Revenus fonciers : comment les déclarer aux impôts en 2020

Prêt immobilier : entre hypothèque et caution, comment choisir ?

Si vous déclarez chaque année des revenus fonciers, la déclaration 2019 des revenus 2018 a probablement atteint le summum du casse-tête fiscal. L’an passé, à cause du passage au prélèvement à la source et de l’année blanche des revenus 2018, vous deviez en effet classer charges et loyers perçus en les pointant comme habituels ou exceptionnels. Bonne nouvelle : ce tri n’est plus nécessaire en 2020 !

Micro-foncier ou régime réel : un choix général et irrévocable

Si les loyers perçus chaque année ne dépassent pas 15 000 euros, vous avez le choix entre le régime d’imposition réel, qui nécessite un décompte strict des charges, et le régime simplifié dit « micro-foncier ». Plus d’un tiers des contribuables déclarant des revenus fonciers font le choix de ce régime simplifié, qui permet d’éviter de remplir une déclaration annexe, et de bénéficier d’une déduction forfaitaire plutôt que de lister le menu détail de vos dépenses locatives.

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