Le réalisateur iranien Mohammad Rasoulof en un mot, un geste et un silence
Après une condamnation à une peine barbare de huit ans de prison et des coups de fouet, le réalisateur Mohammad Rasoulof a réussi en mai dernier une fuite rocambolesque de l’Iran. Le mercredi 18 septembre sort en France son nouveau film, tourné clandestinement, « Les graines du figuier sauvage ». Né en 1972 à Chiraz, dans le sud-ouest de l’Iran, la ville des poètes, de la littérature et des fleurs, Rasoulof a commencé sa carrière par des études sociologiques et des pièces de théâtre, avant de devenir un symbole de la liberté artistique avec des films comme « Un homme intègre » ou « Le diable n’existe pas », emblématiques de son combat contre la dictature et primés dans les plus grands festivals.
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