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Récit. En France, la vaccination atteint enfin sa vitesse de croisière

Dans un récit personnalisé et publié le jeudi 27 mai, le correspondant du Financial Times en France raconte son parcours pour enfin recevoir sa dose de vaccin. Un prétexte pour souligner que, lentement mais sûrement, la campagne de vaccination dans l’Hexagone s’est finalement accélérée.

“Je l’ai !” Le cri de joie est rapidement tempéré par un très “raisonnable” : “Bien joué ! C’est où ?” Légère déception : “Je… Je ne sais pas.” Pour le correspondant du Financial Times en France, il a fallu attendre “deux jours et huit heures à rafraîchir sans cesse [les pages ouvertes] sur [mon] ordinateur”, mais il a fini par trouver un créneau pour se faire vacciner.

Et vu la course que cela représente, “pas le temps de s’inquiéter des subtilités de lieu ou de date”. Il y a juste à dire “merci, lorsque quelque chose est confirmé”. Car depuis le 12 mai, n’importe quelle personne, en dessous de 50 ans, peut se voir administrer une dose de vaccin contre le Covid-19 à la condition qu’elle n’ait pas trouvé un preneur [la vaccination en France est ouverte à toutes les personnes majeures sans restriction depuis le 28 mai 2021].

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“Un changement” à mettre, en partie, au crédit “d’un ingénieur en informatique de 25 ans du nom de Guillaume Rozier”. Il est à l’origine de la plateforme Vite ma dose, qui permet “à tout le monde d’être informé du nombre de rendez-vous vacants”. Une aide indéniable pour éviter de gâcher de nombreuses doses de vaccin.

Les plus sceptiques freinent la vaccination

Et un levier appréciable pour accélérer sensiblement la campagne de vaccination dans l’Hexagone et atteindre l’objectif des 20 millions de premières doses inoculées juste avant “la sortie du troisième

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