Elle reste allongée sur les rails pour éviter d'être écrasée par un train
Ces images filmées le 17 février en Inde, montrent une femme qui est restée allongée sur une voie ferrée pour éviter de se faire écraser par un train.
Comme environ 1,4% de la population mondiale, Gérard Darmon et Khaled sont liés par un point commun qu'ils doivent à leur jour de naissance particulier.
Accusé d'inceste par sa fille, Richard Berry est discrètement sorti du silence dans une publication révélée sur le profil Instagram de Patrick Bruel ce samedi 27 février.
Ce dimanche 28 février, dans Sept à huit sur TF1, Marthe Villalonga a évoqué pour la première fois l’amour de sa vie, un homme marié avec lequel elle a entretenu une liaison cachée pendant près de cinquante ans.
Pour les 11 ans de sa belle-fille Violet Madison, le chanteur français lui a écrit un joli message d’amour.
Après avoir suspendu la campagne de vaccination avec le vaccin AstraZeneca pour cause d’inefficacité contre le variant sud-africain, l’Afrique du Sud vient désormais de mettre sous surveillance le vaccin russe Spoutnik V. Ce n’est pas ici son manque d’efficacité qui est en cause (encore que l’on ne dispose pas de données à ce sujet), mais l’adénovirus utilisé comme vecteur viral dans ce vaccin. Cet adénovirus de type 5 (Ad5) est en effet soupçonné d’accroître le risque d’infection au VIH, selon The Lancet.Suite à différentes études sur le sujet, une conférence sur les vecteurs Ad5 avait conclu en 2013 que ces derniers pouvaient atténuer la réponse immunitaire face au virus VIH et déconseillé son usage dans les zones à forte prévalence de Sida. Or, l’Afrique du Sud est l’un des pays les plus touchés au monde, avec une prévalence de 19 % parmi les adultes âgés de 15 à 49 ans. Selon une des hypothèses avancées par les chercheurs, la réponse immunitaire face à l’Ad5 induirait une diminution de l’activité des lymphocytes TDC4 et TDC8 spécifiques au VIH. « Cette considération devrait être prise en compte avec attention avant la poursuite de la mise au point des vaccins à Ad5 contre le SARS-CoV-2 », mettent en garde les auteurs de l’article de The Lancet.Manque de chance pour l’Afrique du Sud, le vaccin Novavax a également été retoqué pour sa faible efficacité au variant. Ne restent plus que ceux de Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson (qui fonctionne lui aussi avec un vecteur viral mais différent de celui du Spoutnik V) pour vacciner les deux tiers de sa population, soit 40 millions de personnes. Une gageure pour ce pays, le plus durement frappé en Afrique par l’épidémie de coronavirus.
Amel Bent est restée sans voix ! Lors de ce 4e épisode de The Voice, un candidat a choqué les coachs et de nombreux téléspectateurs. En effet, après sa prestation qui n'a pas séduit le jury, l'homme est parti avant que la chanteuse ait pu lui donner son avis sur sa prestation. Un moment très gênant.
Selon une étude, l'eau des sources thermales situées dans la préfecture de Gunma au Japon aurait une efficacité de 90 % pour tuer le coronavirus. Mais quel est le secret de cette eau miraculeuse ?
Les archéologues du site de Pompéi ont fait la découverte d'un char de cérémonie orné de décorations, une trouvaille extraordinaire pour la connaissance du monde antique.
Il y a quelques semaines, Joe Biden est devenu le quarante-sixième président des États-Unis après avoir remporté l’élection présidentielle face à Donald Trump. Un résultat que n’espérait sans doute pas Kanye West, lequel avait également décidé de partir en campagne. La somme qu’il a dépensé à cette occasion vient d’être dévoilée dans un rapport de la Commission électorale fédérale.
Le 26 février, Maeva Ghennam a révélé avoir été victime de sorcellerie. Selon, la jeune star des Marseillais une de ses connaissances aurait engagé une sorcière pour nuire à sa carrière. De quoi alimenter les spéculations chez les internautes !
Dans un entretien à Télé Star, l’acteur et réalisateur Olivier Marchal a expliqué avoir été contacté par un escroc alors qu’il préparait un long-métrage sur Johnny Hallyday.
