Yahoo Actualités Dans le quotidien des enfants de Vanessa Paradis et Johnny Depp : Lily-Rose et Jack sont-ils restés proches ?
Grandir en étant les enfants de deux superstars, voilà qui n'est pas une mince affaire. Que ce soit aux Etats-Unis ou en France, leurs parents ne pouvaient passer inaperçus. Comment ont-ils grandi et quelles sont leurs relations ? L'aînée de la fratrie s'est confiée dans "Quotidien".
Lily-Rose Depp revient sous les projecteurs pour un nouveau film très ambitieux. Celle qui a divisé le Festival de Cannes avec The Idol, sulfureuse création dans laquelle elle a partagé la vedette avec The Weeknd, la fille de Vanessa Paradis et de Johnny Depp, est l'héroïne du long métrage horrifique Nosferatu. Pour défendre cette fable gothique réalisée par Robert Eggers, elle n'hésite pas à parcourir le monde puisqu'elle était sur le plateau de l'émission quotidien diffusée le 12 décembre sur TMC en France puis à l'avant-première à Los Angeles au côté des autres membres de l'équipe, Nicholas Hoult, Aaron Taylor-Johnson, Bill Skarsgård, Willem Dafoe, Emma Corrin et bien sûr le cinéaste lui-même. Absolument sublime, la jeune femme de 25 ans a fait sensation avec sa tenue mais aussi sa coiffure, ornée de deux délicates tresses comme suspendues à son visage.
Dans le talk show Quotidien, Lily-Rose Depp, plus décontractée en pull rouge et jean mais toujours aussi ravissante, s'est autorisée quelques confidences sur sa vie de famille, elle qui est l'enfant d'icônes. Elle n'a pas abordé sa relation avec ses célèbres parents mais cette fois avec son petit frère Jack avec qui elle a trois ans de différence. "C'est mon petit frère. (...) On s'aime beaucoup, on est très proches. Mais je pense que quand on était petits, il y a peut-être eu un moment où il m'a trouvée cool et après c'est très vite passé. Je suis sa grande soeur, il n'a plus de temps pour moi. C'est un adulte", a-t-elle déclaré non sans humour devant Yann Barthès.
S'il n'est plus impressionné par sa sœur comme il a pu l'être quand ils étaient plus petits, il était toutefois ravi de la voir jouer dans un film d'horreur, un genre que les deux enfants Depp-Paradis adorent depuis l'enfance. D'ailleurs, le jeune homme - qui a travaillé à Paris en toute discrétion dans un restaurant - aimait beaucoup se déguiser en Dracula. Alors voir sa soeur revisiter le genre dans Nosferatu lui a plu. Ce qui a touché son aînée qui a déclaré dans l'émission télévisée : "Quand j'ai eu l'occasion de passer le casting pour ce film, je me suis dit si j'arrive à obtenir le rôle, je pense qu'il va être content. (...) C'est un grand cinéphile, mon frère. Donc j'ai beaucoup de respect pour son avis dans tous les cas."
Grandir dans une famille aussi célèbre que celle de Vanessa Paradis et Johnny Depp
Discrète sur sa vie familiale, l'actrice avait fait d'autres confidences au magazine américain Interview sur ses célèbres parents, dont elle est très reconnaissante : "Non seulement parce que j’ai beaucoup voyagé, grâce à mes parents qui devaient m’emmener partout, mais aussi parce que je vois maintenant tout le travail qu’ils ont accompli pour s’assurer que mon frère et moi ayons une vie cool dans ces endroits qui n’étaient pas notre foyer."
Un épisode a toutefois été très douloureux pour la jeune femme qui brille aussi pour la maison Chanel, comme sa mère l'a fait avant : le divorce très médiatisé de son père Johnny Depp avec Amber Heard. Une histoire qui est au passé, tous les protagonistes semblant avoir tourné la page. Le fameux Jack Sparrow poursuit sa carrière et vient de dévoiler sa réalisation sur le peintre Modigliani, Modi, tandis que l'ex-belle-mère de Lily-Rose et Jack attend son deuxième enfant. Quant à l'héroïne de Nosferatu, elle roucoule depuis plusieurs mois aux côtés de la rappeuse américaine 070 Shake, de son vrai nom Danielle Balbuena. Si toutes deux se promènent tranquillement aux Etats-Unis et sont arrivées main dans la main à la projection de Nosferatu, elles n'ont pas posé ensemble devant les photographes. Pour l'instant, elles profitent de leur jeune couple sans pression.
