Renaissance : Marlène Schiappa prend la tête d’une cellule interne dédiée aux violences sexistes et sexuelles

Renaissance dit vouloir se montrer irréprochable. Alors que la gauche est empêtrée dans des scandales visant notamment l'écologiste Julien Bayou et l'insoumis Adrien Quatennens , le parti présidentiel, par l'intermédiaire de Marlène Schiappa  annonce renouveler sa cellule contre les violences sexistes et sexuelles dans une interview donnée au Parisien. Baptisée « Prévention Écoute Action », cette cellule, composée de dix membres et présidée par Marlène Schiappa elle-même, organisera des campagnes de communication interne et sera également chargée de recueillir la parole des victimes.

Une volonté d'accompagner les victimes

Cette parole pourra être « transmise à la Commission des conflits du mouvement, en vue d’éventuelles sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion », précise la secrétaire d'État à l'économie sociale et solidaire. « Nous pourrons aussi transmettre à la justice et accompagner vers la plainte », ajoute-t-elle.

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« Nous ne sommes pas un parti de justice expéditive, de procès staliniens. Nous n’allons pas singer la justice avec de faux procureurs, de faux juges et des petits marteaux", prévient Marlène Schiappa, évoquant « une structure indépendante sérieuse ».

« Les cellules de ces partis sont des échecs »

Pour elle, la cellule existant au sein de la France insoumise - et qui n'est pas intervenue dans le cas d'Adrien Quatennens concernant ses vio...


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