La vie de Céline Dion, dans toute sa grandeur, est racontée par la biographe Elisabeth Reynaud dans un livre sorti aux éditions Larousse. A cette occasion, celle-ci a accepté de répondre à nos questions et de faire des révélations étonnantes sur la chanteuse.
Le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, a "validé" l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, ont affirmé les Etats-Unis vendredi. Pourtant, aucune sanction n'a été prise contre le prince héritier. "Joe Biden a besoin de l’Arabie Saoudite"', explique la politologue Nicole Bacharan.
Invité dans 20h30 le dimanche ce dimanche 28 février, Pierre Richard a partagé la vie de Danielle Minazzoli, mère de ses deux fils.
Laetitia Hugues est une fille de stars du petit écran : elle est née en 1995 de l'union de deux présentateurs du 20 heures de TF1, Laurence Ferrari et Thomas Hugues. Elle a suivi les traces de ses parents en exerçant un métier médiatique : elle est devenue réalisatrice de documentaire et a notamment travaillé sur le suicide de sa grand-mère maternelle.
Diffusé ce soir sur France 2, Neuilly sa mère, sa mère !, la suite du film Neuilly sa mère !, voit son casting changer. En effet, dans ce nouvel opus, l'actrice Rachida Brakni cède sa place à l'humoriste Sophia Aram. Découvrez pourquoi.
FAITS DIVERS - Le jeune homme attendait son procès
En publiant le rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, très compromettant pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, l'administration Biden semble avoir acté son rejet de l'homme fort de Riyad. Retour sur une déchéance annoncée. Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) avait raison de redouter l’entrée à la Maison Blanche du démocrate Joe Biden aux dépens de Donald Trump, alors qu’il avait tout misé sur une réélection du milliardaire américain, dont il était l’un des protégés.Au lendemain de la déclassification par Washington d'un rapport du renseignement américain sur l'assassinat de Jamal Khashoggi, qui l'accuse d’avoir "validé" l'opération visant à "capturer ou tuer" le journaliste saoudien, MBS apparaît comme le grand perdant, sur la scène diplomatique du Moyen-Orient, de l'élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis.Le démocrate, qui souhaite "recalibrer" les relations entre Washington et Riyad en rompant avec la diplomatie de l’ère Trump dans la région, n’a jamais caché son hostilité à l’égard du jeune prince, notamment pendant la campagne présidentielle.Un désaveu public au retentissement internationalEt si Washington a décidé de ne pas sanctionner MBS, le désaveu public au retentissement international qu’elle vient de lui infliger ruine les efforts du fils du roi Salmane pour réhabiliter son image et celle de son pays déjà très écornées. Il s'agit d’un coup dur pour celui qui se présentait en Occident comme un prince ouvert et réformateur, déterminé à libéraliser, en douceur, un royaume rigoriste et ultraconservateur.Nommé ministre de la Défense, puis prince héritier en juin 2017 par le roi Salmane, sur le trône saoudien depuis janvier 2015, MBS, décrit comme impulsif et pressé, a connu une ascension fulgurante. Notamment grâce à son projet de transformation de l’économie saoudienne – trop dépendante du pétrole – et son engagement à lutter contre la corruption et le terrorisme.Mais ses initiatives ont été rapidement éclipsées par ses méthodes de gouvernance brutales et une dérive autoritaire à l’intérieur du pays. En quelques mois, il devient le dirigeant de facto du royaume wahhabite en le faisant passer d'une monarchie basée sur un consensus entre les différentes branches de la famille royale à un régime personnalisé dans lequel les pouvoirs sont concentrés entre ses mains.Ses offensives de charme et ses tournées à l’étranger sont très médiatisées et font quelque peu oublier les campagnes expéditives d’arrestations menées dans le royaume à l’endroit de membres de la famille royale, de militants des droits de l’Homme, d'intellectuels et de critiques.Des dérives plusieurs fois dénoncées par Jamal Khashoggi, qui s’était exilé à partir de 2017 aux États-Unis, dans des éditoriaux sans concession publiés dans le Washington Post.Mais c’est surtout la tempête internationale