Quotidien - "Il est beau de ouf", "Wow", "Il a des yeux magnifiques", "Aussi beau que son grand-père" : les internautes tombent sous le charme de Victor Belmondo

Alors que des rumeurs de harcèlement dans les coulisses de Quotidien battent leur plein ces derniers jours depuis la publication d'une enquête dans Télérama, Yann Barthès est apparu toujours aussi décontracté ce mercredi 25 septembre 2024 sur TMC. Et notamment en dernière partie d'émission, traditionnellement réservée aux interviews de personnalités culturelles. Ce mercredi, le plateau a été investi par une partie de l'équipe de la série Miskina la pauvre, à l'occasion de la sortie de la deuxième saison le 27 septembre prochain.

Melha Bedia, co-réalisatrice et actrice de la série diffusée sur Prime Vidéo, était naturellement présente pour évoquer les six nouveaux volets. Des épisodes durant lesquels Fara, le personnage qu'elle incarne depuis 2022, myope, éternellement vierge et souffrant d'une fâcheuse tendance à mentir, doit reprendre sa vie en main après la mort de sa grand-mère. Héritant de 104 000 euros de dettes, celle-ci va décider de lancer un foodtruck....

À ses côtés pour en parler se trouvaient deux autres acteurs de la série : Hakim Jemili et Victor Belmondo. À 30 ans, le petit-fils de Jean-Paul Belmondo commence à se faire un prénom dans le milieu des séries et du cinéma. Parallèlement à son actualité dans Miskina, le jeune acteur est depuis ce mercredi à l'affiche de Vivre mourir renaître, un émouvant film de Gaël Morel, évoquant un triangle amoureux pendant les années sida. "C'est un film qui parle de la vie, de la jeunesse, de l'urgence de vivre. Il traite de sujets assez durs, mais dès le scénario il y avait des sentiments très positifs et on l'a fait avec énormément d'amour", a-t-il exprimé au sujet de ce long-métrage qui a réalisé un très bon démarrage au box-office.

"Je crois que Victor Belmondo est doucement mais surement en train de prendre la place de François Civil dans mon cœur"

Un film à mille lieues de son rôle dans Miskina, dans lequel il incarne le beau-frère de Fara, Maxime le muslim. Pour endosser le personnage, Victor Belmondo a dû apprendre l'arabe. Et pour ce faire, il a pu bénéficier de l'aide de "super coaches" : "Melha et Hakim m'ont bien coaché en arabe et sur la religion aussi", a-t-il ainsi expliqué à Yann Barthès. "Ils étaient là sur le plateau, ils me reprenaient quand j'avais la mauvaise prononciation...", a-t-il poursuivi. Et il n'a pas tardé à prouver ses progrès en prononçant plusieurs mots arabes durant l'interview. A commencer par "mashallah", un mot qu'il apprécie particulièrement et qu'il a traduit par "c'est pour dire que quelque chose est beau, c'est pour célébrer".

Sur le réseau social X, les réactions ont été unanimes. Si de nombreux internautes ne se sont pas montrés très enthousiastes à l'idée d'accueillir l'équipe de la série, beaucoup sont tombés sous le charme de Victor Belmondo, qualifié de "lumineux" par Melha Bedia. Outre sa ressemblance frappante avec son grand-père, certains utilisateurs de X lui ont trouvé des yeux à tomber. Un "crush" télévisuel qui laisse présager une belle carrière à ce passionné de football et de cinéma.

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