Sénégal : concert de casseroles et klaxons à l'appel de l'opposition
Mercredi soir à Dakar, l'opposition a appelé les habitants à faire du bruit pour défier le pouvoir à l'approche des élections
Élisabeth Borne entretient le suspense sur le vote de confiance devant la nouvelle Assemblée nationale qui continue de s'organiser mercredi avec la distribution de quelques postes-clés après la présidence à Yaël Braun-Pivet.
Depuis l'officialisation de la fin de "Plus belle la vie", plusieurs acteurs de la série ont annoncé faire leur...
Le champion du monde Julian Alaphilippe, encore diminué après sa chute sur le Liège-Bastogne-Liège, n'a pas été sélectionné par Quick-Step pour le Tour de France 2022.
La première séance de l'Assemblée nationale a été marquée par une polémique quand le doyen a évoqué son parcours personnel et notamment l'Algérie française. Le député RN José Gonzalez a évoqué son histoire personnelle et son attachement à l’Algérie française.
La justice va rendre mercredi soir le verdict du procès des attentats du 13 novembre 2015, qui a débuté en septembre 2021. Avant cette révélation, Europe 1 a rencontré Jean-Bernard Arruebo, le père d'Anne-Laure assassinée au bar La Belle Équipe. Pour lui, les actes commis sont "inexcusables, impardonnables".
L'information ou plutôt le décret est tombé cette nuit. Élisabeth Borne n'engagera pas la responsabilité du gouvernement mardi prochain. Ce sera après sa déclaration de politique générale. Quelles sont les raisons de cette démarche ? - L’édito de Matthieu Croissandeau, du mercredi 29 juin 2022, sur BFMTV. Chaque matin, au cœur de Première Edition, Matthieu Croissandeau révèle les coulisses du pouvoir dans sa chronique et donne ses bonnes et ses mauvaises notes aux acteurs de la vie politique. BFMTV, 1ère chaine d’information en continu de France, vous propose toute l’info en temps réel avec 18h d’antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale a réaffirmé le statut de "groupe d'opposition" de son parti à la première ministre Elisabeth Borne, excluant de fait une coalition. Olivier Marleix souligne toutefois la "volonté" de la cheffe du gouvernement à "écouter" son parti.
Plus de la moitié des États américains pourraient agir rapidement pour interdire l’accès à l’avortement, selon le Guttmacher Institute, basé à New York.
Après la réunion du G7 qui s’est achevée ce mardi 28 juin en Allemagne, place désormais au sommet de l’Otan à Madrid, en Espagne. La réunion des pays membres s’annonce très chargée : soutien de l’Alliance atlantique à l’armée ukrainienne, renforcement de la présence de l’Otan dans les pays baltes, mais aussi adoption du nouveau « concept stratégique ».
Dans le cadre du projet Gateway de la Nasa visant à installer une station spatiale en orbite entre la Lune et la Terre, l'Agence spatiale américaine vient de lancer son CubeSat Capstone afin d'expérimenter une nouvelle orbite unique.
Emprise, viols et violences : on est bien loin de la bonhomie revendiquée par le site de porno amateur Jacquie et...
Alors qu'un appel à la grève a été lancé le 6 juillet, veille des vacances d'été, pour réclamer des hausses de salaire, le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou a assuré mardi que les cheminots seront augmentés. Il a également affirmé que les départs en vacances des Français ne seront "pas menacés".
Une publication relayée plusieurs centaines de fois affirme que le Pape François a été aperçu avec une croix et des bracelets multicolores "aux couleurs de la communauté LGBT", photos à l'appui. Mais la publication est trompeuse : dans ces photos datant de 2018, les objets arborés par le Pape sont en fait aux couleurs et motifs d'un groupe de jeunes croyants d'Amérique latine, et non une marque de soutien aux personnes LGBT+. Cette publication a été partagée en Côte d'Ivoire dans un contexte de
"Le Point" et son journaliste Aziz Zemouri étaient attaqués pour diffamation par Sand Van Roy, une actrice qui accuse Luc Besson de viol et d'agressions sexuelles. Le journaliste avait raconté que l'actrice avait déjà déposé une autre plainte pour viol en Belgique, contre un inconnu. Ce qui est faux, comme les enquêteurs ont pu le vérifier.
Depuis 10 ans, Curiosity documente les roches argileuses du mont Sharp qui témoignent de la présence d’un ancien lac. Mais le sommet de la formation géologique montre que l’environnement martien se serait brutalement asséché.
Qui dit fin du mois dit aussi sorties du catalogue Netflix. Alors avant que juin ne soit terminé, précipites-toi sur...
Après l'élection de Yaël-Braun Pivet à la tête de l'Assemblée, les grandes manœuvres se poursuivent. Prochaine étape, l'élection de la présidence de la puissante commission des Finances.
