Pour qu’Alien : Romulus marche, il fallait que Ridley Scott passe la main (et c’est réussi)
Le chaos et le silence. Voilà les deux mots contraires qui décriraient le mieux Alien : Romulus. Il n’y a ainsi aucun entre-deux dans ce nouvel opus de la saga horrifique, sorti au cinéma ce 14 août 2024. Fede Álvarez (Evil Dead), qui a la lourde tâche de succéder à Ridley Scott après Alien : Covenant en 2017, ne fait pas dans la dentelle. Mais ça tombe bien : c’est exactement la qualité requise pour remettre la saga sur les rails, et cela fonctionne à merveille. Alors, accrochez vos estomacs et embarquez pour l’un des voyages les plus gores de toute la saga Alien.
Des morts et des jump scares à la pelle
Alien : Romulus commence dans le calme le plus complet. On aperçoit alors des fragments du Nostromo se baladant dans l’espace, ainsi que l’intérieur d’un vaisseau qui semble abandonné. Puis, des alarmes résonnent et là, c’est parti pour deux heures d’angoisse, de sang, d’acide toxique et d’équipage décimé lors de morts évidemment toutes plus atroces les unes que les autres.
Les armes ne suffiront malheureusement pas // Source : Twentieth Century Fox
Fede Álvarez, vient d’ailleurs du cinéma d’horreur, et cela se sent immédiatement. Non seulement la tension monte crescendo,
Crédits photos de l'image de une : Alien : Romulus // Source : Twentieth Century Fox