Voici - Roselyne Bachelot : ses confidences sur les colères d’Emmanuel Macron avec les membres du gouvernement
Voici - Roselyne Bachelot : ses confidences sur les colères d’Emmanuel Macron avec les membres du gouvernement
Voici - Roselyne Bachelot : ses confidences sur les colères d’Emmanuel Macron avec les membres du gouvernement
Le journal Le Monde a déclaré qu’Elisabeth Borne avait traité la moitié de son gouvernement de débiles. La Première ministre a démenti ces propos mais le ministre du Travail a été appelé à y réagir quand même.
Plusieurs associations de lutte contre la pauvreté et d’aide aux plus précaires ont dénoncé le « mépris » ou « l’arrogance » du président de la République sur la question.
Le rapprochement russo-chinois ressemble à "un mariage de convenance" plutôt que de "conviction", a affirmé mercredi le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, selon qui Pékin n'a pas encore livré d'armes létales à Moscou en pleine guerre en Ukraine."Du fait en partie qu'ils ont une vue du monde très différente de la nôtre, ils ont conclu un mariage de convenance. Je ne suis pas sûr que ce soit de conviction", a déclaré le secrétaire d'Etat auditionné par la commission des Affaires étrangères du Sénat américain."La Russie est clairement le partenaire junior dans cette relation", a-t-il ajouté.Le président chinois Xi Jinping s'est rendu pour un voyage de deux jours en Russie axé sur le renforcement des liens avec son homologue Vladimir Poutine.Au cours de cette visite, Vladimir Poutine et Xi Jinping ont loué, mardi, l'entrée dans une "nouvelle ère" de leur relation "spéciale" face aux Occidentaux, le président russe appuyant prudemment le plan chinois pour régler le conflit en Ukraine."Je ne suis pas sûr que la Russie ou Poutine souhaitent l'ordre mondial, plutôt le désordre mondial", a-t-il encore dit.Devant une autre commission parlementaire mercredi matin, le secrétaire d'Etat avait indiqué que la Chine n'avait pas encore "franchi la ligne" consistant à livrer des armes létales à la Russie."A ce jour, nous ne les avons pas vus franchir cette ligne", a-t-il déclaré.Depuis plusieurs semaines, la diplomatie américaine exerce une intense pression diplomatique sur la Chine afin d'éviter qu'elle ne livre des équipements militaires importants à Moscou, embourbé dans le conflit en Ukraine.Mi-février, Washington a fait savoir que la Chine envisageait une telle option, et il a été fait état de petites cargaisons envoyées par des entreprises chinoises à Moscou.M. Blinken a une nouvelle fois écarté les propositions de paix chinoises que Washington estime ne feraient qu'avantager militairement la Russie."Je pense que le soutien diplomatique, politique, et dans une certaine mesure, matériel (de la Chine) à la Russie va bien sûr contre notre intérêt de voir cette guerre s'achever", a encore affirmé M. Blinken au Congrès.Le secrétaire d'Etat a aussi encouragé tout pays qui recevrait Vladimir Poutine sur son sol à en profiter pour l'extrader, à la suite du mandat d'arrêt délivré par la Cour pénale internationale (CPI)."Je pense que ceux qui sont membres de la Cour et qui ont des obligations doivent remplir ces obligations", a-t-il déclaré, répondant à la question de savoir si les Etats-Unis arrêteraient M. Poutine s'il se rendait sur le sol américain. Les Etats-Unis ne sont pas membres de la CPI.Et une loi datant de 2002 empêche en principe le gouvernement américain d'aider formellement la Cour."Je ne pense pas qu'il projette de venir ici de sitôt", a ajouté M. Blinken, se refusant à dire ce que feraient les Etats-Unis dans ce cas.La dernière visite de M. Poutine aux Etats-Unis remonte à 2015 lorsqu'il a participé à l'Assemblée générale de l'ONU.La Russie fait partie du forum de l'Apec qui tiendra un sommet en novembre à San Francisco, mais il est peu probable que les Etats-Unis y invitent le président russe.sct-ube-lb/seb
Emmanuel Macron a annoncé mercredi que le controversé projet de loi immigration serait découpé en « plusieurs textes » et ne serait donc pas examiné la semaine prochaine au Sénat.
