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Ce qu’il faut retenir de la Fashion Week automne-hiver de Londres

Du 14 au 18 février, la capitale anglaise a dévoilé les collections automne-hiver 2020-2021 de ses créateurs. Voici ce qu’il ne fallait pas rater.

Une mode libre et joyeuse

Quinze jours à peine après la sortie officielle du Royaume-Uni de l’Union européenne, l’heure est venue de lancer le premier jour de la Fashion Week londonienne. Si l’on pensait retrouver la thématique sur la plupart des podiums, il n’en fût rien. Au contraire, les créateurs semblaient s’être donné le mot, unissant leurs diverses influences créatives autour d’une même pensée : l’optimisme.

L’exemple le plus parlant est sans aucun doute Richard Quinn qui, en seulement cinq défilés, a déjà conquis le très exigeant milieu de la mode (et la reine Elizabeth II, venue assister à son défilé en février 2018). Musique, champagne et décor fleuri attendaient les invités au Lawrence Hall, qui ont pu découvrir une collection au doux goût de liberté. Robes à manches bouffantes, robes du soir à nœuds imposants, imprimés fleuris XXL et bijoux scintillants griffés sur des tenues entières… un show festif à souhait, donc.

La fête était également au rendez-vous au défilé du jeune Michael Halpern, dont la marque éponyme prend de l’ampleur depuis quelques saisons. Chez Halpern, imprimés psychédéliques et animaliers, sequins multicolores, jeux de volumes exagérés et coloris fuchsia donnent le ton. Un usage de la couleur qui rappelle par ailleurs celui du défilé Roksanda, qui a envouté les invités grâce à ses pièces poétiques. De son côté, le créateur J.W Anderson a traduit sa bonne humeur par ses...

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