Roland Castro : Mort du grand architecte français, il laisse derrière lui 5 enfants
Roland Castro : Mort du grand architecte français, il laisse derrière lui 5 enfants
Roland Castro : Mort du grand architecte français, il laisse derrière lui 5 enfants
Philippe G., un homme de 39 ans, vient d'être condamné à 18 ans de prison après avoir réservé la pire des surprises à sa femme.
PROCES - Deux frères et la compagne de l’un d'eux sont accusés d’avoir séquestré une femme de 18 ans, lui infligeant pendant six semaines des sévices insoutenables
Alors que la police enquête sur le monstre d’Argenteuil et que les pistes se multiplient, doit-on s’attendre à ce que Benoît soit le tueur en série dans "Demain nous appartient" ?
FEU - Cible de menaces par les opposants au centre de migrants qui doit s'installer sur la commune, Yannick Morez a vu son logement et ses voitures incendiées ce mercredi
Féminicide - La femme, née en 1975, était normalienne, agrégée et enseignante en littérature comparée à l’Université Gustave Eiffel de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne)
Pour la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, le mouvement va-t-il connaître un rebond ?
Deux de ses camarades de classe, qui ont affirmé être ses "meilleures amies" , la tuent brutalement. Quelques heures avant, elle s'amusait avec une amie dans une vidéo sur TikTok.
Les propos du président de la République n’ont pas manqué de faire réagir les syndicats d’enseignants, que ce soit sur le remplacement des profs absents, sur les fermetures de classes en zones rurales ou sur la réforme du lycée professionnel.
Sur le sol ukrainien - Notre journaliste Diane Regny a assisté au retour à Kiev de dix-sept enfants ukrainiens bloqués six mois dans une colonie de vacances en Crimée russe
ENQUÊTE. L’enquête judiciaire sur la tuerie est loin d’avoir levé tous les doutes sur ce qui a été présenté dès le départ comme le geste d’un raciste « pathologique ».
Quatre plaintes ont été déposées dénonçant, entre autre, des faits de viol et d'agression sexuelle qui auraient été commis par deux salariés de la structure qui accueille des adolescents.
Football - Youssef Chibhi avait été mis à pied en novembre 2022 par le club de National
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Selon le député insoumis, le président de la République est un "pyromane" qui se présente ensuite "comme un pompier qui doit rétablir l'ordre dans le pays".
La neuvième journée de mobilisation a rassemblé pus de 3,5 millions de personnes dans tout le pays selon les syndicats. Une dixième journée est déjà prévue la semaine prochaine.
Sous un grand soleil et applaudies par des dizaines de spectatrices, des femmes dansent pour célébrer Norouz, l'arrivée du printemps, au Kirghizstan. Une scène qui aurait été conviviale, sans la présence d'un mirador et de barbelés.Car ces danseuses se déhanchant en talons aiguilles sont toutes des détenues incarcérées dans la seule prison pour femmes de ce pays montagneux d'Asie centrale.Condamnées pour homicide, trafic de drogue ou vol, bien que beaucoup clament leur innocence, ces prisonnières de 17 à 70 ans profitent d'un moment de répit à l'occasion de cette fête ancestrale d'origine persane commune à plusieurs pays musulmans, de l'Asie aux Balkans."On essaie de leur remonter le moral, de faire en sorte qu'elles se sentent comme des femmes en liberté et non plus des détenues", explique à l'AFP Zamira Bekmourzaeva, l'une des responsables de la prison.Sur un carré d'herbe sous le regard amusé de gardiennes, les spectacles se succèdent. Les danses laissant place à une compétition de lutte, un sport populaire au Kirghizstan.Les tubes populaires crachés par des haut-parleurs sont alors recouverts par les cris et les encouragements quand deux prisonnières s'affrontent, chacune tentant de projeter l'autre au sol sur la couverture faisant office de tatami improvisé.