Quelques mois après l'accord de paix ayant mis fin à deux ans de sanglante guerre civile, le gouvernement éthiopien a indiqué avoir nommé, jeudi, un haut responsable du mouvement rebelle du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) à la tête du gouvernement par intérim de cette région du nord. Nouveau signe d'apaisement en Éthiopie. Le gouvernement a nommé, jeudi 23 mars, un haut responsable du mouvement rebelle du Front de libération du Peuple du Tigré (TPLF) à la tête du gouvernement régio
Le recours des sénateurs fait suite à ceux déposés par des députés de la Nupes et du RN, mais aussi Élisabeth Borne elle-même.
Après presque trois mois de manifestations massives contre le projet de réforme de la justice, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est exprimé jeudi. Il a indiqué vouloir faire "tout, afin de calmer les esprits" et "mettre fin à la division au sein du peuple". Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est engagé, jeudi 23 mars, à "mettre fin à la division au sein du peuple", après bientôt trois mois de manifestations massives contre le projet de réforme de la justice en c
"Toutes nos capacités, missiles et autres, s'abattront sur le Bundestag, le bureau du chancelier et ainsi de suite", a menacé l'ancien président russe de 2008 à 2012.
Alors que le Sénat a adopté en première lecture mardi une proposition de loi visant à retirer l’autorité parentale d’un parent violent, la députée socialiste Isabelle Santiago qui l’a portée dénonce une réécriture qui réduit la portée du texte et abaisse la protection des enfants victimes de violences.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est engagé jeudi soir à "mettre fin à la division au sein du peuple" après bientôt trois mois de manifestations massives contre le projet de réforme de la justice en cours d'examen au Parlement.M. Netanyahu, qui était jusque-là resté en retrait sur ce dossier, a annoncé qu'il entrait "en scène" et qu'il était déterminé à faire avancer la réforme, mais qu'il ferait tout pour "parvenir à une solution" acceptable tant pour les défenseurs du projet que pour ses détracteurs. Ses propos n'ont provoqué que des haussements d'épaules chez ses opposants."Nous ne pouvons permettre qu'un différend, aussi aigu soit-il, mette en danger notre avenir commun à tous (...) Les opposants à la réforme ne sont pas des traîtres, les partisans ne sont pas des fascistes", a-t-il déclaré en faisant référence aux invectives favorites de chacun des deux camps à l'encontre de l'autre."Je ferai tout, tout, afin de calmer les esprits et de mettre fin à la division au sein du peuple", a-t-il encore dit.Toute en prenant acte des craintes exprimées par les opposants à la réforme, il a annoncé que le projet de loi modifiant la composition de la commission de nomination des juges serait soumis au vote des députés pour adoption en séance plénière "la semaine prochaine".C'est un des éléments centraux de la réforme, au cœur des inquiétudes de ses détracteurs. Le texte a été amendé ces jours-ci en commission pour en adoucir la teneur en vue de parvenir à un vote plus large, mais sans l'appui de l'opposition.-Sécurité nationale -La réforme vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats. Selon ses détracteurs, elle met en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël.M. Netanyahu et ses alliés d'extrême droite et ultra-orthodoxes estiment quant à eux la réforme nécessaire pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu'ils jugent politisée.Le Premier ministre s'est exprimé après un entretien avec son ministre de la Défense, Yoav Gallant, qui avait initialement annoncé son intention de s'exprimer publiquement en début de soirée.M. Gallant, qui a demandé plusieurs fois à la coalition au pouvoir de faire une pause dans le processus législatif pour permettre des négociations avec l'opposition sur la réforme, a finalement annulé son intervention.Pendant un peu plus d'une heure, les télévisions israéliennes ont évoqué la perspective d'une démission du ministre, ou l'hypothèse d'une explosion de la coalition gouvernementale, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël.Selon la presse israélienne M. Gallant et plusieurs responsables de l'appareil sécuritaire ont mis en garde ces derniers jours le Premier ministre sur les menaces que fait peser selon eux la poursuite du projet pour la sécurité nationale.