Ryan Reynolds dément apparaître dans le «Justice League» de Zack Snyder
Vous rêvez de revoir Ryan Reynolds en Green Lantern dans le prochain «Zack Snyder's Justice League»? Ne soyez pas trop impatient!
En publiant le rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l'administration Biden semble avoir acté son rejet de l'homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d'un rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, qui l'accuse d’avoir "validé" l'opération visant à "capturer ou tuer" le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite "recalibrer" les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s'agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d'une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d'intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. "Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu'il s'agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran", résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l'ONU qualifie de "pire crise humanitaire du monde".Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l'administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son "deal du siècle" au Proche-Orient et à l'ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer "toute la responsabilité" de l'assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un "dirigeant tribal rétrograde", jouissant d’un pouvoir "autocratique" et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l'homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.
Emmanuel Macron est arrivé dans sa villa du Touquet (Pas-de-Calais) ce samedi 27 février, quelques heures après son épouse, Brigitte. La station balnéaire où le couple présidentiel a ses habitudes ne les avait pas accueillis depuis l'été dernier, où ils étaient venus voter pour le second tour des élections municipales.
Amel Bent est restée sans voix ! Lors de ce 4e épisode de The Voice, un candidat a choqué les coachs et de nombreux téléspectateurs. En effet, après sa prestation qui n'a pas séduit le jury, l'homme est parti avant que la chanteuse ait pu lui donner son avis sur sa prestation. Un moment très gênant.
Quelques jours après la disparition tragique de son père, le chanteur Tonton David, Samuel s'est confié dans les colonnes de Public. Il a révélé l'ultime cadeau que lui avait fait son géniteur, quelques jours avant de s'éteindre.
Ce samedi 27 février, Maeva Martinez a posté un long texte sur Instagram sensibilisant sa communauté de fans sur le post-partum et les complexes que peuvent avoir les jeunes mamans.
Le 12 mars prochain sera diffusée la vingt-deuxième saison de Koh-Lanta, baptisée Les armes secrètes. Vendredi 26 février sur Instagram, Laetitia, l’une des candidates, a annoncé avoir été hospitalisée.
Emmanuel Macron s'accroche à son refus de confiner le pays. En attendant une embellie au printemps, il mise sur la vaccination des plus fragiles et sur des mesures locales.
Les secours sont arrivés très vite sur le petit îlot, au large de Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, mais ils n’ont rien pu faire pour sauver le baigneur. L’homme de 57 ans, mordu à la jambe par un requin, n’a pas survécu à sa blessure. Il se baignait à moins de 100 mètres du bord, quand il a été attaqué. "Tout de suite, il y a eu un bateau, des bombardiers qui sont arrivés, il y a un monsieur qui a jeté une bouée de secours", relate Sophie Radotin, témoin de la scène. Une zone prisée pour les baignades et les sports nautiques L’attaque a eu lieu sur l’îlot Maître, très prisé des Calédoniens, le week-end. Il offre de larges zones autorisées à la baignade et aux sports nautiques. Dans l’après-midi, un requin-bouledogue a été observé près des plages, mais d’après plusieurs témoins, c’est un requin-tigre deux fois plus gros qui serait à l’origine de l’attaque. La sécurité civile mènera dès lundi 29 février des reconnaissances aériennes pour localiser l’animal. La Nouvelle-Calédonie a enregistré trois attaques de requin l’année dernière.
Ce vendredi 26 février sur TF1, les téléspectateurs ont assisté à d’incroyables duos dans l’émission Duos mystères. Le point d’orgue de la soirée a été atteint vers 22h30, lorsqu’une invitée inattendue est montée sur scène.
Ce vaccin est perçu comme moins efficace que ses concurrents des laboratoires Pfizer-BioNTech et Moderna. A tort, explique l'exécutif, alors que la vaccination à destination des 50-64 ans avec des comorbidités vient de démarrer avec ce produit.
Ex-star de Santa Barbara, Princess Bride, Forrest Gump et House of Cards, Robin Wright est mariée avec un Français, avec lequel elle partage un passion pour le PSG, comme elle l'a confié au magazine Public.
Toujour aucun dénouement pour la disparition de Delphine Jubillar. Selon La Dépêche ce vendredi 26 février, son mari Cédric fait tout pour reprendre une vie normale.
Sur le plateau de l'émission On est en direct, l'animatrice Karine Lemarchand a rappelé que l'ancien ministre Arnaud Montebourg était un très bon imitateur de ses confrères du monde politique. Pour autant ce dernier a refusé de se prêter au jeu, comme il l'avait fait cinq ans plus tôt lors du tournage de l'émission Une Ambition intime.
Le 26 février, Maeva Ghennam a révélé avoir été victime de sorcellerie. Selon, la jeune star des Marseillais une de ses connaissances aurait engagé une sorcière pour nuire à sa carrière. De quoi alimenter les spéculations chez les internautes !
HOLLYWOOD - Après Joker et Batman, Warner et DC relancent Superman, et mettent (presque) fin aux espoirs de voir survivre la vision de Zack Snyder
Voilà un mois et quelques cacahuètes que Shy'm a donné naissance à son premier enfant, le baby boy auquel elle a consacré une chanson sortie au mois d'octobre. En ce 28 février l'artiste a publié en story quelques instantanés sans bébé. Et sa silhouette va, à n'en pas douter, faire des envieuses...
Il s'agit d'un char de cérémonie, non pas utilisé au quotidien ou pour les transports agricoles, mais pour accompagner les moments de fête de la communauté.