- "Impression de liberté" -Dans cette colonie pénitentiaire bâtie il y a plus de soixante ans, à l'époque où le Kirghizstan faisait partie de l'Union soviétique, les conditions de vie sont cependant sommaires. L'eau courante est absente dans les cellules, tout comme les téléviseurs. Les douches et les toilettes sont à l'extérieur.Située dans le village de Stepnoe, non loin de la capitale kirghize Bichkek, cette prison accueille quelque 200 femmes, un chiffre en constante diminution, selon Mme Bekmourzaeva."A l'occasion de différentes fêtes, comme la journée des femmes et le Nouvel An, on organise des évènements. On essaie de faire oublier aux détenues, au moins un jour, qu'elles sont en prison, pour qu'elles aient l'impression d'être en liberté", espère-t-elle.La véritable liberté, Natacha, une détenue âgée de 65 ans, pourra à nouveau y goûter dans un an et sept mois, après déjà dix années passées derrière les barreaux pour détention d'héroïne."Quand je dansais, j'étais heureuse. J'essaie de ne pas me décourager, je pense à mes enfants et à mes petits-enfants qui m'attendent à la maison, où on fêtait aussi Norouz", se souvient-elle.- "Entre ces murs" -Mais derrière ces rires, la peine et les difficultés du quotidien carcéral ne tardent pas à refaire surface. Aliona, l'une des meilleures danseuses de la matinée, a retiré ses talons aiguilles rouges pour remettre sa paire de baskets.Si elle apprécie d'avoir dansé, cela reste "un jour comme un autre" pour cette citoyenne russe âgée d'une trentaine d'années elle aussi condamnée pour trafic de stupéfiants, ce qu'elle réfute."Cela m'affecte beaucoup, car je ne peux pas passer cette journée avec les gens avec qui j’aimerais être", regrette Aliona, qui s'apprête à donner le biberon à son fils d'un an et demi, né au début de son incarcération et qui vit avec elle en prison.Si Aliona dit être "aidée par l'administration pénitentiaire" et avoir des "conditions favorables" pour son fils, cela reste "très dur"."J'ai même déjà pensé à l'abandonner, car je craignais de l'emmener en prison : comment allait-il vivre, qu'allait-il manger, quels vêtements allait-il porter, comment se comporteraient les autres détenues ?", se demandait-elle alors.Les larmes aux yeux, la jeune femme poursuit : "Mon fils a peur des gens, il ne voit personne, il est simplement entre ces murs (...) Il n'a jamais vu de sa vie une voiture".N'ayant aucun proche à qui confier son enfant, Aliona "regrette qu'on n'accorde pas de report de peines" et dit avoir "vu des mères en pleurs devoir donner leurs enfants, parfois aux orphelinats".Si tout se passe bien, l'an prochain, Aliona et son fils pourront fêter l'arrivée du printemps en liberté.tol-bk/bur/bds
Un total de 1,08 million de manifestants ont défilé jeudi en France, selon le ministère de l'Intérieur, 3,5 millions selon la CGT pour la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Des violences et des heurts ont été signalés au fil de plusieurs cortèges. L'intersyndicale a appelé à "une nouvelle grande journée de grèves et de manifestations mardi 28 mars partout dans le pays". Retrouvez notre liveblog du 23 mars. Au lendemain d'une intervention du président de la Républiq
Reforme des retraites - Alors que la manifestation toulousaine a réuni des milliers de personnes, des débordements ont eu lieu à partir de 17 heures
Philippe Dubois s'était évadé du centre de détention de Mauzac le 13 mars avant d'être arrêté deux jours plus tard, à Nice.
