Russie: près de 3.500 manifestants pour Navalny arrêtés
Des affrontements opposent les manifestants à la police durant la manifestation en faveur de l'opposant Alexeï Navalny à Moscou le 23 janvier 2021
Dans les épisodes des Mystères de l'amour de ce samedi 27 février et dimanche 28 février, Christian veut oublier sa chère et tendre, et Tania fait son grand retour.
Toujour aucun dénouement pour la disparition de Delphine Jubillar. Selon La Dépêche ce vendredi 26 février, son mari Cédric fait tout pour reprendre une vie normale.
Huit ans après les faits, l'enquête sur la tuerie de Chevaline, survenue le 5 septembre 2012, prend un nouveau tournant.
L'acteur Olivier Marchal, 62 ans, est père de quatre enfants, tous nés de son mariage avec Catherine Marchal, avec qui il est toujours en couple. Il s'est confié sur sa progéniture à nos confrères de Télé Star.
Si le sexe du deuxième bébé de Meghan Markle et du prince Harry n'a pas été dévoilé publiquement, il est fort probable que le couple de Sussex sache déjà s'il s'agit d'un garçon ou d'une fille, souligne le magazine allemand Bunte. Et il y a plusieurs raisons à cela...
La jeune femme de 21 ans, qui avait rejoint le groupe Etat Islamique en 2015, souhaite rentrer au Royaume-Uni pour pouvoir contester sa déchéance de nationalité. La décision de la Cour suprême a été dénoncée par les associations de défense des droits humains.View on euronews
La déléguée du Syndicat de la magistrature à Marseille Clara Grande se réjouit des renforts de police annoncés dans la ville mais s'interroge sur leurs missions.
Ce vendredi 26 février, sur le plateau de C à vous, sur France 5, Bertrand Chameroy s'est inspiré d'une esquisse d'un reportage présenté par Anne-Élisabeth Lemoine pour titiller l'animatrice.
Mick Schumacher, le fils de Michael Schumacher, va bientôt faire son entrée en Formule 1. C'est dans ce contexte qu'il a été interrogé par le magazine La Stampa, lequel lui a également demandé des nouvelles de son père. Mais le pilote a refusé d'y répondre.
EPIDEMIE - Avec un nouveau confinement de 7 jours, les autorités du pays ne plaisantent pas avec la stratégie 0 Covid
Carla Bruni a accepté le défi d'Alessandra Sublet : chanter un duo… sans savoir avec qui. Vendredi 26 février, elle a donc participé à l'émission Duos mystères, retrouvant une célèbre actrice qui n'est autre que sa meilleure amie, la marraine de son fils Aurélien.
Alors que l'administration Biden s'apprête à publier le rapport du renseignement sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, et que le nouveau président américain s'est entretenu avec le père du prince héritier Mohamed Ben Salmane, les relations entre Washington et Riyad semblent se dégrader. Décryptage avec Karim Sader, politologue spécialiste du Golfe. Au sommet de son influence et de son pouvoir sous l’ère Trump, le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane, dit MBS, n’est pas dans les bonnes grâces de la nouvelle administration américaine qui veut recalibrer ses relations avec Riyad.La Maison Blanche ne s’en cache pas et le président Joe Biden a préféré s'entretenir, jeudi 25 février, pour la première fois, avec le roi Salmane plutôt qu'avec son fils.De plus, Joe Biden, qui avait critiqué à plusieurs reprises pendant sa campagne les atteintes aux droits de l'Homme en Arabie saoudite, va également autoriser la déclassification du rapport du renseignement américain sur l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en octobre 2018. Un rapport rédigé six semaines après l’assassinat perpétré dans l’ambassade saoudienne à Istanbul, qui est potentiellement très compromettant pour Mohammed Ben Salmane."Il est indéniable que l’on assiste à la rupture avec la diplomatie américaine sous l’ère Trump vis-à-vis de l’Arabie saoudite, explique Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24. Toutefois, il faut être précis, car il s’agit surtout d’un changement d’attitude vis-à-vis d’une personne, à savoir le prince héritier Mohammed Ben Salmane, qui était 'le chouchou' de l’administration Trump"."Autre preuve de l’hostilité affichée vis-à-vis de la personne même de MBS, la décision on ne peut plus explicite consistant à choisir le roi Salmane comme interlocuteur, et non plus son fils qui avait une porte d’entrée presque intime dans le Bureau ovale, à travers le gendre du président Trump, Jared Kushner, réputé pour échanger avec lui quotidiennement".Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Joe Biden "a multiplié les décisions défavorables au prince hériter et à ses œuvres, comme la fin du soutien de la guerre au Yémen, ou encore la décision de retirer les Houthis de la liste antiterroriste américaine, qui était le dernier cadeau diplomatique offert par Donald Trump juste avant de quitter le pouvoir", rappelle Karim Sader. Sans oublier, ajoute-t-il, la main tendue par les États-Unis à l’Iran, dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien.Autant de dossiers chers à MBS, dirigeant de facto de la pétromonarchie wahhabite, nommé par le roi Salmane prince héritier en juin 2017, qui après avoir connu une ascension fulgurante et une certaine notoriété en Occident a vu son image de réformateur se ternir peu à peu. Notamment en raison de ses méthodes de gouvernance brutale et une dérive autoritaire illustrée par des campagnes d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de