déclenchée par l’assassinat du même Jamal Khashoggi, le 2 octobre 2018, qui va ternir l’image de Mohammed ben Salmane, et remettre sur le devant de la scène médiatique le lourd bilan de la pétromonarchie wahhabite en matière de droits de l’Homme.Restriction des libertés d’expression et d’association, interdiction des rassemblements pacifiques, liberté religieuse hors islam inexistante, procès inéquitables, discrimination envers les femmes et la minorité chiite, exercice de la torture et peines de mort arbitraires… Si la nature répressive de la monarchie saoudienne, régie par une version rigoriste de la charia, la loi islamique, à l’égard de toute contestation interne a toujours été de rigueur, la situation s’est durcie depuis la montée en puissance du prince héritier.Un allié embarrassant pour les États-UnisAu niveau diplomatique, le bilan censé légitimer MBS sur le plan international est tout aussi négatif, alors que sur ce plan aussi, il a tenté la manière forte. "Qu’il s’agisse du bourbier yéménite qui est devenu un Vietnam aux portes du royaume, qu'il s'agisse encore de l’embargo musclé destiné à faire fléchir le Qatar, ou bien encore du coup de force contre le Liban avec l’affaire de la vraie fausse démission du Premier ministre Saad Hariri… Aucune de ses initiatives n’ont permis aux Saoudiens de renforcer leurs positions sur l’échiquier régional face à l’Iran", résumait il y a quelques mois Karim Sader, politologue et consultant spécialiste du Golfe, interrogé par France 24.Au Yémen notamment, où il avait engagé le combat en mars 2015, les rebelles houthis chiites, soutenus par Téhéran, résistent toujours à la coalition internationale, alors que le conflit a provoqué ce que l'ONU qualifie de "pire crise humanitaire du monde".Adoubé en mai 2017 par le président américain Donald Trump, alors en visite en Arabie saoudite, MBS lie sa diplomatie à celle de l'administration Trump, focalisée comme lui sur la menace iranienne. Il se rapproche de Jared Kushner, le gendre du président chargé du dossier moyen-oriental. Des relations privilégiées et un accès direct au bureau Ovale qui lui seront très utiles au moment de l’affaire Khashoggi.Alors qu’il apparaît désormais comme un allié embarrassant pour les États-Unis, le président Donald Trump le défend personnellement, pour assurer la caution saoudienne à son "deal du siècle" au Proche-Orient et à l'ouverture de relations diplomatiques entre certains pays du Golfe et Israël.Mais de leur côté, la presse américaine et le camp démocrate ne ménagent pas le fils du roi saoudien, qui finit par assumer "toute la responsabilité" de l'assassinat du journaliste tout en démentant en être le commanditaire.En octobre 2018, le magazine américain Newsweek dévoile un entretien inédit – et non daté – avec Jamal Khashoggi dans lequel ce dernier estime que MBS n’est autre qu’un "dirigeant tribal rétrograde", jouissant d’un pouvoir "autocratique" et ne recherchant aucunement une ouverture du régime saoudien à la démocratie. Le journaliste assure également dans cet entretien craindre pour sa vie.Jusqu’ici, Riyad n’a jamais révélé où se trouvait le corps du journaliste, qui n’est pas réapparu après un rendez-vous administratif au consulat saoudien d’Istanbul, le 2 octobre 2018.Avec la publication du rapport de la CIA, l'homme fort de la monarchie wahhabite n’est plus intouchable. L'arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui a multiplié les décisions défavorables à MBS (main tendue à Téhéran dans l'optique d’un éventuel retour dans l’accord sur le nucléaire iranien, restrictions sur les livraisons d’armes à Riyad), a sans doute fait perdre au prince le sentiment d’impunité dont il jouissait durant l’ère Trump.Reste à savoir quel sera l’avenir de MBS au sein du royaume, et si l’administration américaine n’est pas en train d’enclencher un processus visant à provoquer sa chute.
Ce samedi 27 février sur son compte Instagram, Sylvie Ortega Munos n'a pas du tout été tendre avec ceux qu'elle considère comme ses détracteurs. Elle s'en est même prise à la chanteuse Sheila qui n'a pourtant pas réagi à la dernière polémique mettant en cause son ancienne belle-fille.
FILM - L’actrice a tenu à rappeler sa réelle implication dans le projet