- Dictateur en devenir -Le président Isaac Herzog a lui évoqué ouvertement un risque de "guerre civile"."Ce soir, Netanyahu a choisi d'ignorer son ministre de la Défense [...] et a choisi de prononcer un discours déconnecté de la réalité, plein de mensonges. C'est de l'irresponsabilité", a déclaré le chef de l'opposition, Yaïr Lapid (centre)."Rien n'a changé sous le soleil et Netanyahu est [toujours] le même" a déclaré Benny Gantz (centre droit), autre figure de l'opposition, regrettant que le Premier ministre "ne soit pas à a hauteur" des enjeux.Jeudi encore, plusieurs dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté contre la réforme au cours d'une nouvelle journée nationale de mobilisation, émaillée de heurts entre manifestants et policiers à Tel-Aviv.Les Drapeaux noirs, un des mouvements à la pointe de la mobilisation a qualifié la prestation télévisée de M. Netanyahu de "spectacle bizarre d'un dictateur en devenir".Les responsables israéliens présentent volontiers leur pays comme "la seule démocratie au Moyen-Orient" mais nombre de critiques, à l'extérieur comme à l'intérieur d'Israël, relèvent le caractère "incomplet" de cette démocratie, compte tenu des discriminations dont continuent de souffrir ses citoyens arabes, du poids de l'institution religieuse, qui entraîne des discriminations entre hommes et femmes, ou encore de la poursuite de l'occupation des Territoires palestiniens."J'ai l'intention d'inscrire les droits individuels dans la loi. Nous garantirons les droits fondamentaux de tous les citoyens d'Israël - juifs et non-juifs, laïcs et religieux, femmes, personnes LGBT. Tout le monde - sans exception", a promis M. Netanyahu dans son discours.dms-mj/fjb
En grande difficulté, le gouvernement devrait reporter le très inflammable projet de loi immigration porté par Gérald Darmanin. Gérard Larcher a prévenu que le projet de loi qui devait commencer à être débattu au Sénat la semaine prochaine pourrait ne pas être voté. De quoi illustrer les futures difficultés de l'exécutif avec les LR.
Une semaine après l'utilisation du 49.3 pour faire adopter la controversée réforme des retraites, des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Paris, selon les syndicats, pour dénoncer le "passage en force" de l'exécutif et crier leur colère. Dans le cortège, certains battaient déjà le pavé ces dernières semaines. D'autres sont venus les rejoindre pour la première fois pour dénoncer "un déni de démocratie". "Manu Ciao", "49.3 ou pas, la réforme elle ne passera pas". Jeudi 23 mars
Lors des questions d’actualité au gouvernement, la sénatrice Laurence Rossignol a dénoncé avec vigueur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron à propos de la réforme des retraites. Une interpellation qui lui a valu une réponse sarcastique d’Olivier Véran, rappelant devant l’hémicycle le soutien de la sénatrice à la précédente réforme des retraites en 2014.
L'ONU, l'ONG Amnesty International, Washington et Londres ont demandé mercredi au président ougandais Yoweri Museveni de rejeter une loi contre l'homosexualité adoptée la veille par le Parlement en la critiquant vivement.Le Parlement ougandais a voté mardi soir, lors d'une séance agitée, une loi prévoyant de lourdes peines pour les personnes entretenant des relations homosexuelles.Les députés ont considérablement amendé le texte initial qui prévoyait jusqu'à 10 ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+, dans un pays où l'homosexualité était déjà illégale.L'étendue des nouvelles peines prévues par la loi n'était pas connue dans l'immédiat.- "Le pire au monde" -Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Volker Türk, a appelé mercredi M. Museveni à ne pas promulguer le texte. "Le vote de ce texte discriminatoire - probablement le pire au monde en son genre - est un développement profondément troublant", a-t-il estimé dans un communiqué."Si elle est promulguée par le président, (cette loi) fera des lesbiennes, des homosexuels et des bisexuels, des criminels en Ouganda par le simple fait d'exister (...). Cela pourrait donner carte blanche à la violation systématique de presque tous leurs droits humains", a-t-il ajouté."Cette loi ambiguë, vaguement formulée, criminalise même ceux qui +font la promotion+ de l'homosexualité", a souligné dans un communiqué Tigere Chagutah, le directeur d'Amnesty pour l'Afrique de l'Est et du Sud.Fox Odoi-Oywelowo, un élu du Mouvement de résistance nationale, le parti du président Museveni, a pris position contre le texte. Le député a dit à l'AFP que selon la version finale de la législation, les contrevenants risquent une peine de prison à vie ou même la peine de mort pour des délits "aggravés".Amnesty a estimé que M. Museveni devait "urgemment mettre un veto à cette loi consternante", ajoutant qu'elle "institutionaliserait la discrimination, la haine et les préjugés" contre la communauté LGBTQ+.