En colère contre le recours au 49.3 ou les violences policières, une partie de la jeunesse a amplifié sa mobilisation jeudi contre la réforme des retraites, avec des actions de blocages dans des lycées et des universités, et une forte participation aux manifestations.Des dizaines de lycées et établissements universitaires ont été le théâtre jeudi matin de blocages ou rassemblements dans toute la France, à l'appel de différentes organisations de jeunesse.Le ministère de l'Education nationale a signalé "148 incidents" dans des lycées en France, dont 38 blocages, 70 blocages filtrants, 14 tentatives de blocages et 26 autres formes de perturbations. Le syndicat étudiant L’Alternative a comptabilisé quelque 80 écoles et universités mobilisées, dont une soixantaine bloquées ou occupées. Dans la matinée, l'accès à des lycées et sites universitaires a notamment été bloqué à Paris, Rennes, Marseille ou Toulouse. "C'est symbolique. On veut montrer notre mécontentement face à cette réforme, même à Assas il y a de la colère", déclare à l'AFP Redouane, 23 ans, devant cette fac de droit parisienne, bloquée pour la première fois depuis le début du mouvement. Non loin de là, 150 à 200 personnes se sont rassemblées devant le prestigieux lycée Louis-le-Grand.Beaucoup de jeunes ont ensuite rejoint les manifestations.A Paris, étudiants et lycéens ont défilé par milliers, beaucoup plus nombreux que les fois précédentes, ont constaté des journalistes de l'AFP. Avant le départ du cortège parisien, Philippe Martinez (CGT) a souligné la présence de "beaucoup de lycéens, d'étudiants"."Les jeunes, ça amplifie le mouvement, ça crée de la dynamique, on passe un cran", estime Benoît Teste (FSU), rappelant la formule qui veut que les mouvements de jeunesse soient "comme le dentifrice: quand ils sont sortis du tube, on ne peut plus les faire rentrer".Célia, 20 ans, en DUT infocom, a manifesté pour la première fois. "C'est le 49.3 qui m'a énervée", a-t-elle dit à l'AFP. Cécile, 22 ans, souligne "ne jamais avoir eu autant d'amis" dans les manifestations. Pour elle, "le 49.3, c'est une manière de faire qui ne passe plus, de même que les violences policières".- "Sans doute un tournant" -Le 49.3 "m'a réveillée", renchérit Camille, 18 ans, étudiante à l'institut catholique de Paris, qui se dit "révoltée" par les discours de la Première ministre Elisabeth Borne et du président Emmanuel Macron.Jusque-là plus timide --tant le sujet des retraites peut sembler éloigné de leurs préoccupations--, la mobilisation de la jeunesse s'est renforcée depuis une semaine. Les raisons de cette évolution? Le recours au 49.3, les images de violences policières ou les dernières prises de parole de M. Macron, qui a estimé que la "foule" n'avait "pas de légitimité" face aux élus, selon les témoignages recueillis dans les cortèges.Des étudiants se sont rapprochés des travailleurs de différents secteurs (éboueurs, cheminots...) et participé à des actions communes (par exemple une manifestation jeudi devant l'incinérateur de déchets d'Ivry-sur-Seine, Val-de-Marne) ou se retrouvent le soir pour manifester.Une mobilisation accrue que l'on retrouve également hors de la capitale.A Montpellier, le préfet de l'Hérault a relevé une présence de jeunes "plus importante que d'habitude". "Il y a un mois, on n'aurait pas pu faire un tel cortège", indique Adèle Choppé, 16 ans, secrétaire générale du syndicat lycéen FIDL à Montpellier. "L'interview de Macron m'a plutôt mobilisé. Et j'ai des amis à qui ça a fait prendre conscience qu'il fallait y aller", dit Arthur, 22 ans, à Dijon.Nombre de lycéens ont aussi décidé de se mobiliser une fois passées les épreuves de spécialité du bac, de lundi à mercredi, comme Amandine, 17 ans, du lycée Rodin à Paris, qui a "clairement attendu d'avoir fini" cette séquence.Stéphane Sirot, historien et sociologue, spécialiste des mouvements sociaux, relève "une présence plus marquée des jeunes, étudiants surtout". "Ils s'impliquent davantage. Cela marque sans doute un tournant, car la question va au-delà de la réforme des retraites en elle même"."Depuis l'adoption du 49.3 par le gouvernement, la question démocratique les taraude", ajoute-t-il. "Ca peut apporter du grain à moudre à la mobilisation".bur-slb-asm-far-sl-chl/fmp/tes