Alors que la circulation des biens tend à se bloquer entre la Russie et la Lituanie, les voyageurs russes sont quant à eux toujours autorisés à se déplacer chez leurs voisins. Au cœur de la gare de Vilnius, capitale lituanienne, des panneaux d'affichage montrant les horreurs de la guerre en Ukraine font face au train en provenance de Russie. Des images pour sortir les Russes de leur propagande nationale.
Les visiteurs des thermes de Caracalla vont pouvoir découvrir deux fresques exceptionnelles restaurées par les archéologues, selon CNN.
Après 10 mois d'audience, l'heure du verdict. Au procès du 13-Novembre, la cour doit rendre mercredi soir sa très attendue décision sur le sort de Salah Abdeslam et de ses coaccusés, jugés depuis septembre pour les pires attentats jamais commis en France. La lecture du délibéré pourrait débuter "à partir de 17H00", a annoncé le président Jean-Louis Périès lundi en fin de matinée, avant que la cour d'assises spéciale ne se retire pour délibérer dans un lieu tenu secret après 148 jours d'audience. Avant cela et devant une salle comble du palais de justice de Paris, elle avait donné la parole pour la dernière fois aux 14 accusés présents - six autres dont cinq hauts cadres de l'Etat islamique présumés morts sont jugés en leur absence. "Je ne suis pas un assassin, je ne suis pas un tueur", a soutenu depuis le box le principal d'entre eux, Salah Abdeslam, réitérant ses excuses "sincères" aux victimes. "L'opinion publique pense que j'étais sur les terrasses avec une kalachnikov, occupé à tirer sur des gens, l'opinion publique dit que j'étais au Bataclan. Vous savez que la vérité est à l'opposé", a lancé à la cour le seul membre encore en vie des commandos qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015. "Si vous me condamnez pour assassinats, vous commettrez une injustice", a asséné Salah Abdeslam. - "Sang des victimes" - L'accusation a requis à son encontre la peine la plus lourde prévue par le code pénal : la réclusion criminelle à perpétuité avec une période de sûreté incompressible, qui rend infime toute possibilité de libération. Le Français de 32 ans a adopté au cours du procès "une stratégie de minimisation constante des faits", avaient estimé les trois représentants du parquet national antiterroriste (Pnat). Mais il a "bien tenté de faire exploser sa ceinture" le soir des attentats, et a "le sang de toutes les victimes sur ses mains". Dans une plaidoirie visant à lui éviter cette "peine de mort lente", sa défense a rappelé que la sentence n'avait été prononcée que quatre fois, contre des hommes reconnus "psychopathes" et condamnés pour des crimes commis sur des mineurs. Salah Abdeslam, qui a soutenu à l'audience avoir renoncé à actionner son gilet explosif "par humanité", n'est "ni psychopathe ni sociopathe", a martelé l'une de ses avocats, Me Olivia Ronen. Il est un "exécutant déserteur", mais la sanction demandée est digne d'un "tribunal militaire" qui juge des "ennemis" et non "des accusés", a vilipendé son confrère Me Martin Vettes. - Pour le "symbole" - Six ans après une nuit de terreur qui a traumatisé la France et après un procès-fleuve marqué par les récits glaçants de près de 400 rescapés ou proches à la barre - sur près de 2.600 parties civiles - les avocats de la défense ont mis la cour en garde contre la tentation d'une "justice d'exception" guidée par l'émotion. Au premier jour le 8 septembre, le président avait souhaité que le "respect de la norme" reste le "cap" de ce "procès historique", lui ont rappelé certains, plaidant contre les peines "d'élimination", de "vengeance" ou pour le "symbole" requises selon eux par le parquet. "Je vous demande de faire un effort, celui de ne pas vous laisser glisser", a demandé Me Orly Rezlan. "La justice n'est pas une arme de la colère", a exhorté Me Marie Violleau, avocate de Mohamed Abrini, "prévu" pour le 13-Novembre mais qui avait renoncé, comme il le fera quelques mois plus tard à Bruxelles. Les peines demandées contre les 20 accusés vont de cinq ans d'emprisonnement à la perpétuité, notamment requise pour les "complices" des attentats, tous membres d'une même cellule jihadiste dont les commandos étaient "interchangeables" d'après les avocats généraux. La perpétuité incompressible a également été demandée contre Oussama Atar, "cadre supérieur de la terreur" du groupe Etat islamique et commanditaire des attaques, présumé mort en Syrie. Trois avocats ont plaidé l'acquittement pour leurs clients "innocents". "Je ne suis pas un terroriste", a répété l'un d'eux dans ses derniers mots à la cour lundi. "J'ai très peur de votre décision", a reconnu un autre entre deux sanglots. mdh-asl-aje/pga