- Sida -Dans un tweet, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a aussi dénoncé l'adoption de la loi. "Nous appelons fermement le gouvernement d'Ouganda à reconsidérer la mise en oeuvre de cette loi", a affirmé le secrétaire d'Etat américain. Elle met "en cause les droits fondamentaux de tous les Ougandais" et "pourrait affecter la lutte contre le sida", a-t-il ajouté.Le ministre britannique chargé de l'Afrique, Andrew Mitchell, s'est aussi dit "profondément déçu" de l'adoption du projet, l'envoyé spécial du Premier ministre Rishi Sunak pour les droits des LGBTQ, Nicholas Herbert, avertissant du risque de voir augmenter "la discrimination et la persécution des personnes en Ouganda"."Alors que de nombreux pays, dont un certain nombre sur le continent africain, s'orientent vers la dépénalisation, il s'agit d'un pas profondément troublant dans la direction opposée", a déclaré Nicholas Herbert sur Twitter.Les débats au Parlement ont été émaillés de paroles homophobes, M. Museveni lui-même ayant fait référence la semaine dernière aux homosexuels comme à des personnes "déviantes".Toutefois, le dirigeant de 78 ans a souvent estimé que le sujet n'était pas une priorité à ses yeux et qu'il préférait conserver de bonnes relations avec ses donateurs occidentaux et les investisseurs.L'Ouganda a une stricte législation anti-homosexualité - un héritage des lois coloniales - mais depuis l'indépendance du Royaume-Uni en 1962, il n'y a eu aucune poursuite pour des actes homosexuels consentis.L'intolérance à l'homosexualité est courante en Ouganda où l'adoption du texte a été saluée par certains."Nous sommes très heureux comme citoyens de l'Ouganda. Culturellement nous n'acceptons pas... l'homosexualité, le lesbianisme, les LGBTQ. Nous ne pouvons pas", a dit à l'AFP Abdu Mukasa, un habitant de 54 ans. "Nous avons été créés par Dieu. Dieu a créé l'homme et la femme. Et on ne peut accepter qu'un sexe aille avec le même sexe", a-t-il ajouté.En 2014, un tribunal ougandais avait bloqué un projet de loi, approuvé par les députés et signé par le président Museveni, pour punir les relations homosexuelles de prison à vie.Ce texte avait suscité un tollé au-delà des frontières ougandaises, certains pays riches ayant suspendu leur aide après sa présentation au parlement.La semaine dernière, la police a annoncé l'arrestation de six hommes pour "pratique de l'homosexualité" à Jinja (sud). Six autres hommes ont été interpellés sur la même accusation dimanche, selon la police.ho-str/amu/emp/ybl/prh
« Dans les 15 jours qui viennent, il faudra apaiser, écouter les colères », a assuré le chef de l’Etat aux parlementaires de la majorité présidentielle réunis à l’Elysée. Selon un participant, Emmanuel Macron « a remercié les parlementaires qui ont joué le jeu, en particulier au Sénat, où il estime qu’il y a eu un vrai travail de fond, un compromis intelligent, avec les sénateurs LR ».
Après trois mois à batailler autour d’un seul et unique texte, le couple formé par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne n’a jamais paru aussi fragile face à la contestation sociale et politique. Est-ce le début d’une crise de régime ?
REPORTAGE - De La France insoumise au Rassemblement national, les députés d’opposition ont fustigé l’entretien télévisé du chef de l’Etat
Le Parlement israélien a adopté jeudi une loi limitant la possibilité de déclarer un Premier ministre inapte à sa charge, l'opposition dénonçant un texte taillé sur mesure pour l'actuel chef du gouvernement Benjamin NetanyahouLire la suite sur FRANCE 24
Les députés macronistes souhaitent mettre un terme au plus vite à l’interminable chapitre de la réforme des retraites. Et passer aux réformes suivantes.
Interrogé par un sénateur Les Républicains sur la viabilité de sa politique de gel des tarifs, le patron de Free a eu du mal à garder son calme.