Pour réussir la transition vers le véhicule autonome, faisons dialoguer nos intelligences!

Les voitures autonomes, qui devraient rouler d’ici quinze ou vingt ans, se repèrent grâce à un système de capteurs et de radars.

La voiture autonome devrait bousculer nos habitudes et transformer profondément les routes et le système urbain. Un défi à anticiper.

Comment concilier les enjeux environnementaux avec la circulation des biens et des personnes dans la ville? La voiture autonome est-elle la solution? Venez débattre avec nos invités (à partir de 19 heures le mardi 6 février) à l’occasion de notre forum sur les mobilités, à l’auditorium de la maison de la RATP.

L’automobile a modelé nos villes et nos territoires. Ses usages rythment la société et la vie économique. Cependant, au fil des dix prochaines années, le véhicule autonome pourrait bousculer nos habitudes en transformant profondément les routes et le système urbain, ainsi que nos pratiques de mobilité.

Réussir cette transition supposera dès lors l’organisation du dialogue de l’État et des territoires, qui exercent l’autorité sur l’espace public, et des acteurs économiques: infrastructures, filière automobile, services de mobilité. VINCI, en tant que constructeur et exploitant d’infrastructures routières comme de systèmes urbains, veut anticiper ces transformations et engager ce dialogue. Je souhaite à ce titre verser au débat naissant quatre pistes de réflexion à l’aube de ces grandes transformations.

Première piste: la ville sera l’un des terrains privilégiés du déploiement de la mobilité autonome. Les attentes comme les enjeux y sont particulièrement élevés: le véhicule autonome va transformer la mobilité en ville et, partant, l’usage des espaces réservés à la circulation et surtout au stationnement des voitures. La voie publique devient un milieu particulièrement complexe où la coexistence de mobiles de plus en plus divers, tant par leur agilité que leur fragilité (automobiles traditionnelles, cyclistes, deux roues, piétons, trottinettes, mono-roues, rollers, skateboards…) fait de l’insertion dans le trafic des voitures sans conducteurs un défi aussi considérable qu’inédit.

Deuxième piste: la mobilité autonome en ville sera aussi (...)

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