L’Etna est à nouveau entré en éruption se dimanche, expulsant jets de lave et nuages de cendre.
Un des plus jeunes présidents de l'histoire de l'Olympique de Marseille, Pablo Longoria (34 ans), succède à un des plus détestés, Jacques-Henri Eyraud (52 ans). Grand connaisseur du football et fin diplomate, il incarne tout ce qui a manqué à son prédécesseur. L'ascension de Pablo Longoria, nouveau président de l'OM depuis vendredi 26 février, est fulgurante. D'abord recruteur, jusqu'à travailler à l'immense Juventus Turin, chargé de la politique sportive à Valence puis directeur sportif à Marseille, voilà l'Espagnol installé à la place de Jacques-Henri Eyraud.Choisi par le propriétaire Frank McCourt, il est le plus jeune dans la fonction depuis un siècle, depuis les quatre premiers présidents, de 1899 à 1921, de René Dufaure de Montmirail, le fondateur (à 23 ans), à Paul Le Cesne (30 ans).En octobre 2016, quand l'Américain a racheté l'OM pour y placer l'ex-prof d'Harvard, le rôle de l'inconnu était tenu par Jacques-Henri Eyraud. "JHE" jurait que ce "poste qui rend fou" ne le contaminerait pas, mais a pourtant fini par s'y brûler, ayant presque tout Marseille contre lui, des politiques aux supporters. Il a été relégué au strapontin de président du conseil de surveillance.>> À lire aussi : "Le combat des supporters de l’Olympique de Marseille pour vivre leur passion"Presque tout oppose Pablo Longoria, que Jacques-Henri Eyraud était allé cherché l'an dernier après un long processus de recrutement, dans l'esprit managérial qu'il promouvait."JHE" assurait qu'on pouvait gérer l'OM "comme une entreprise". Pablo Longoria, issu du sérail, devrait, lui, le diriger comme un club de foot.Rond plutôt que hérissonSes côtés abrupts et cassants ont entraîné la chute de Jacques-Henri Eyraud. Pablo Longoria n'est pas du genre à jeter de l'huile sur le feu. Par exemple, quand André Villas-Boas claque la porte en critiquant le directeur sportif, l'Espagnol salue le très bon travail du Portugais, sans répliquer."JHE", lui, contre-attaque par une mise à pied d'"AVB". Au long de son mandat, il a poursuivi plusieurs joueurs pour "faute grave" (Henri Bedimo, Adil Rami...) plutôt que de composer.Dans la "guerre" avec les supporters, le nouveau président, tout en condamnant fermement l'attaque du centre d'entraînement par 300 d'entre eux le 30 janvier, se montrait prêt à négocier. "Il faut que tout le monde se parle, qu'on trouve la meilleure des solutions", disait-il. L'opposition radicale des supporters, avec une ville lardée d'autocollants "Eyraud dehors", a fini par obtenir sa tête.Pablo Longoria, qui a déjà beaucoup voyagé, compose avec l'environnement médiatique du club. Comme son prédécesseur, il répond peu à la presse – "Mais des fois, je vous parle plus qu'à ma propre femme", plaisantait-il avec des journalistes. Cependant, il ne l'appelle pas non plus pour râler après un papier jugé négatif, pratique qui a crispé les rapports de Jacques-Henri Eyraud avec les journalistes.Rond plutôt que hérisson, Pablo Longoria est plus souple avec ses collaborateurs. Mais en interne, quelques dents grincent. "Il connaît le foot, c'est une certitude", glisse un salarié, "mais a-t-il les compétences managériales pour être président ?"Et l'Espagnol ne maîtrise pas parfaitement le français. "C'est perçu comme un handicap pour la gestion du club au quotidien", ajoute cette source.Fin négociateurAutre grande différence avec "JHE", Pablo Longoria est apparu comme un négociateur doué sur le mercato, où le désormais ex-président a commis de coûteuses erreurs – Kevin Strootman, Kostas Mitroglou... – qui ont longtemps plombé les comptes. Il a réussi à vendre avec bénéfices Morgan Sanson à Aston Villa (17 millions d'euros, il en avait coûté 12) et à se débarrasser de Strootman et Mitroglou.Franck McCourt, qui a dépensé plus de 300 millions d'euros sans beaucoup de retour, a pu apprécier cette embellie côté rentrées financières au moment de donner les clés à quelqu'un d'autre.Jacques-Henri Eyraud n'a pas tout raté non plus. Avec lui, l'OM a disputé une nouvelle finale européenne, en 2018 (Ligue Europa, perdue 3-0 contre l'Atlético Madrid), et retrouvé la Ligue des champions, même si la campagne a été complètement manquée cette saison.Il a aussi amorcé un vrai projet de formation, l'histoire le lui reconnaîtra peut-être plus tard, lancé beaucoup de bonnes pistes marketing et engagé la révolution numérique de l'OM, comme le font les très grands clubs européens.Ce goût pour l'innovation est sans doute le domaine où Pablo Longoria et "JHE" se ressemblent. "Geek" du foot, l'Espagnol manie lui aussi les "mégadonnées", dans un but strictement sportif. Mais désormais, tous ces outils sont entre ses mains.Avec AFP
POLITIQUE - Emmanuel Macron a évoqué l'idée d'un « pass sanitaire » pour permettre la réouverture des lieux culturels et des restaurants fermés par la pandémie, mais l'idée divise l'Europe et les politiques français