nocturnes qui ébranlent la TunisieDes défenseurs des droits humains et des familles ont dénoncé des abus lors d'arrestations et de gardes à vue."La situation est catastrophique, les politiciens sont corrompus, nous voulons changer de gouvernement et de système", explique Omar Jawadi, 33 ans, directeur des ventes dans un hôtel et qui ne perçoit que la moitié de son salaire depuis plusieurs mois.La classe politique tunisienne, paralysée par ses divisions, peine à faire face à l'urgence sociale. Le Premier ministre, Hichem Mechichi, attend un vote du Parlement mardi pour confirmer un large remaniement annoncé il y a une semaine.Avec AFP