militants des droits de l’Homme, des intellectuels et des critiques. Guerre au Yémen, embargo contre le Qatar... MBS a également collectionné les mauvais calculs sur le plan diplomatique, avant que l’assassinat de Jamal Khashoggi ne suscite une vague d'opprobre internationale contre l'Arabie saoudite et son homme fort.Lâcher MBS ? Reste à savoir si l’administration américaine peut arrêter de travailler avec celui qui est destiné à régner sur l’Arabie saoudite, et si les décisions de Joe Biden ne sont pas en train d’enclencher un processus visant à lâcher MBS et à provoquer sa chute.La question peut se poser, selon Karim Sader. "Cette rupture sonne la fin du sentiment d’impunité qui pouvait animer le jeune prince sous le prédécesseur de Joe Biden", estime-t-il. Alors que l’administration Trump avait ardemment défendu le prince hériter, allant jusqu’à le couvrir dans l’affaire Khashoggi et à relativiser sa responsabilité personnelle et directe, "ce blanc-seing ne semble plus d’actualité".MBS n’est pas dupe, il sait que cette ère est révolue, selon le politologue."Le prince héritier ressent la pression de la nouvelle administration, il a d’ailleurs lâché du lest sur un certain nombre de sujets, notamment au sujet de la réconciliation avec le Qatar, et la libération de la militante saoudienne des droits humains Loujain al-Hathloul, développe Karim Sader. MBS est pris en étau entre, d’un côté ce nouveau président américain qui va exiger de lui plus d’ouverture et de réformes, et de l’autre, la frange conservatrice du royaume qui reste hostile au changement et aux projets de modernisation du jeune prince".Si MBS ne peut plus compter sur le soutien de Washington, il se retrouvera dans une position très inconfortable politiquement. "S’il perd son allié américain, Mohammed Ben Salmane perdra beaucoup de crédit en interne, juge le politologue. Et ce, sachant qu’il a beaucoup d’ennemis qui l’attendent au tournant, à commencer par la frange conservatrice et par tous les princes qu’il avait publiquement humilié"."L’Arabie saoudite demeure un allié de premier plan des Américains"Toujours-est-il qu’en tournant publiquement le dos à l’homme fort du royaume saoudien, le président américain a jeté un froid sur l’avenir de la relation entre Washington et Riyad, et de l’alliance historique entre la première puissance mondiale et le premier exportateur de pétrole."L’Arabie saoudite demeure un allié de premier plan des Américains, et aucun des deux pays n’a intérêt à mettre un terme à cette alliance, assure Karim Sader. Toutefois, depuis plusieurs années déjà, l’Arabie saoudite n’a plus la même importance stratégique du point de vue des États-Unis".Notamment d’un point de vue énergétique. "Les États-Unis qui se sont lancés dans le développement des énergies non-conventionnelles, dont le gaz de schiste, sont arrivés à un stade de production qui leur permet de sortir de leur dépendance vis-à-vis du pétrole saoudien, précise-t-il. Une dépendance qui était le socle de leur alliance".Et de conclure : "Joe Biden souhaite rééquilibrer la diplomatie américaine dans la région et entre les différentes monarchies du Golfe, comme avait cherché à le faire Barack Obama avant lui. Qui dit rééquilibrage, ne dit pas rupture avec les Saoudiens, donc il s’agit plutôt de ne plus reconnaître à l’Arabie saoudite son rôle de puissance dominatrice dans le Golfe. D'autant plus que les États-Unis peuvent s’appuyer davantage sur les Émirats arabes unis, sachant que ce pays, comme d’autres dans la région, ont franchi le pas du rapprochement avec Israël".
FAITS DIVERS - Un homme de 28 ans, interpellé sur les lieux, est actuellement en garde à vue
Pour ses abonnés Instagram, Sophie Tapie a pris la pose devant l'objectif de sa maman Dominique, à laquelle elle a rendu un bel hommage.
Juan Carlos Ier a versé 4,4 millions d'euros au fisc espagnol. Ce samedi 27 février, El País révèle que des amis de l'ancien roi d'Espagne se sont en réalité cotisés pour lui permettre de régulariser sa situation.
Les fleurs de cerisiers ont déjà commencé à éclore au Japon, pour le plus grand plaisir des habitants.
Une équipe d'astronomes aurait réalisé à la première observation directe d'une exoplanète dont la taille se situerait entre celle de Neptune et Saturne, et située dans la zone d'habitabilité de son étoile. Une étape importante vers l'imagerie de planètes de type "Terre".
Ce jeudi 25 février, Joe Biden le nouveau président américain a officiellement pris langue avec Riyad en téléphonant directement au roi Salman d’Arabie saoudite. Un geste symbolique fort à l’heure où l’on parle d’une prochaine déclassification du dossier concernant le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi démembré au consulat saoudien d’Istanbul en octobre 2018. Ce rapport dans les mains de la CIA accuserait directement le prince héritier Mohammed Ben Salmane alias MBS d’avoir commandité le meurtre.
Juché sur une colline, surplombant la capitale régionale Mekele, le monument aux martyrs du Tigré a longtemps incarné la puissance militaire du Front de libération du Peuple du Tigré (TPLF), l'hégémonique parti local.
Les deux policiers effectuaient un contrôle du confinement, quelques heures après son entrée en vigueur sur le littoral des Alpes-Maritimes, lorsqu'ils ont été percutés par une voiture qui tentait de s'enfuir.