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Rachel Keke s’explique sur ses messages controversés postés sur les réseaux sociaux entre 2016 et 2018

Elle prend enfin la parole. Rachel Keke, élue députée de La France insoumise dans la 7e circonscription du Val-de-Marne, s’est exprimée sur Facebook mercredi, en réaction aux publications controversées qu’elle a partagées entre 2016 et 2018. Ces messages avaient été exhumés par une partie de la classe politique sur les réseaux sociaux et dans les médias, dès le lendemain de son élection. « Depuis quelques jours, je subis des attaques sur les réseaux sociaux, venant en particulier de l’extrême droite, visant à me déstabiliser et me décrédibiliser », a-t-elle écrit. Avant de reconnaître avoir posté ces messages.

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Parmi les anciennes publications exhumées, dont le JDD n’avait pas de traces directes, une capture d’écran d’un post Facebook partagé par Rachel Keke, le 15 avril 2018, par un compte depuis inactif. « Le monde entier doit soutenir Bachar contre ces prédateurs criminels qui sont les Etats-Unis, la France et l’Angleterre », pouvait-on lire, accompagné d’un portrait du dictateur syrien surmonté d’un logo du Bastion social, groupe néofasciste lyonnais. D’autres captures d’écran faisaient état de partage de messages favorables à Marine Le Pen ou au RN.

Un apprentissage

Des idées opposées aux valeurs défendues actuellement par la nouvelle députée de 47 ans, qui s’est fait connaître en 2019 lors d’une grève de 22 mois pour porter les revendications des femmes ...


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